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Gemini
12/9/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Attiré par la signature de l’exergue, j’ai vite été surpris par la teneur du propos. On ne mâche pas ses mots ici. On sent rapidement le pamphlet, et je trouve que les mots à forte crudité sont comme des clous qui martèlent le discours ; coup de pied dans la fourmilière de l’écriture aseptisée.
Et pas seulement l’écriture. C’est ce monde aseptisé, ou en passe de l’être, qui est pris pour cible ici, sous-entendu, en ce qui me concerne, la mondialisation qui à vouloir tout formater dénature tout, jusqu’à la nature humaine. Le problème, c’est que l’Homme est une race sociale et que l’individu, lui, ne peut rien y changer. Il n’a d'autre solution que devenir la force sociale dominante, et pour ce faire, il lui faut réveiller les consciences (belle dernière strophe sur la difficulté de la chose), en espérant qu’elles n’aient pas été enfumées par des Candi crushe, des Quo Lanta (exemples en PTS) ou des concours de vanité mondaine. Oui, pour paraphraser quelqu'un : la maison brûle... et pendant ce temps, on croit toujours que la mort c'est pour les autres. Texte fort. Oyez oyez braves gens ! |
izabouille
17/9/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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La peur de la mort? Je n'ai pas trouvé que cette poésie parlait de la peur de la mort. C'est plutôt la peur de tout, il y a dans cette poésie de la colère à revendre, sur le monde en général et je peux comprendre cette colère. Je crois que beaucoup de gens l'ont en elle et vous l'avez assez bien exprimée. Mais je n'ai pas aimé, c'est trop ordurier je trouve. Je ne vois pas l'intérêt poétique d'utiliser des mots comme "anus", "barre à mine dans le cul" "chié dans nos toilettes" "vidé nos intestins de merde" etc. Je ne suis pas du genre prude mais bon... c'est trop "trash" pour moi.
Cela dit, je salue le travail que ce texte a dû vous demander. Bonne continuation |
Anonyme
2/10/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Là, nous avons atteint le pire. Où est la poésie dans ce texte vulgaire ?
Une horreur ! |
Vincent
2/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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bonjour,
voilà qui me change du 17 ou 18 ième siècle nous somme dans le vif du sujet bien sûr la peur de la mort c'est bien ça qui fait le reste PS : lire quelques commentaires me fait sourire nous somme bien là dans l'art contemporain l'art de la rue, et vous ne chipotez pas merci au CE d'avoir publié ce texte je pense qu'il pourrait faire un excellent slam j'ai adoré vous vous êtes lâché |
CoDi
2/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai adoré !
Il est vrai que les mots sont rudes, mais ils sonnent juste dans cette poésie "en colère". C'est bien, je trouve, de pouvoir exploiter cette émotion également. Je crois comprendre qu'ici, la question qui se pose est "qui est le vrai sauvage ?", et que la colère est due à une certaine injustice... Je n'ai pas cerné par contre le lien entre la peur de la mort et le texte. |
INGOA
2/10/2018
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour, je ne vois aucun rapport entre le titre "la peur de la mort" et le contenu du texte qui expose son interminable litanie de révolte. Je ne trouve pas utile l'emploi de termes grossiers et/ou orduriers pour y parvenir. Si cet étalage utilise une forme poétique, alors la poésie a bon dos. Des bouffées insanes dont je ne ferai vraiment mon overdose, même si je comprends la démarche.
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Castelmore
2/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un cri ,
Un cri qui commence comme une plainte Un cri qui hurle ensuite son dégoût Un cri qui finit par nous dire son mépris Sa violence est là Pour heurter nos sens Déchirer nos carapaces Secouer nos consciences Pas un tract militant Juste un regard Un cri Qui laisse un sifflement aigu dans nos oreilles Comme celui d'un train de notre enfance qui nous prévient de son entrée en gare ! Je suis là ! |
Anonyme
2/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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C’est borderline et punk, même ça a passé la ligne pour un site comme Oniris, j’ai adoré, ça percute, c’est trash, c’est cru comme l’homme, ça pue et ça clash, ça remet tout le monde à sa petite place...ces cons d’humains, c’est les jeux du cirque que ça aime, des gens qui s’ouvrent en deux sous leurs yeux...la fin des jeux pour la chute de Rome...
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papipoete
2/10/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas
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bonjour mattirock
la peur de la mort, je dirais plutôt " la peur de vos mots " ! je n'ai pas peur de la mort, j'ai peur de la façon dont elle me prendra ! Dans mon sommeil comme Aznavour me conviendrait ... Il faut se cramponner pour vous suivre dans ce dédale sorti d'un film " gore ", et porter les yeux jusqu'à la fin de ce délire, est un chemin bien tortueux ! Des " intellectuels " apprécieront peut-être ce poème " si long, bien trop long ", mais moi je ne savoure pas ! |
Anonyme
2/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un coup de gueule qui ne mâche pas ses (gros-) mots.
L'auteur a choisi d'être trivial, ce afin de bien appuyer le doigt là où ça fait mal. Il promène son laser sur les dérives de la civilisation dite moderne pour en exhiber les travers. C'est son point de vue, sa façon d'appréhender les situations ; bien qu'indéniables dans leur fond , je les trouve bien excessifs à certains endroits. |
JcJaZz
2/10/2018
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C'est bien trash à souhait, un gros coup dans la gueule comme j'aime
Ça sort des tripes limite gore Plus que keupon no futur, j'y vois plutôt un texte anar(chiste) Une dénonciation de toutes les formes de pouvoir et d'abus de pouvoir qui finalement nous clonent et nous "endorment" Je regrette juste que vous n'ayez pas pu conserver une forme poétique de bout en bout Il y a quelques passages un peu trop "terre à terre", trop narratifs, limite mièvres par moments Merci |
LenineBosquet
2/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
J'adhère complètement sur le fond et le vocabulaire employé, les deux, le message et les mots font ensemble, c'est cohérent. Je regrette un peu la forme du poème par contre. Pas sur la métrique parce que ce poème mérite de sortir de ses gonds mais j'aurais préféré plus de travail sur les sons par exemple, les allitérations et assonances, les rimes aussi. Je reste bien content de lire ça ici étant particulièrement grossier dans ma vie de tous les jours, j'ai toujours pensé que la grossièreté et une savante dose de vulgarité sont langages de vérité. Mais ce n'est que mon avis. |