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Max-Louis
23/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bon jour Melenea,
Cristal de mots éclairent les formes, Félines, offertes, dans une coupelle De sensualité laquelle se transforme En lèvres prêtes à devenir arcs-en-ciel ! Max-Louis |
Leo
24/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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L'exemple même d'un texte où la ponctuation n'est pas liée à des symboles, mais au rythme et à l'espace dans lequel s'inscrivent les mots. Il y a dans ce poème une ponctuation spatiale et rythmique bien meilleure que dans beaucoup d'autres, victimes d'une attaque par des seaux de virgules ou des aspirateurs à points. La dernière strophe est un véritable régal par sa construction et sa musicalité.
Sur le fond, il y a des inégalités dans les images, mais l'ensemble est agréable. Autant les deux dernières strophes présentent un rythme et une musique excellents, autant les premières semblent quelque peu mièvres, convenues, sans relief. Un peu plus de recheche, dans le même sens que la fin, auait été souhaitable Ma ça ne fait rien : des comme ça, on en redemande ! |
Anonyme
24/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un goutte à goutte bien distillé jusqu'à la noyade finale dans une terre très aquatique à mon sentiment, ou les "racines" d'un amour profond s'insinuent pour la durée, comme celles qu'un chêne, par exemple, déploierait.
Mais l' "arbre" est "enterré" dans les siennes propres ? Serait-ce à dire qu' "il n'y a pas d'amour heureux" ? Louis Aragon n'est pas loin, ni Georges Brassens, des pensées qui traversent mon esprit à la fin de ma lecture. Loin de moi, par contre,l'idée de comparer tes mots, mel, qui sont tout différemment agencés. |
Anonyme
24/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Les mots se rencontrent à point nommé, créent les images, suggèrent les idées. C'est très, très bien fait, très joliment rythmé, ciselé finement. Encore SVP.
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Anonyme
24/8/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je suis un peu déçu par le rythme et la musicalité de ce texte
Pourtant la forme poétique choisie (es vers libres) autorise en principe l'expression du talent. Ici, certains syntaxiques me paraissent douteux (tango, mikado...) certaines images, éculées (toucher d'âme, regard océan, voiles lascifs...) Dans la dernière strophe justement les assonances et dissonances relèvent à mon avis de choix hasardeux ce qui en enlève beaucoup de musique poétique.. Merci tout de même de cette lecture agréable |
Anonyme
24/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Légèreté troublante. Douceur des trois premières strophes. A partir de la quatrième, un vent souffle sur les "châteaux de mikado" et si j'étais chapardeuse je prendrais bien ces trois mots dans ma besace. La quatrième et la cinquième strophe, j'aurais aimé les écrire.
Chapeau Ma Dame. |
Ulysse
27/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Léger et subtil. J'aime.
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marogne
2/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Magnifique premier couplet ! Comme, pour moi, les « étoiles hurlantes qui s’effondrent en chuchotant ».
Une bien jolie et plaisante évocation de ce jeu subtil pendant lequel les âmes se frôlent, se touchent, lascives, dans la perspective de l’épanouissement. Encore une fois une œuvre toute en retenue, des images magnifiques, dont on se souviendra, une tendresse tout juste touchée du fleuret de l’amour dans la soie. |
Anonyme
23/5/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Quelle belle entrée en matière :
" Toucherr d'âme Dans la légèreté d'une aile De papillon en vol Saur le tango du vent" Le ton est donné, voilà un poème tout en délicatesse, en volupté. " Indolence vaporeuse Des gestes cocons Que l’on décroche D’un horizon vivant Dans un regard océan " Je crois que je pourrais citer tout votre écrit, les images sont splendides et très évocatrices, du plus bel effet. J'ai aimé lire et relire ce phrasé, il m'a enchanté. |