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Sido
29/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Sans la petite présentation du texte, je n'aurai pas compris, ce qui me fait poser la question : une poésie doit-elle se suffire à elle même ou a t-elle besoin d'éclaircissement ?
Quoiqu'il en soit, armée de ces explications, j'ai adhéré de suite à ces images qui m'ont renvoyée à des images connues J'ai bien aimé comme l’absente s’impose dans le vide béant de la mine |
Garance
29/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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j'aime beaucoup ce jeu de contrastes, et j'espère lire d'autres poésies qui comme un puzzle complèteraient ce morceau.
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Raoul
1/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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… Ou comment nos lieux de vie jouent sur elle.
Les raccourcis sont saisissants, et parlent directement… J'aime le choix de la concomitance et de l'interpénétration faite entre paysage et ressenti sentimental qui font un portrait psychologique très personnel. Il y a dans ce poème un amour tellurique, je trouve. |
Anonyme
1/7/2009
a aimé ce texte
Bien
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Comme Sido, sans la phrase de présentation, j'aurais eu du mal à comprendre tout. L'ensemble est efficace, je préfère la prise de hauteur de la deuxième partie de la poésie. Mais j'ai vu dans les mots ce paysage surprenant et ça m'a plu.
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Anonyme
1/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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D'emblée, ce poème m'a fait penser à une chanson de Philippe Katerine : "Gare du Nord" où il évoque une certaine Muriel sur fond de plage industrielle de Boulogne sur mer. Et à un moment il dit : "Muriel, ce paysage crie ton nom, à chaque instant". Je trouve que ce passage pourrait correspondre à ce poème.
Enfin bref, j'aime beaucoup l'évocation de ces friches industrielles qui alimentent une certaine mélancolie, nostalgie. Dans la seconde partie, j'apprécie ces instantanés qui renvoient en parallèles, à l'être aimé. Bien vu. |
BAMBE
2/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un parallèle détonnant, un contraste grisant. Bravo
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