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Corto
27/3/2019
a aimé ce texte
Bien
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...Et la fable est bouclée !
En termes simples cette petite histoire est plaisante. La moralité mériterait une soirée de débat, mais on peut aussi d'en passer ! |
BlaseSaintLuc
4/4/2019
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Tout cela pour une morale bien moralisante, complice ou pas ? Voulant sauver les siens, il en est donc ? Ne rien dire alors pour ne pas se perdre ? Dénoncer un autre après tout ?
Mais quoi, c'est le fond que l'on juge ou la forme ? Le fond est discutable et la forme ne me siéd point . Mélanger un manant à des couards, comme si la différence ne se voyait pas ? Payer si cher son bout de pain, la petite histoire ne tiens pas ... La corde. |
papipoete
20/4/2019
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Mey
" L'affaire est grave messieurs ! il va falloir choisir une tête à couper ! Et si l'on ne choisissait personne ? " Les 5 autres " courageux "ne pouvaient rêver meilleure aubaine ! C'est sui qui dit qui yait ! Le silence est d'or, et peut parfois rapporter gros et l'occurence fonctionne ! Les 5 gentilhommes purent déclarer " nous, on n'a rien dit ! " " condamnèrent au sommeil " pourrait adoucir la sentence, mais ici ce terme me parait inadapté, parlant du gibet où l'on dore cuit au soleil, plus qu'on ne dort paisiblement ? |
Vincente
20/4/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Une fable pour une morale bien pesée.
La finesse du jugement pourtant dépend et gagne en qualité par le double sens que l'on doit entendre dans le terme "innocence". D'une part celui qui signifie la non culpabilité et d'autre part, celui qui sous-entend la candeur. Le second vient paradoxalement renforcer et complexifier le premier. J'ai trouvé très intéressant de soulever l'effet pervers d'une bonne volonté sans cynisme, avec un gentil qui ne manigance pas, le développement m'est apparu très bien mené dans cette perspective. |
senglar
20/4/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Mey,
Je pense que je ne vous surprendrai pas en disant que votre fable me fait penser aux "animaux malades de la peste" de notre bon Jean de la Fontaine où l'âne, cousin de votre manant, avoua avoir tondu d'un pré la largeur de sa langue (alors qu'il aurait très bien pu se taire), faute vénielle au regard des fautes du tigre, de l'ours et autres puissants et moins puissants dont le le loup et le renard. On cria donc Haro sur le baudet qui fut sacrifié au sauvetage commun. Ici il ne s'agit pas de jugement de Cour mais de condamnation de courette. Le résultat en est cependant bien le même. Consternant de réalisme et comme cela est bien énoncé. Morale : Ne soyons pas sentencieux ni raisonneur. A la fin c'est toujours le puissant qui gagne et vivent ses affidés qui, au final, lui ressemblent. Belle leçon pour qui oublie de tourner sept fois la langue dans sa bouche avant de ... Ceci dit Socrate aussi dut boire la ciguë. Virtuose juste ce qu'il faut :) senglar |
Donaldo75
20/4/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Mey,
J'ai beaucoup aimé cette fable que j'ai trouvée bien rythmée, bien tournée, et surtout carrément d'actualité. "Le sourire aux oreilles et sans hésitation, nos cinq compagnons condamnèrent au sommeil, ce malheureux garçon pour son indécision… " Excellente fin ! Bravo ! Merci pour la tranche de rigolade. Donaldo |
Anonyme
20/4/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai trouvé que ce texte se serait peut-être passé de sa moralité.
Non pas que je conteste sa teneur, mais j'aurais bien vu finir sur cette strophe " Le sourire aux oreilles et sans hésitation, nos cinq compagnons condamnèrent au sommeil, ce malheureux garçon pour son indécision… " Cela entraînait un questionnement intéressant sur le sens de cette fable. |