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colibam
7/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très sympa à lire à haute voix, ce conte du soir, que je viens de déclamer à mes deux chères têtes blondes (euh... à 5 minutes du couché, j'aurais p'tête pô du).
Un poème très bien construit, une écriture maîtrisée. Vraiment. Côté technique, mon ignorance me cantonne au silence. Le vers de clôture « - Maudits, malheureux les fêlés : Ils laisseront aussi passer l'obscurité ! » qui répond au premier « Bienheureux les fêlés, car ils laissent passer la lumière ! » est du plus bel effet. Je n'ai pas très bien compris en revanche l'utilité ou le sens des quatre retraits. |
LEVENARD
7/10/2009
a aimé ce texte
Bien
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Ah ! J'ai bien aimé les deux vers d'introduction !
Bon, après je savais qu'on allait m'amener vers une chute en rapport. Entre les deux le voyage est pas mal, bien écrit, fleurant bon un classicisme sans pédanterie. Et puis la chute... que je n'ai pas trouvée à la hauteur de l'introduction... dommage. Un petit manque de surprise, ou alors, le corps du texte ne bâtit pas assez la conclusion, ne la nourrit pas suffisamment, ne lui insuffle pas suffisamment de sens ( je ne sais pas si je me fais bien comprendre ?) |
pieralun
7/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est bien Meleagre
De très beaux vers; de très belles associations: bois dru, violacé, Son attendrissement pour une âpre nature, Apparut, insidieuse, à l'angle nu d'un mur. Et d'accord avec Colibam sur la justesse de la chute qui répond à l'entrée. |
Marquisard
8/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Quelque chose m'a gené dans la constructions de la dernière strophes, je saurais pas dire quoi là comme ça au réveil, repasserai un peu plus tard.
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Anonyme
8/10/2009
a aimé ce texte
Un peu
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J'aime beaucoup
"Mais ses troubles aussi et ses peurs enfantines En faisaient un poète. Quatre très minces murs, une porte mal jointe, Une vitre et un toit, par où filtrait la plainte Du vent, le protégeaient : simple abri d'un simple homme Un jour, où le frimas d'automne Engourdissant les corps, une noire fissure Apparut, insidieuse, à l'angle nu d'un mur. Rien que le noir béant du vide obscur sans fin ! Ils laisseront aussi passer l'obscurité !" Je pense qu'à la fin il manque un A à Alors? non?? Ou alors je suis pas du tout ouverte à ce genre d'entame... Sinon "Bienheureux les fêlés, car ils laissent passer La lumière !"=> aurait été mieux en citation ou en note d'avant texte, en résumé ou je sais pas... mis là il me perturbe... Quand il la vit, surpris, il fut joyeux et fier=> pourquoi fier? juste pour la rime? L'odeur du bois transi, le chant frais des oiseaux, Le sifflement du vent au milieu des roseaux. => oulà c'est hyper convenu... déjà-vu, antioriginal... j'aime pas du tout Mais ce trait disparut quand arriva la nuit, Entraînant avec elle un lourd fardeau d'ennuis. => idem pour ces deux vers qui semblent trop communs, déjà lus etc... Lors, l'ermite fiévreux, tremblant de peur, de froid, Tenta de colmater tant bien que mal le bois Trop fissuré. => je suis pas convaincue comme je le disais, ni par les rimes ni par les vers en soi (et non les vers à soie...) dommage parce que l'image est belle... - Maudits, malheureux les fêlés : => ouaîp pareil je suis pas sure pour ce vers... je sais pas. Le rythme est assez particulier, avec les renvois les vers coupés... je trouve qu'il manque quelque chose poru faire de ce petit poème sans prétention un joli poème. Merci quand même et bonne continuation. |
Lapsus
8/10/2009
a aimé ce texte
Bien
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Commencer un conte par une citation détournée de Michel Audiard et le finir en la complétant, c'est beau.
Les poètes ça osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (autre emprunt à l'excellent homme). C'est malicieux en diable et sans plus de prétention que de faire naître le sourire. Je n'envoie pas de photo, mais le but est atteint en ce qui me concerne. C'est une gageure que de vouloir maintenir la structure de l'alexandrin à travers un texte rédigé en continu, c'est ce qui explique les retraits constatés, si caractéristiques des pièces de théâtre classiques. |
jaimme
8/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime quand le conte fait croire qu'il en est une fable (ou inversement).
C'est bien écrit et intelligent. Un peu accroché par-ci par-là ("ermite miséreux" par exemple me paraît redondant; les parenthèses; "il vivait à l'écart": c'est un ermite), et peut-être faudrait-il améliorer la musique de détail. Je veux dire par là que la musique d'ensemble est très présente, très agréable, mais parfois dans les associations de mots faudrait-il en chercher de doux (contexte oblige) mais plus pastel, un peu plus recherchés (sans trop, je suis d'accord, contexte et forme oblige). En tout cas j'ai aimé l'originalité et m'attends maintenant à de petits bijoux de la part de Meleagre qui progresse avec des bottes de sept lieues! |
Anonyme
12/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Déjà, je trouve l'accroche particulièrement géniale. 'Bienheureux les fêlés, car ils laissent passer
La lumière !' Ca me plait beaucoup, la double-lecture, et le rejet donne un très joli effet. Ensuite, la suite revêt l'apparence d'une mignonne petite fable à 'renversement de situation', agréable à lire. J'ai trouvé maladroits : - le craquement froissé - la belle admiration - le vide obscur sans fin (très lourd) - tenta/tant bien Pour le reste, dans l'ensemble c'est fluide, charmant, la mise en page sert bien le texte, il y a de la poésie, du contenu, bref : j'adhère. Au plaisir de te lire, Meleagre ! |
Anonyme
1/7/2017
a aimé ce texte
Un peu
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C'est un texte qui se lit bien ; mais j'avoue ne pas être sensible à ce genre d'écrit.
Je comprends fort bien ce que vous exprimez. Le procédé pour arriver à m'être en évidence la présence de cette fissure, n'arrive pas à retenir mon attention. Le personnage est peut-être un peu trop présent. "La fissure" à la fois un bien et un mal, comme en toute chose, cela nous fait et nous défait au gré des vicissitudes de la vie, du début jusqu'à la fin. Je trouve aux écrits un brin pessimiste. |