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TITEFEE
28/11/2008
a aimé ce texte
Bien
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L'attente fébrile, folle, et inutile...poème qui fait mouche...
j'espère avoir bien rendu l'atmosphère qui se révèle à chaque mot. http://sd3.archive-host.com/membres/up/1086141494/divinecomedieMelleSAY.mp3 |
strega
28/11/2008
a aimé ce texte
Bien
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Hop, je reviens poster un peu, et ça tombe sur vous.
D'emblée, j'ai aimé le crescendo d'images et donc d'émotions procurés au fil du poème. Le ton dans l'ensemble m'a également touchée. J'ai particulièrement apprécié la seconde partie de la dernière strophe. Je regrette un peu d'(avoir était perdue, j'ai l'impression (qui n'en ai pas qu'une) d'avoir raté quelque chose. Les "Elle", les "les", je n'ai pas saisi... Je n'ai pas vu non plus le rapport à le Chant XIII. Vous serez-t-il possible de m'expliquer par MP ? Sinon, ben tant pis pour moi :) |
David
29/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjor MelleSay,
Au début ça part sur celle d'une illusion cette attente, ça pourrait être un tas de chose, l'amour, la liberté plutôt tant cette attente est immobile, des images de prison, grillage, fer, porte, camisole... comment la liberté pourrait être illusoire ? "Elle" a pris "l'Autre". |
craone
2/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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Salut Mellesay,
Le début de ton poème me pararaissait un peu morne et puis soudain les vers qu'on voudrait avoir écrit "le lit de fers croisés... le mal qu'on lappe..." Ca me touche. Et puis la lecture de titefee, super. Tous les textes devraient être lus comme ça. craone |
Anonyme
23/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Texte intéressant, qui est à lire, à relire.
Ce "l'attendre", vient, cherche, frappe, heurte, interpelle, quémande, la réflexion. De strophe en strophe, je sentis l'urgence, la fébrilité déclenchée, de cette relation instauré par "l'attendre", encore et toujours. " Mais l'attendre toujours Brisée d'obstination Verrouiller jusqu'au jour Grillageant Détournant " La dernière strophe est palpitante, l'émotion se fait plus intense, plus angoissante aussi, encore, toujours et plus dans le questionnement. Il me faudra venir relire, car je pense n'avoir pas entièrement été jusqu'au bout de mon ressenti. |