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Robot
7/2/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Peut-être faut-il une loi pour interdire les tempêtes ! (sourire)
Ce court poème est très évocateur comme si vous l'aviez écrit une nuit de plus où les éléments vous imposaient l'insomnie. En "barissant" voyage ? je suppose que vous faites allusion aux cris de l'éléphant et que vous entendez barrir la tempête sur son parcours ? |
David
7/2/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Le rythme est plaisant, le vocabulaire ne s'impose pas et laisse voguer l'imagination pour se faire ses propres images, par ailleurs c'est aussi assez simple dans l'expression, le poème décrit une tempête. Je ne cherche pas où se trouve la "vierge de Kerlud", ça me semble "bretonner" de façon assez évidente, mais je peux me tromper. |
Pimpette
28/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Simple et efficace!
je ne raffole pas des poèmes purement descriptifs en général mais celui çi a une authenticité qui séduit. Les deux premiers vers m'ont mis dans leurs poches! Un vrai poème pour une vraie tempête |
senglar
28/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Meaban,
Suis allé voir tout ça, la Vierge de Kerlud (statuaire inusitée avec l'Enfant-Roi sur l'épaule à qui elle fait contempler l'océan et peut-être braver les Antéchrists) et le dolmen. Ces photos et ces vues m'ont séduit. Bravo pour "les vagues blindées aux arsenaux d'enfer" et les vers "La lentille diffracte une quintessence d'enclumes" "La tempête dévore l'entaille des nuées" très réussis ! En revanche une réserve pour "en barissants..." trop voisin phonétiquement du gérondif, les cendres (trop souvent) funéraires et les "éclairs d'infortune" peut-être excessivement métaphoriques. Belle facture d'ensemble quand même pour ce voyage impressionnant :) brabant |
Lotier
28/2/2014
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Bonsoir Meaban,
J'aimerais bien trouver des cartes postales dans ce style, ou encore une présentatrice météo qui s'esclafferait sous la bise. La vierge de Kerlud ? Sans doute Notre-dame de Kerdro, peut-être même la précédente détruite par les allemands pendant l'occupation, ce que peut suggérer «les vagues blindées aux arsenaux d'enfer». Avec la «lentille diffracte», j'imagine un phare, mais j'ai du mal avec le reste de la métaphore : diffracter des enclumes, même en n'en retenant que la quintessence, j'ai du mal. Alors je me projette en méditerranée à Syracuse où Archimède bouta les romains (bien avant Astérix) en carbonisant les galères avec des miroirs... «l'écume des cendres funéraires» ? Entre le déchaînement de l'océan et celui des hommes... Bien cordialement, Lotier PS : merci à Wikipedia. |
Anonyme
1/3/2014
a aimé ce texte
Bien
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Un poème, court et efficace. la lecture est un peu plus longue pour moi. Je suis allée faire connaissance de "Kerlud" sur le net.
L'observation "métallurgiste" de ces éléments déchaînés ajoutent de la force au texte, dont on nous dit qu'ils sont d'abord "laboureurs". J'ai aimé. Je n'ai par contre pas très bien compris ce qu'étaient "l'entaille des nuées" ni "les éclairs d'infortune" |
Anonyme
1/3/2014
a aimé ce texte
Bien
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Vrai qu'il y en a ras le bol de ces tempêtes à répétition ! Un thème propice à l'imagerie poétique que vous avez bien su rendre. Beaucoup de visions fortes amenées par un vocabulaire emphatique. Il fallait ça pour retranscrire la violence des éléments.
Je m'interroge juste sur "lentille" mais je pense que vous devez évoquer un phare. Certainement êtes-vous Breton... |