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xuanvincent
16/9/2008
a aimé ce texte
Bien
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J'ai apprécié les images de ce poème.
Notamment celle des "heures, colorées de nos attentes" Elle m'a fait penser, par contraste, à une phrase d'un récit de Christian Bobin ("il y a des journées blanches (...)"). Question : pourquoi cette virgule ? |
ANCELLY
16/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ah, le boudoir ! Le lieu idéal pour les apartés exquis une fois les après-ski ôtés.
Bon c'est facile... Egale à toi même, Mel, des écrits toujours un peu fripons. J'adore. Denis |
Doumia
18/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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En effet il y a de très belles images dans ton texte, comme dans tous tes textes et quelques vérités aussi. Tu as un style bien à toi, très spécial je dois dire, qui surprend un peu au départ, mais ma lecture était agréable.
Alors merci pour le partage Mél. |
Anonyme
18/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une virgule qui jette un souffle de paresse et d'indolence... ?
Quel calme, quel appaisement dans cette lecture qui invite au repos... Jolie détente, merci Mel ......is |
marogne
11/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une belle évocation de ces moments ou l’esprit peut se sentir libre de déambuler sans contrainte, même pas de sa partie consciente. Je regretterais peut être simplement des images un peu trop « sages », trop « normales », je les eusse préférées plus « folles », plus oniriques. Mais on dira qu’il fait chaud, et que l’on fait la sieste, sagement, sous le murier.
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Anonyme
17/6/2017
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Ce qui m'a gêné dans ce poème, c'est le rythme saccadé qui lui est donné, par une versification aux pieds irréguliers. De plus il y a un manque de fluidité qui vient s'ajouter au fil de mes lectures, je bute sur trop de ces petits mots comme "aux (5), dans (5), de d' (8), sur (4).
Pour moi, les mots se perdent dans un descriptif trop appuyé, l'émotion n'est là que par à coup, ce qui crée en effet d'ensemble désordonné, peu fluide, je m'attendais à quelque chose de plus feutré tout en étant pertinent, suggéré par le titre "Boudoir", mais rien de cela, le texte n'a pas réussi à m'associer au vécu proposé, à cause de ces "nous, nos", une intimité qui ne peut se partager. |