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Anonyme
6/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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" Mais pour qui donc sonne le glas " ? Pour quelqu'un qui se sens vide de sens, qui a perdu ses émotions, ses souvenirs, et qui donc ne parvient plus à transmettre cette vacuité ?
La question faisant titre, répétée une fois à la fin du premier couplet et une deuxième fois au début du dernier, confère toute la structure du poème. Et puis les images, allez hop, en voici une : " L'infini se plie tel un origami " Très parlant. Une autre : " Quand je grapine le pluriel Des souvenirs transparents " Tu transmets, toi mel, en revanche, si bien cette transparence et cette sentence du glas, que je doute fort que ce soit pour toi qu'il sonne. Bravo. |
Anonyme
6/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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De très belle trouvailles qui mettent en valeur une belle finesse d'esprit. C'est dommage ces participes présents, peut-être aussi que c'est juste moi qui n'en ai pas le goût.
Ah le temps, quel thème... :) |
Anonyme
6/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Certains mots peu courants et agréables à lire dans un poème comme "origami"... Moi je connais aussi l'ikebana mais ça s'arrête là je crois...LOL J'ai bien aimé, le titre ne me transcende pas et sa reprise dans le poème non plus donc... (Ah, il est pénible avec son originalité çui là...) Des mots bien trouvés dans l'ensemble, une sonorité agréable, un fond commun mais toujours efficace, un bon poème quoi.
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ristretto
6/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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de très belles images
et le titre revient ... un écho.. dans le vide |
Doumia
8/8/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Ce poème aurait pu être beau, s'il y avait un peu plus de coeur, il n'y a pas grand chose qui passe en fait, tout le début est une simple suite de mots recherchés. Dommage !
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marogne
16/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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j'ai bien aimé l'impression de vide qui se dégage, petit à petit, de la lecture de ce poème. On est peut de chose quand la passion a déserté, et le temps se plie, inutilement aux caprices du faiseur d'origami.
J'ai bien aimé. |
Anonyme
24/6/2017
a aimé ce texte
Pas
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Je vous ai lu et relu, rien à faire je n'accroche pas.
Je n'arrive pas à trouver de l'émotion au cœur de ces mots posés. Ils se succèdent les uns après les autres. Leur enchainement est froid, presque mécanique. Il arrive parfois que l'on écrive pour soi oubliant que lecture sera faite. D'où un poème déclenchant comme une absence de partage. J'ai eu beau insisté, je me suis perdu dans le labyrinthe de votre phasé, trop éloigné de mon ressenti. |