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| AMIDOU
6/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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La vie en ....plutot dans toutes ses couleurs : En bleu d'azur, en bleu foncé en bleu vert,en or et en argent. Des couleurs en parfaite harmonie d'un joli tableau que depeint ce trés bon poème que j'ai bien aimé lire.
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| Anonyme
6/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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étonnant, troublant même, comme un même mot peu évoquer des réalités, des émotions ou sentiments différents, voire paradoxaux.
Bleus du ciels, ceux de l'océan et bleus de l'âme, il faut le talent et le travail du poète pour en exprimer les nuances. Tu as bien réussi cet exercice, malgré quelques facilités peut-être (aster solaire) ou lourdeur (villégiature).Par contre j'aime beaucoup "eaux,céans" et "cyan-osé" et puis luneo ne peut qu'adorer "dans le blues d'une lune" |
| lotus
6/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai bien aimé ton" tableau" car c'est vraiment ce que j'ai pu voir à la lecture de ce poème.
Du bleu, du jaune, de l'or...une vie en couleurs... J'ai aussi apprécié les jeux de mots dont tu fais bon usage. Lotus |
| Anonyme
6/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une ribambelle de bleus, pas de bleu à l'âme ou de blues, une luminosité, un calme. C'est du luxe, ça, Ma Dame...
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| Anonyme
9/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Quand le bleu se teinte, qu'il se fait mauve
Les échimoses ... J'aime beaucoup, vraiment. Edition, j'avais oublié de noter |
| Anonyme
6/9/2008
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Je trouve qu'il y a une recherche d'expressions qui in fine enlèvent à la poésie plus qu'elles apportent..
Et puis, le sens. Je suis un fanatique du sens. Oh je ne demande pas beaucoup.. Juste le sens général. Là je n'en trouve guère. Attention poème, danger ! On devrait écrire ça partout où on s'essaie. |
| David
7/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Mélénéa,
J'ai revu la statue de la petite sirène d'Andersen à l'entrée du port de Copenhague, avec son marbre émeraude marqué d'écailles salées, entre deux brasses dans les vers colorés. Les majuscules de "Nuit" et de "Or" m'intrigue un peu, celle de "trait Majorelle" est une référence à un peintre, et ces jeux de mots timides, "eaux, céans" et "cyan-osé", à trois ils n'auraient été que discrets, pour ce "hématomes" de fin par exemple, le dernier genre de bleu. Un peu de réticence pour la fin, un côté morale de la fable, même si ce n'est pas une morale, un retour au réel plutôt. Mais moins que d'en d'autres poèmes de toi, il y a encore à lire sur le bleu-vert, l'hématome, le blues... |
| marogne
10/9/2008
a aimé ce texte
Bien
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Je suis désolé de ne pas avoir accroché à ce poème, tant j'ai aimé d'autres textes de mélénea. j'ai cherché le sens, et je n'ai trouvé que l'exercice, j'ai cherché les sensations et n'ai trouvé que vocabulaire et technique.
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| Anonyme
10/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je n'ai pas adoré ce qui me semble plus relever de l'exercice de style que de l'envolée inspiratrice.
Je relève cependant une jolie tournure : "Les eaux, céans," ... Trop de déclinaisons de bleus nuisent au fond, qui, j'en suis persuadée, te cherche, mel. Moi, je n'arrive pas à le trouver? C'est ma très grande faute ^^ La poésie ne me semble pas en danger, loin de là ! |
| Anonyme
22/6/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je vous ai relu avec attention, pour savoir pourquoi je n'accrochai pas à ce texte qui au premier abord semblait des couleurs diverses et variées. Ici encore votre écrit m'a plu que par petites touches.
Il y a trop d'effets donnés, cela débouche sur un aspect artificiel. Vous avez un trop usé des adjectifs qualificatifs, je n'ai pas le temps de m'imprégner d'une image posée qu'une autre m'arrive, c'est perturbant. Vous m'avez perdu dans ce flot de couleurs, de senteurs, que je trouve un peu "anarchique" à mon goût. Mon regard n'a pas eu le d'apprécier ... C'est particulièrement saisissant dans cette strophe : " Se conjuguent les bleus aux contrastes saisissants, Sur les jaunes d’un tournesol, la chair d’un épi de blé, Dans le turquoise froissant le firmament, Et l’éclat d’un outremer à l’écho défait. " Un écrit qu'il faudrait peut-être revoir, il a un beau potentiel, le nuancer. |
