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Anonyme
18/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Cette "toile du temps" "sur les futurs brodés" il faut se placer bien et savoir la lire. C'est un poème extraordinairement riche, foisonnant d'images. Melenea nous entraîne dans un univers de femme, entre le seau qui contient le coeur essoré et l'ouvrage, enfile ton aiguille charmante couturière... et le temps passera...
Elle donne à voir les douleurs cachées des femmes, les patchworks, leurs espoirs aussi, accomplis, ou pas. A la pointe de sa plume, il y a le ventre des femmes. Bravo. |
FABIO
18/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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"TOUJOURS RENAITRE DE SES CENDRES" malgré le temps qui passe
Un magnifique texte d'optimisme pour ceux qui regarde leur rides dans la glace. Rien n'est acquis tout est a faire Rien n'est perdu et rien ne se garde Voila ce que je ressent en lisant ces vers magnifiques quel écriture |
xuanvincent
18/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai apprécié les images de poème, en dépit de la violence, de la noirceur que j'ai ressenties en le lisant.
"Découper la toile du temps à la pointe de nos dents" : voilà une fort jolie façon de débuter ce poème ! "Et raccommoder le tout En patchwork de vie" : J'ai également apprécié cette image (où, par ailleurs, vers la fin, une note d'espoir me paraît malgré tout possible. Ensuite, à partir de cette image, les images m'ont paru, comme dans les précédents poème, se poursuivre avec fluidité. |
Anonyme
18/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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... Et ne jamais capituler. Tu es bien sombre, mel ! Au sujet de ce temps qui passe, de ce "lugubre passé, sans héros" et qui nous tient captives dans sa toile. Ici, j'ai pensée à l'araignée qui attire ses proies dans ses rets. Captives, au féminin, oui. A coup sur. Comme le choix de ton vocabulaire :
"Charmes", "chairs", "sein", "raccommoder", "brodés" ... De l'irréparable outrage des ans, tu fais un inénarrable ouvrage, un "patchwork" De l'art d'accommoder les restes ! ^^ Tu nous réserves quand m^me un bel espoir dans le dernier couplet. A coup sur, tu ne parles pas pour ne rien dire. |
Anonyme
19/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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la mise en forme est bien j'aime bien. J'ai trouvé par contre que c'était pas facile de rentrer dedans. La première strophe ne m'a pas offert la situation dans laquelle je me trouvais en lisant ce poème, et malheureusement je n'ai pas accroché. Pourtant le vocabulaire est bien mais c'est assez complet comme poème il faut s'attarder sur chaque vers pour essayer de comprendre. Tant pis pour moi...
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lotus
20/8/2008
a aimé ce texte
Bien
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Ah le temps, cette espèce de fou qui gifle le présent...
Des mots forts et bien choisis " :Découper", "morceler", "Déchiqueter","écorcher ","raccommoder" et de belles images, certes un peu sombres mais qui donnent, au final ,un beau texte. Lotus |
cielsmonloup
2/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est très fort, presque trop d'images très fortes, on est toujours en haut des crêtes ... besoin de respiration .
Mais comme c'est beau et tragique ... ! j'aime beaucoup. Merci, Mel, tu me parles de moi ... |
Cyclid
4/9/2008
a aimé ce texte
Bien
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Le vocabulaire volontairement tranchant nous plonge dans un texte sombre, partagé entre violence et espoir.
J'aime ce genre de poème où la plume crache noir, étouffée par le voile du temps... Merci pour ce moment. |
marogne
2/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une bien triste évocation du temps qui passe et de l’heure des bilans qui ne sont pas toujours remarquables… Mais encore une fois avec melenea, c’est fait avec tendresse, avec amour, et, comme en amour, ça se finit dans l’espoir toujours recommencé de demain meilleurs.
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Anonyme
23/6/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Le moins que le puisse dire c'est que ce texte a du mordant.
"La toile du temps", nous prend au piège de notre passé, de notre présent et fera de même avec notre futur. J'ai été totalement absorbé par les propos tenus dans votre poème, sans doute parce qu'il m'est très parlant. Vos mots font écho à mes maux. " La morceler au tranchant Du couteau de peau Et jeter les lambeaux En pâture aux charognards Du lugubre passé, sans héros " Ou encore " L’écorcher de nos plaies Qui brûlent en son sein Sur les silences en souffrance Dans l’abandon des mots Vidés de leur substance Morts ou vifs " Il me faudrait encore citer les deux dernières strophes si profondes, si expressives. Votre écrit s'est montrée très à l'aise, plus vraie, votre phrasé n'a pas cherché emphase, ce qui donne un autre ton, une autre dimension à ce poème. Il y a un véritable ressenti qui est communicatif. |