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Anonyme
30/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Chanter aussi bien le galet à une Méditerranèenne, c'est un chant de sirène, je m'y connais en galets et tu en écris les atours à merveille.
"Des ricochets perdus Dans l’onde perforée Par une pluie de galets" "Dans chaque galet Croisant notre route Se porte une histoire Un fond de poche Et le songe en réveil Sur la bordure des eaux" |
Anonyme
30/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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De belles images, un poème bien rythmé... Le galet inspira aussi Francis Ponge il me semble, dans son fameux recueil "Le parti pris des choses"... Cela n'a rien à voir évidemment.
J'ai aimé "les souvenirs dépolis" de ce galet, "les ricochets perdus", et "l'onde perforée"... Et le poème dans son ensemble, avec sa fin "métaphysique"... Très joli. |
ristretto
30/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Aux souvenirs dépolis
Un fond de poche Et le songe en réveil poème tactile, un lancé qui me touche merci |
Anonyme
30/7/2008
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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comme c' est bizarre ! vous avez dit bizarre ? Mel et nine ne se sont pas concertées, mais on pourrait le croire. c' ets juste une juxtaposition de pensée, un hasard, pur, si tant est que nous croyons aux hasards.
En tout cas bravo, mel, et pour le fond et pour la forme. Celle-ci fait vraiment ricochet, et je te dis en éval : |
xuanvincent
30/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un bien joli poème, j'ai aimé relire ce texte.
Les images, autour du mot "galet", m'ont plu. Elles m'ont fait voyager des cieux jusqu'à la surface de la mer, à travers le temps et les songes, jusqu'à ce mystérieux "autre côté". |
Athanor
30/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je ne me lasse pas de relire ce superbe poème.
La dernière strophe est celle que je préfère. Les images défilent, le souffle n'a pas le temps de se reprendre en fin de strophe que déjà l'oeil dévore celle d'après. Très beau. Merci pour ça. |
Leo
31/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Très joli texte, qui évoque plein d'images, plein de galets qui ont croisé ma route. J'en revois des plats, des ronds, des dorés, des galets d'eau et des qui poussent au milieu des vignes...
Le choix de ne pas ponctuer est, dans ce cas, heureux. On va de vers en vers comme en apnée, comme si on attendait que le galet ait fini son dernier ricochet. Mais dommage de ne pas avoir poussé ce choix à son terme ultime, et de ne pas les avoir enlevées TOUTES. Celles qui restent m'arrêtent l'œil et, bizarrement, m'empêchent de respirer, tant elles sont inattendues, presque incongrues. |
Anonyme
1/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Très beau ça sort du fond du cœur du l'auteur et ça rentre directement dans celui du lecteur.
Comme le dit le proverbe indien : "Si la recherche de la femme aux formes parfaites a été infructueuse, alors entamez celle du galet aux formes parfaites." Bravo Melenea ! |
belaid63
1/8/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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ce poême ne ricoche pas n'importe ou, sa trajectoire est claire, sa cible les coeurs. le mien est touché par la grace de ce joli travail
bravo mel |
cielsmonloup
4/8/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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"de mie d'innocence" j'aime beaucoup.
Le thème m'a parlé autrefois d'une autre ambiance, "petit galet des bords du Rhône", c'était le cri d'une femme amoureuse et triste, utilisée. Je te prends, je te caresse, puis je te jette, et j'en prends un (une) autre ... Merci Melenea, je regarderai les galets d'un autre oeil désormais. |
Olalla
4/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Les galets, je les photographie sans fin : gris, noirs, mouchetés, secs, tachés de pluie, ronds et doux, et ronds encore... Mais je n'en n'avais jamais LU de si beaux !
O. |
marogne
2/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Plaisant voyage à partir d’un « simple » galet dans, au moins, trois monde de réflexions.
Et on commence par un double hommage, Magritte et Calvino, merci pour cela. En quelques vers on se retrouve dans le monde de ce fabuleux italien, et on retrouve l’envie de ces villes tout au long du texte, jusqu’à la fin, où, peut être, la ville là-haut dans le ciel, n’est peut être pas réellement en Espagne, du moins on peut l’espérer. En passant, il est une mode depuis deux ans, dans les gorges du Verdon, dans ces gouffres effrayants que j’ai essayé d’évoquer dans une ou deux nouvelles, qui consiste à faire de petites tours en posant quelques galets les uns sur les autres. Quand il y en avait quelques uns, c’était presque un jeu, puis il y en a eu des dizaines, des centaines, simplement 3 ou 4 galets les uns sur les autres, et on est à l’orée d’un nouveau monde, où ces tours semblent garder des secrets que le commun n’a pas le droit de connaître. Ils en deviennent effrayant, d’un coude du torrent à l’autre, toujours présents, malgré les flots déchaînés, les orages, …. Le deuxième thème que j’ai apprécié, cela a été le monde de l’enfance, le galet comme catalyseur du souvenir, sentir cette belle matière dans la main, pleine et chaude, douce et palpitante, l’envoyer sur l’eau et jouir de la voir rebondir. Enfin, le galet comme instrument de passage d’un monde à l’autre, de l’enfance à l’âge adulte, du réel aux villes d’Italo comme magritte nous l’a illustré si brillamment. |
Anonyme
25/6/2017
a aimé ce texte
Un peu
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D'ordinaire j'aime assez que l'on prêtre une vie aux objets, mais ici, sauf par des phrases par-ci par-là, m'ont fait rejoindre ce sentiment "Objet inanimé avez-vous donc une âme".
Je ne vois que descriptif que les différentes formes et utilisations du galet, pas vraiment d'originalité dans ce texte. Je retiendrai cependant cette strophe : " Petit poucet Sème les champs De mie d’innocence Sous les dolmens Où dorment les géants D’un sommeil envoûté " Pour sa fraîcheur, et son côté un peu décalé... |