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Mauron
23/9/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Un véritable univers poétique, à la fois fantasque et suggestif, des jeux de mot enfantins et assez drôles. L'ensemble est souriant mais n'est pas dénué d'inquiétude. Le dialogue entre la lumière et l'ombre le montre bien et surtout le plus beau de tous ces petits poèmes, celui de la motarde. J'aime beaucoup les embûches et le feu, le livreur de problèmes, ce sont de vraies inventions poétiques, à la fois quotidiennes et fantaisistes. Révélatrices et éclairant des ombres. J'aime cet univers parfois petit, mais qui va jusqu'aux étoiles. J'aime beaucoup également cette motarde, cette moto, ces cicatrices qui montrent la fissure sous l'apparente tranquillité. Le dialogue entre la lumère et l'ombre me paraît également assez juste.
Je ne suis pas sûr que Onze soit le bon titre, il est formaliste et alambiqué alors que les textes ne le sont pas du tout et ne cherchent pas à "faire poème"... Bien sûr, qui dit miroir, dit forcément unité brisée, et ce 11 est donc un un qui se répète (et qui donc se renie) et une unité impossible. Mais à quoi bon ces jeux formels ici, je n'en vois pas l'utilité. Surtout qu'il eût fallu que l'un des uns fût à l'envers pour qu'il fût vraiment "en miroir"... Que dire sinon? Qu'il convient d'approfondir, de continuer cette aventure poétique qui me semble authentique. Mais son concepteur est son seul maître, même si la maîtrise n'y est sûrement pas pour grand chose. Espérons que l'ombre saura rayonner en vous, encore entre des mots transparents et mystérieux. J'ai pensé en vous lisant à Henri Michaux que tout le monde connaît et à un délicieux écrivain drôlatique et charmant beaucoup moins connu mais irrésistible: Jean-Luc Coudray. Allez lire son "Mister Tock", excellent petit livre plein de drôlerie aux éditions l'Amourier. Ps la brise peut être chaude, mais pas la bise (à moins qu'il ne s'agisse d'un bisou)... |
Curwwod
27/9/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Décalé, loufoque et poétique. Vous vous êtes offert un joli délire au sein duquel je ne sais quoi privilégier. J'adore le livreur de problèmes, les yeux de moto de course, voler les diamants des dieux... Derrière cette fantaisie débridée transparaît une grande sensibilité, une grande tendresse que les deux dernières strophes dévoilent avec délicatesse. Ce mélange de tonalités où on passe du farfelu au grave est absolument délicieux.
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Francis
12/10/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Comme une succession de scénettes ou de tableaux qui nous conduisent de la dérision à la tendresse, du livreur de problèmes ou de la fille à la moto aux voleurs d'étoiles. La vision poétique est présente dans chaque tableau, exprimée dans un registre lexical où la plume joue avec les mots. J'aime beaucoup les fruits des fendus. merci pour ce partage.
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Lulu
12/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Faut dire que je me la coulais douce" : une expression toute faite que je n'aime pas du tout. Elle est bien trop familière par rapport au reste...
Sinon, j'ai beaucoup aimé votre poème, notamment "Amants", "Les fruits des fendus" et fantôme". Il m'a semblé que plus je progressais dans ma lecture, plus l'ensemble me semblait poétique. Tous mes encouragements pour la suite. |
Nilina
12/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
"l'architecture" est merveilleuse et les onze en sont élevés très haut du coup. J'apprécie beaucoup la variété que vous avez mis en place pour réunir la thématique de l'amour. |
Anonyme
12/10/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Mattirock
je trouve des éclairs dans votre texte ainsi : "La nuit dernière je me suis battu J’étais seul". Le reste de cette partie me semble un peu du remplissage, "Le bout des cils Contre tes poings. " belle image de bataille " L’Ombre : « Il n’existe que deux choses qui laissent à la lumière La place qu’elle exige : Les fissures Et la nuit. »" AMANTS en entier. Pour le reste je ne sais pas…j’ai une impression de verbiage, et c’est dommage car vous démontrez une capacité d’invention et de structuration très intéressante, si je puis dire, mais peut-être est-ce trop structuré ou trop réfléchi pour que le souffle subsiste. À vous relire PS. j’avais oublié HACHE qui est excellent de concision. |
Anonyme
13/10/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Voici toute l'ambiguîté de ce poème : je n'ai pas compris grand-chose - un peu, mais pas beaucoup - pourtant j'ai relativement apprécié l'ensemble. La seule chose qui me gène est que je n'arrive pas à entrevoir de fil conducteur qui aurait pu me permettre d'éclairer un peu plus ma lanterne et apprécier un peu mieux au final.
Pourquoi "Onze"... et pas "Douze", ou "Dix" ? Wall-E |
Anonyme
3/11/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour
Je n'ai sans doute pas saisi la trame de ce poème ( s'il y en a une..) Un ensemble de textes différents , je ne vois pas ici une poésie, elles sont au nombre de onze. J'aime pas de trop désolé |