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Poésie contemporaine
melaine : Premier amour
 Publié le 27/02/19  -  10 commentaires  -  1072 caractères  -  264 lectures    Autres textes du même auteur

Premiers émois.


Premier amour



Que sont-ils devenus les chemins d'espérances ?
Du temps de mes seize ans, les années d'insouciance !
La vie paraissait belle et promettait beaucoup
Quand du je et du moi, je suis passé au nous.

Une fille, un garçon, c'était toi, c'était moi
Tentant d'apprivoiser nos tout premiers émois.
Le vertige des sens, l'alchimie de l'amour
Qui conjugue au début amour avec toujours.

Quand près de la chapelle je te prenais la main,
Mon cœur battait si fort, il rejoignait le tien.
Ils ne faisaient plus qu'un battant à l'unisson,
Horloge de l'amour et de la déraison.

Des baisers, des caresses, nous nous sommes aimés,
Nous nous sommes aimés sans jamais consommer.
J’étais trop maladroit et sans apprentissage,
Tu l'étais tout autant et surtout bien trop sage.

Nous étions débutants, nous étions malhabiles,
Il m'en reste des traces, des marques indélébiles,
Des marques de bonheur, une marque de souffrance
Quand un jour le mot fin vint clore la romance.


 
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   Anje   
5/2/2019
 a aimé ce texte 
Un peu
Un poème libre qui ressemble à un contemporain. Un premier amour qui ressemble à tant d'autres. C'est bien écrit mais çà n'allume pas grand-chose en moi sinon une vieille image qui m'a détourné de l'histoire narrée.
Une virgule devant "battant" au onzième vers me semble opportune.

   Corto   
5/2/2019
 a aimé ce texte 
Bien
Le thème n'est évidemment pas très nouveau.
Mais la fraîcheur des amours débutantes est toujours agréable à relire.

Le temps a passé "Quand un jour le mot fin, vint clore la romance".

Le temps a passé, et il a fallu construire d'autres romances. Pour parcourir la vie.

Merci pour cette lecture rafraîchissante.

   chVlu   
5/2/2019
 a aimé ce texte 
Pas
Je n'ai pas su trouver la poésie dans les mots qui m'apparaissent purement descriptif.

Dans la forme des rimes et la rythmique régulière existent mais la musique ne s'est pas envolée. Peut être que 12 pieds c'est du lourd à faire virevolter et qu'ils demandent plus d'envolée dans les mots et les évocations de sens, de sensation et d'émotion pour me transporter.

Bon il est vrai qu'en peinture les natures mortes ne sont pas celles qui me font vibrer et là je me dis qu'en poésie non plus.

   senglar   
27/2/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bonjour melaine,


Les vers de cette poésie coulent de source, parfois se répondent en écho, en miroir, ou bien sautillent et rebondissent, ça n'est pas fortuit, c'est travaillé, un peu instinctivement peut-être mais c'est calculé, ça n'est pas fait par hasard. Il disent la fébrilité d'un premier amour et souvent par manque d'audace, par manque de savoir-faire, sa non-consommation... Euh... sa non-conclusion.

Si certains mots, certaines idées, peuvent paraître banals ou trop communs, c'est qu'un premier amour avec deux impétrants est souvent bien maladroit où l'une attend trop de l'un et où l'un attend trop de l'une. Alors oui, ben c'est la réalité ça, alors oui je serais bien mal avisé de vous le reprocher.

Je retiens simplement que vos vers filent et qu'ils sont agréables à lire. Alors on ne va pas mettre de fioritures là où il n'y en a pas.


Alors merci pour ces premiers émois qui auraient pu être remarquables mais qui ne le furent pas. On devine de même qu'ils n'ont pas donné lieu à de mortelles blessures.

C'est la vie quoi, la vie tout simplement :)...

Une première leçon profite toujours à la deuxième fois.

lol

senglar

   lucilius   
27/2/2019
 a aimé ce texte 
Pas
Ce style d'écriture met trop l'accent sur la mièvrerie fort présente à l'adolescence, mais qui nuit au courant poétique.
Quelques maladresses de vers : "Quand du je et du moi je suis passé au nous" ; "une fille, un garçon, c'était toi, c'était moi" ; enfin une expression tellement éculée qu'on finirait par la détester : "qui conjugue au début amour avec toujours".
Quelques problèmes avec les règles de prosodie assombrissent l'ensemble et, par voie de conséquence, ma mansuétude, ne connaissant pas l'âge de l'auteur.

   hersen   
27/2/2019
 a aimé ce texte 
Un peu
Naturellement, c'est attendrissant, mais il aurait fallu passer un cap, prendre du recul pour apporter plus de poésie.
Le vers
"Une fille, un garçon, c'était toi, c'était moi"

ou alors
"Mon coeur battait si fort, il rejoignait le tien"

cultivent une simplicité, c'est vrai, mais ne génère pas d'envol poétique.

Disons que pour un thème déjà mille fois traité, il aurait fallu plus de téméraire, ici, cela reste un peu morne.

mais à vous relire.

   Vincente   
27/2/2019
 a aimé ce texte 
Bien
Premier amour, premier texte. (enfin comme un premier texte !)
La maladresse de l'un, la difficulté de l'autre... à se dire, à sortir des sentiers battus, à prendre l'envol tant souhaité par le lecteur... par l'auteur.

Tant de fraîcheur et de bonne volonté est très touchant, d'autant que l'écriture n'est pas désagréable dans sa forme et dans son style fleur bleue très accordé à l'histoire.

C'est ce que j'ai le plus apprécié, cette adéquation entre l'évocation et la formulation, une sorte de cohérence qui signe l'authenticité.

   Anonyme   
27/2/2019
 a aimé ce texte 
Un peu
C'est gentil, ce souvenir du premier amour. Mais je ne lui ai pas trouvé d'originalité exceptionnelle pour ce sujet.

" une fille,un garçon "
" amour, toujours "
" Baisers, caresses " un peu convenu...

Je n'ai pas été séduit.

A vous lire une prochaine fois.

   papipoete   
27/2/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup
bonsoir melaine
Depuis la nuit des temps, naissent au creux des souvenirs, cet amour dont l'on se souviendra toujours ! Il fut de surcroit platonique, tant la maladresse entravait les tourtereaux que nous étions, toi et moi !
Si tu m'entends dans tes pensées, t'en souvient-il ce temps ? où nous nous aimions tant, que nous n'osions pas...et tel un couperet, tomba la fin de notre romance ; t'en souvient-il dis ?
NB une idylle comme je les aime ! j'ai si bien joué le rôle que l'auteur nous conte ici ; c'est si romantique ! ( le 4e vers débute l'histoire tendrement ) et l'avant-dernier la clôt par une image indélébile .
Le 9e vers s'est laissé pousser un vers scélérat, qui vous écarte du " néo-classique " !.........et le 13e ....et le 18e....et le 19e...
C'est dommage, mais peut-être avez-vous choisi d'emblée le " contemporain ?
mais l'ensemble est très agréable à lire, pour votre premier texte, qui en appelle d'autres, assurément !

   Pouet   
28/2/2019
 a aimé ce texte 
Bien
Bjr,

un poème tout simple certes, naïf pourrait-on dire, parfois un peu convenu, mais que je me surprends à apprécier tout de même.

Il est tellement facile de "taper" sur un tel texte que je n'en ressens pas l'utilité d'autant que je l'ai trouvé très coulant et agréable à lire.

Il me semble que simplicité et sincérité font souvent bon ménage, ce que je retrouve ici.

Voilà, un agréable moment.

Pouet, fleur bleue trempée de le curare.


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