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Anonyme
17/10/2013
a aimé ce texte
Un peu
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Je trouve que cette succession de termes et images alambiqués nuisent à cette description plus qu'ils ne la servent et m'empêchent de prendre part à ce tableau.
" en dessille l'estran " " Ciels blancs d'incertitude adoubent une mer grise " Ils arment la mer ? " Tessitures multiples, mille octaves entendues aux plissements de la dune " " Aux gammes chromatiques d’un prélude régulier ". Tout cela me rappellent plus le solfège... |
Anonyme
17/10/2013
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Bonsoir Meaban... Dans ces Canyons morbihannais j'ai eu l'heureuse surprise de découvrir un Junker, ce vieux Ju 52 tri-moteurs que j'ai connu à une lointaine époque. Je suppose que l'un d'entre eux s'est vomi sur cette plage il y a bien longtemps... Pour ce qui est du poème dans son intégralité j'avoue être un peu réservé. Beaucoup de mots "savants" ou régionaux n'aident pas à la compréhension mais à chacun son style et je respecte le vôtre.
Bonne continuation... |
Robot
17/10/2013
a aimé ce texte
Bien
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Ce poème m'a plutôt agréablement parlé. Ah "Les coquilles dorées, aux douceurs lacustres". C'est tout de même pas mal. Par contre, je suggère aux auteurs qui utilisent des expressions ou des mots usités de certaines régions de mettre quelques indications sous astérisques afin de ne pas nous obliger à recourir au dico, ça gâche la lecture immédiate.
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senglar
17/10/2013
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Bonjour Meaban,
Fascinant, cette plage j'y étais. Mais bien plus, je crois que c'est une plage archétypale où se jouent l'histoire de la vie et l'histoire de la mort, des histoires de vie et des histoires de mort. Il y a de la géologie et il y a de l'humain, par delà l'animal. Avez-vous remarqué qu'il n'y a pas de végétal ? Cette plage, cet estran est un vivier sans plantes. Curieux titre que "Canyons" si proche de '''Canons''' (On est dans l'effondrement) qui renvoie à ce Junker de sinistre mémoire. Marée basse, marée haute, l'estran est le lieu de tous les combats, et quand les falaises s'écrouleront et que se reformeront les canyons dans le recul avant le grand ensablement, l'homme sera-t-il encore de ce monde ? Ce très beau texte chromatique et fortement contrasté où les paysages et les coquilles et le sable rutilent me semble une photographie pelliculée aux couleurs soutenues. Chaque élément se détache en se découpant sur les fonds de ciel comme de mer. Un nécessaire effort de vocabulaire ("estran... coureaux... Junker... platiers") donne à la lecture toute l'efficacité de ces reproductions photographiques pelliculées que l'on pouvait acquérir une fois l'an dans nos écoles de village, dont j'ai gardé le souvenir coup de poing. Moi qui n'aime pas la mer me voilà servi ! Pas converti certes mais ébloui ! Exceptionnel (-) parce que je n'aime pas l'absence d'articles (v. 2, 7 et 12) bien que je comprenne l'emploi de ce procédé ici pour cause d'immanence. :) Senglar-Brabant |
Marite
18/10/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une première lecture m'a laissée perplexe mais avec l'envie de découvrir. Une fois assimilée la signification de certains mots j'ai pu apprécier les images dans leurs expressions. Seulement, lorsque j'aborde un poème avec un nécessaire "travail d'approche" pour la compréhension, l'émotion est souvent absente ensuite et ne répond plus à mes sollicitations. Ceci est bien entendu très subjectif.
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funambule
18/10/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Sans doute un peu trop recherché pour moi dans la formulation. J'entends sourdre cependant doucement l'intention visuelle et émotionnelle de l'auteur sans qu'elle ne s'instille totalement en moi. Je reste un peu à l'écart... et peut-être étais-ce ainsi voulu!
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