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Pluriels1
1/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai bien aimé ces mots, mis (et lus) très lentement en leur rythme d'amour.
Tout un univers de douceur. Ps : le "p'tit" - à cause du 17ème vers (13 pieds selon ma façon de compter). |
Anonyme
1/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Trés beau texte qui m'a beaucoup touché. Superbe écriture où les intentions sont omniprésentes : aller vers l'autre ! ...
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Anonyme
1/8/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
la lecture de ton poème est très fluide et on se laisse bercer par le flux des mots et du désir, un désir à la fois charnel et presque désincarné. J'aime bien. Je pense qu'il n'y a pas de "s" à itinérants qui n'est pas un adjectif ici mais un participe présent. un texte agréable à lire. |
colibam
1/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème d'une grande douceur.
Les vers sont voluptueux, magnifiquement écrits et les intentions toutes féminines dans l'abandon de l'autre. Une lecture qui bruisse de sensualité. Bravo |
widjet
1/8/2009
a aimé ce texte
Bien
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Voilà un auteur qui a su se faire attendre pour revenir avec un texte empreint de cette sensualité coutumière qui nous manquait un peu. Il y a beaucoup (un peu trop peut être ?) de raffinement, mais ce type d'écriture reste d'une grande délicatesse et le choix des mots relève de cette stratégie dont seules les plumes féminines ont le divin secret.
Ici l'homme est presque mis au rang de créateur (il grave, il sculpte, il façonne, il imprime...). Bel hommage. Dans ce registre audacieux, Lotus a retrouvé de la compagnie... Widjet |
ristretto
2/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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c'est doux ! une prière à l'amant .;délicat sensuel
bref très belle lecture merci |
Anonyme
2/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je ne peux être qu'en accord avec les précédents commentaires.
Un beau poème très bien servi par de jolies images. Je vais retenir "l'humeur baldaquine qui sculpte l'infini au bord des évasions". Bravo! |
David
4/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Melenea,
Comment !!! Il n'y a pas le dessin de Luis Royo qui a inspiré le poème ? Même pas un lien, un... bon, le poème a bien quelque chose des couvertures électriques, ou sulfureuses, ou génuflectives, que le dessinateur a pu réaliser pour des livres ou des magazines de BD. Une belle fougue, j'aime beaucoup, sculpter "l'infini au bord des évasions" et puis le titre aussi. Je me dis que le personnage doit être de dos, nue, avec un tatouage, dessin ou lettre, ou... enfin, ça fait rêver. |
Melenea
4/8/2009
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Tu as raison David, Voilà le lien pour l'image...
http://z1.zod.fr/z/luisroyo-tatouage-KOO.jpg |
domino
10/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beau voyage erotique empli de sensibilité,sensualité et sérénité qui me fait frissonner et m'invite à embarquer sans bagage.
Vogue la réale vers des terres nouvelles loin des miasmes terrestres! |
Alibaba
11/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Symbolique à souhait... je retiens (encore) la grande richesse émanant de ces vers. Tout ne me plaît pas mais la diversité des images et des évocations est proprement enivrante.
Je vous souhaite une bonne continuation. |
Anonyme
22/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je découvre ici un bel écrit, plein de sensualité et d'images subtiles.
Un agréable rythme néoclassique comme je les aime, avec des rimes à l'hémistiche qui n'entachent en rien la fluidité : bravo pour la prouesse ! J'aime bien aussi l' "humeur baldaquine". Merci pour cette belle lecture ! |
Kejdiel
17/1/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un texte plein d’amour, de sensualité, et d’expressivité. Tout n’est pas forcement « clair », mais très bien imaginé. C’est comme si les mots coulaient sur le corps de la personne en question. Ils dévoilent et murmurent un accomplissement, tout en le préservant du grand public. Magnifique. Rien a redire sur l’écriture. J’adore.
Cordialement, Kejdiël |
Anonyme
15/6/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est encore là, un texte à la plume élégante, avec cependant quelques erreurs de prosodie par-ci, par-là, il me semble comme dans les phrases suivantes :
- Regarde ma peau nue te dessiner la trame - En lettres inconnues chuchotées dans la flamme - Le miroir aux échos renvoie l'ombre floutée Ce n'est là que quelques exemples, le "e" est bien souvent source de soucis au cœur d'un poème. C'est un écrit tout en sensualité, qui est plus éloquent, plus émouvant, sans doute le fait d'avoir utilisé ces verbes à l'impératif en début de phrases (Regarde, appose-là, laisse, façonne, imprime-moi) cela donne à l'écrit un côté vivant. Il y a comme un échange par le jeu des "ma, tes, mon, ta, nos" plaisante naissance d'une relation qui se dévoile. La forme serait un peu à revoir, pour mieux mettre en valeur ce poème de belle facture. |