|
|
papipoete
9/2/2015
|
bonjour maxime; aucun commentaire d'Oniriens serait décevant pour vous; mais j'avoue que le sens de votre récit m'échappe, et ne puis faire une analyse objective de ce poème.
Terre brûlée, l'éternité sonne l'irréversible, l'enfer s'enflamme, autant de lignes qui ne laissent poindre une infime goute d'espoir; ce qui justifierait cette "fêlure d'âme"? Désolé de ne pouvoir apprécier davantage votre texte. |
Anonyme
9/2/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
L'usage mobile des césures (l'absence de césure, en fait) rend la lecture difficile, le rythme introuvable — il y a des rimes, mais elles ne frappent pas l'oreille à cause du manque de cadence.
Il y a pourtant de jolis vers, notamment les octosyllabes de la dernière strophe à mon goût. Vous avez l'air d'avoir des choses à dire, des choses à écrire, un message du beau à transmettre, mais ce rythme nouveau ne fonctionne pas, me semble-t-il. C'est pourtant ce qu'il faut à la poésie : de nouvelles façons. Essayez peut-être avec des césures fixes, ou sur d'autres rythmes. Je vous encourage à chercher, en espérant, hélas ! que vous trouviez mieux. |
Robot
17/2/2015
a aimé ce texte
Bien
|
Certains passages de ce texte m'ont incité à le parcourir entièrement, car je trouve qu'il y a de l'inventivité dans le propos. Cependant, j'ai été gêné par l'absence d'une conclusion qui m'aurait permis de connaître la finalité de ce poème. J'ai lu de belles images, mais sans savoir à quoi tout cela correspond. L'âme se fêle, mais on se demande bien pourquoi. Comme l'impression d'une suite de paysages et d'une intemporalité dont on sait pas ou ils nous conduisent.
|
benadel
24/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Magnifique poème sur l'âme, telle qu'elle est perçue par les religions.
Mais l'âme n'est-elle pas simplement cette contemplation qui siège en chaque œuvre de la nature. Chacune contemple à sa manière suivant le règne qui les définit. A titre d'exemple : on ne peut comparer l'horizon contemplatif de celui qui se trouve confiné à une cellule à celui qui a la chance de percevoir ce qui l'entoure depuis le sommet d'une montagne. Et seul l'homme est doté de ce cerveau qui lui permet de ramener cette contemplation à soi. Mais au fond, ce contemplateur n'est-il pas le Dieu qui s'est divisé, lors de l'explosion ayant marqué la naissance de l'univers, en une multitude d'admirations, appelées âmes ? |
Anonyme
10/7/2017
a aimé ce texte
Pas
|
Je n'arrive pas du tout à pénétrer cette "Fêlure de l'âme".
Là, encore des mots posés, qui me semblent froids et hermétiques. J'ai pris le temps de vous lire et de vous relire, mais sans résultat probant, les images suggérées ne me procurent aucun ressenti. Je perçois un texte sombre, dont le sens m'échappe, comme ici, par exemple : " Spéculant sur l'infâme trahison, L'enfer des démones s'enflamme, Se refermant sur l'ultime prison, Où dans les pleurs se fêle l'âme. " La forme n'est pas déplaisante, dommage que le fond, soit aussi peu accessible. |
Marite
11/7/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Sans une métrique calculée et sans rimes, cette "Fêlure de l'âme" aurait été plus perceptible et accessible il me semble. Pourquoi ne pas essayer de transformer ce poème en poésie libre, avec des vers se succédant au gré du ressenti et de l'émotion à transmettre ?
|