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jaimme
29/9/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Il y a ce mot "abruti", qui m'a accroché à chaque lecture car l'ensemble a quand même une forme et des sonorités nettement classiques.
Je reste donc sur ma faim car à part une description et le fait de se demander ce qu'une gargouille peut bien penser, le fond reste plutôt pauvre. J'ai beaucoup aimé: "accoudé près du ciel". Enfin un détail technique: "sans yeux, sans tronc", je ne m'imagine pas une gargouille de cette façon. Je n'ai donc pas tellement aimé. Une autre fois, certainement, meleagre. |
Lapsus
29/9/2009
a aimé ce texte
Bien
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Les pierres parleront. Et parfois elles en ont des choses à dire, accrochées aux toits à observer les hommes.
J'aime qu'on rende la parole aux choses. La stryge, ou strige désigne l'une des plus célèbres chimères posées par Viollet-le-Duc lors de sa restauration (1845). Ça valait bien un hommage. |
Anonyme
29/9/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Les mots "abruti", "grotesque", "vil" et "infâme" pour parler de la mini-gargouille de Notre-Dame ça m'embête un peu, je dois le dire. Voir un exploit architecturale ainsi dénigré...
Cela dit, je perçois bien toute la légèreté des vers qui sont, me semble-t-il, là pour faire sourire. (J'espère que l'auteur ne pense pas autant de mal de cette pauvre statue qui ne lui a rien fait). Grâce à l'image de lapsus*, on se rend comte à quel point ce poème est une description réussie. *D'ailleurs, Lapsus, tu pourrais la mettre dans le Diaponiris si tu veux. |
ristretto
29/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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j'ai bien bien aimé !
Fascinantes ces gargouilles ! alors oui, que pensent elles ? depuis des siècles au dessus de ces pauvres abrutis d'humain ! bonne idée de lever la tête merci |
pieralun
29/9/2009
a aimé ce texte
Bien
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Le premier quatrain serait bon, s'il n'était gaché par les mots "l'air abruti" . Ce petit passage est réellement laid, et dénué de poésie. J'aime les 6 derniers vers, dommage pour "chère chimère ", cela fait beaucoup de "ch ".
L'idée est bonne, originale. Bon texte |
Automnale
29/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà un poème très original, amusant et fort bien écrit... En outre, il me semble que plus d'un lecteur apprendra la signification précise du mot "stryge"...
Il s'agit donc d'un "ange au front cornu, un diable avec des ailes, A l'oreille allongée et au nez aplati... Accoudé près du ciel... Avec l'air abruti...". J'adore ! Et "... jamais le grand bruit Ne trouble sa fierté de sage solennel...". Peut-être, en effet, que le bruit donne un peu mal à la tête aux gargouilles mais, en compensation, elles bénéficient, à mon sens, du plus beau panorama de Paris... Qui sait d'ailleurs si, certaines nuits, elles ne vont pas faire un petit tour dans l'Ile-Saint-Louis... Certes, "A quoi songe-t-il, du haut de sa corniche ? Dans sa tête de grès, quels grands rêves se nichent ?"... Nul ne le saura jamais... A mon avis, il doit penser à Quasimodo, Victor Hugo et à Esméralda ! Entre autres... Bravo, Méléagre ! Et merci de me faire sourire avec cette bien sympathique stryge qui, elle, se moque bien de nous, pauvres humains ! |
Raoul
30/9/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Meleagre,
L'idée descriptive est pour le moins amusante et originale! Mais la forme générale me semble un peu décousue et au final assez âpre à l'oreille. Le "avec des ailes" me paraît un peu maladroit… En revanche j'aime beaucoup "La tête dans la main, accoudé près du ciel,"! L'air abruti ne me gêne pas, en revanche la juxtaposition des trois "sans" juste avant, si. "Langue hilare" qui est une belle trouvaille sonore, est sabré par un "en riant" particulièrement inélégant alors qu'un: se riant de Paris?.. J'aime bien l'humour du premier tercet qui, hélas, est "gâché" par un troisième vers bourratif à mon goût (Un: Raille-t-il les humains aux minables travers ? peut être?..) J'aime aussi l'idée du tercet de conclusion, mais pas la succession des trois adjectifs caractérisant démon… Un peu "trop"… Dans l'ensemble, ce qui me gêne le plus, c'est la linéarité de la composition, manque d'un peu de dentelle… (Ce n'est que mon goût aussi… alors… à bientôt te relire. ) |
wancyrs
3/10/2009
a aimé ce texte
Bien
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Je ne connaissais pas ce monument, alors merci de me l'avoir fait découvrir, et en plus avec une belle description.
La tête dans la main ? l'image en dit le contraire. je vois "les mains" tenir une tête. bonne continuation wancyrs |
David
3/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Meleagre,
J'aime bien la description du début, le 4ème vers qui semble accélérer. Je regrette la seconde strophe qui patine un peu avec son "Immobile, figé" au début, la description ne gagne pas de ces synonymes. Ils sont encore un peu là avec "vil, infâme" au dernier tercet. Les deux "grand" aussi du bruit et des rêves ressortent un peu en fin de vers comme des répétitions peu parlantes. Mais le ton général est assez rieur, plaisant. |
Ashanon
2/6/2011
a aimé ce texte
Bien
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Exercice périlleux mais non dénué d'intérêt que de présenter une oeuvre aussi mystérieuse.
Je regrette aussi le mot "abruti" et quelques autres par-ci par-là. Cependant, si l'auteur reprenait ce poème et l'arrangeait en mode "classique", en l'édulcorant, il obtiendrait ainsi des vers chocs... |
Mourmansk
3/6/2011
a aimé ce texte
Bien
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Meleagre,
"Abruti" m'a aussi chatouillé l'oreille ainsi que deux vers que je trouve dérangeants au niveau des sonorités: -"Tire une langue hilare en riant de Paris." ("langue hilare", d'une part, ne sonne pas bien selon moi: et d'autre part, "hilare-en-riant"). - "Adressez mon salut à ma chère chimère." ("chère chimère"). Quant au rythme, je l'ai trouvé plutôt bon. Enfin, j'ai aimé la simplicité des images qui fait que l'on se représente bien ces gargouilles. |
Anonyme
30/6/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Les deux premières strophes m'ont paru intéressantes, je me suis bien représenté ce personnage, qui suscite toujours de la curiosité.
La description est précise, avec une petite touche amusante. J'aurais aimé que votre discours continu dans la même lignée, dans ces deux tercets, il est moins étayé, moins palpitant. Votre poème se lit bien, il est fluide, mais n'a rien de très original, je l'aurais aimé d'avantage percutant, j'aurais aimé que "La stryge" me laisse son empreinte, comme elle a traversé les siècles. |