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Alikezo
24/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'y ai vu des mots qui dessinent un portrait, un visage, un corps et une âme...telle une esquisse au fusain. J'ai pensé à une Melanéa devant son miroir poudrant son visage pour fondre les contours (poudre d'oubli), un regard profond et réaliste sur l'empreinte du temps, sur ce que l'on laisse derrière soi au delà de l'apparence...Une impresssion de légèreté, instant fugace et très joliment suggèré, sur un thème où pointe une gravité bien réelle...Touché!
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belaid63
24/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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un peu tourmenté tout ca!
tu écris: "Qui me songe assez fort pour me prêter volume Et peindre mes couleurs sur les linges d’atours Resterais-je réelle sur les sommeils posthumes Quand mes traits s’effaceront aux vides contours…" j'ai particulièrement aimé ces vers |
Anonyme
26/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce thème est celui que je préfère. Et il est si bien traité...
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Anonyme
27/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Plus mélodieux que le précédent que je viens de lire mais tout aussi bien. Un délice pour l'oreille parfois, et pour l'esprit tout le temps.
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Anonyme
23/8/2008
a aimé ce texte
Bien
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C'est doucement aigre, j'aime beaucoup, j'y vois la tristesse d'un poème Saturniens (Mélancholia), et c'est peu dire à mon humble avis.
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Anonyme
23/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Moi qui ne suis pas une adicte de la métrique, ici, j'ai eu un peu de mal avec quelques uns de ces alexandrins qui n'en sont pas vraiment. Bon, pas grave en soi, car les thèmes du temps, de la nostalgie, des remords et des regrets, tu les abordes, Mel', avec des images et des formules, sinon toujours originales, toujours très belles. Parmi mes préférées :
"Qui me songe assez fort pour me prêter volume", dans ma strophe préférée d'ailleurs. J'aurais opté pour une écriture en prose, jusque à cette ultime strophe, à la métrique irréprochable, enfin je crois ^^(hem hem, j'ai pas vu la césure mal plaçée, hein !), qui coule très fluide, et que j'aurais laissé en vers. mais c'est ton choix, chère mel' Merci pour ce moment de partage. |
marogne
29/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Sépia.
Sépia, c’est le mot qui m’est venu à l’esprit après une deuxième lecture. Oui, il m’a fallu deux lectures pour apprécier, comme certains mets fins qui ne souffrent pas la précipitation… Réflexions sur le temps passé, sur ce qui nous a fait quand l’ectoplasme que nous sommes se dissout dans le brouillard de l’humanité, ne laissant, avant que de disparaître, que d’infimes rêves sur la toile oubliée….. Sérénité, est le deuxième mot/pensée dont je voudrais qualifier ce poème. |
Anonyme
25/6/2017
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J'ai eu beau vous lire vous relire, ce poème mise à part le côté sombre qu'il véhicule, n'a pas vraiment retenu mon attention.
Plus j'avançais et plus j'ai eu du mal à vous saisir : " Qui s’inquiète des maux sous le poids de la plume Écrivant au noir goudron sur les carrefours Quand les vapeurs camouflent les trous du bitume Nul reflet ne vient gâcher le vol du vautour " Il y a là un manque évident de fluidité, j'ai l'impression d'avoir à "digérer", une plâtrée de mots. Le ressenti est absent. Les mots sont oppressants, bien trop amalgamés les uns aux autres. Je pense que c'est votre style, mais il ne me convient pas tout à fait. Il fige ma réflexion. |