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poldutor
12/6/2019
a aimé ce texte
Bien
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Très plaisante poésie traitée à la manière d'une fable, avec des vers courts ce qui donne plus de rythme. La morale est amusante.
Une petite erreur "Mieux vaut par de temps de pluie" dans ce vers la 1ere préposition "de" me semble une faute d'inattention. |
Corto
14/6/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voici un poème humoristique qui prend l'allure d'une fable grâce à sa moralité.
Bien écrit, sans prétention, il nous entraîne dans une aventure du quotidien. Mais si l'on s'amuse à l'inverser avec pour base "A force de frimer on finit par tomber…" on pourrait envoyer ce citadin sûr de lui dans un village du pays Inuit. On pourrait alors admirer son comportement dans la neige par moins trente degrés, surtout si un ours blanc se profile à l'horizon... Comme quoi chacun gère son destin à sa manière. Merci à l'auteur pour ce divertissement. |
Lebarde
19/6/2019
a aimé ce texte
Bien ↓
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Oú est la frime? Deux amoureux marchant enlacés sous la pluie? Le fait que ce sont des Inuits habitués aux sols glissants?soit.
Histoire très gentillette pour illustrer une morale quand même très légère que Lafontaine n’aurait pas oser mettre en vers. Ce poème libre se lit bien mais de là à s’enthousiasmer il y a un grand pas que je ne ferai pas. À bientôt |
embellie
23/6/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Jolie petite fable qu'on pourrait résumer ainsi : il faut, dans la vie, toujours regarder où l'on pose ses pieds. C'est aussi une leçon d'humilité, ..."que de s'imaginer plus fort que la nature". Les traits qui définissent les personnages ( à force de frimer - paradaient dans le froid - négligeaient le danger - et par trop de fierté) nous préparent à la chute, sans jeu de mot. Je trouve le titre bienvenu, destin équivalant à fatalité, avec une évidence proclamée dans les deux premiers vers. Ce petit texte moralisateur, avec lequel je pense on ne peut qu'être d'accord, est bien agréable à lire.
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STEPHANIE90
13/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Mey,
une mini-fable ou prône un vieil adage mais ou, sous couvert se dévoile plutôt une catastrophe du réchauffement climatique lorsque la glace fond le terrain devient glissant au minimum... voir inexistant, malheureusement pour ces deux inuits enlacés. Merci pour cette jolie poésie sans injonction à... Enfin si, mais avec un côté dérisoire qui me sied bien ! Au plaisir, StéphaNIe |
senglar
13/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Mey,
Souriant !... Je crois que nos deux Eskimos ne vous en voudront pas trop du petit tour que vous leur jouez par lequel vous dénoncez un des effets (pervers) du réchauffement climatique. Alors pour la bonne cause ils veulent bien être ridiculisés un peu et pour vous pardonner vous font un bisou sur le nez. Vous ne le leur avez pas cassé au moins ! :))) ))) ) Senglar |
Anonyme
13/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Deux Inuits qui font fi des pièges hivernaux citadins, c'est bien trouvé pour imager la "frime "
" ces touristes anonymes paradaient dans le froid. " une petite fable amusante , une moralité espiègle. |
Donaldo75
13/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Mey,
J’ai trouvé cette fable marrante, rythmée, bien tournée. Elle est décalée au regard des autres fables que je lis par ici, manie bien l’humour urbain et la malice paysanne. Bravo ! Donaldo |
papipoete
13/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Mey
Touriste, on balaie du regard les monuments, ou un vol d'oiseaux rares prenant son essor... mais au sol, ne s'y passant rien, point n'est besoin d'assurer son pas, nos pieds y veillent ! Ce qui est vrai pour nous, l'est aussi pour ceux qui ont l'habitude de " patiner ", mais... NB une image rigolote que ces deux-là, venus d'un pays où il ne pleut pas... mais au macadam plus glissant qu'une savonnette au bain ! Et patatras, le cul par terre et les gens qui regardent ces frimeurs ! Moi qui marche aussi bien qu'un scaphandrier, j'ai la tête d'un cheval à bascule, tant j'opine du bonnet ; en bas, en haut ! en bas, en haut pour ne pas glisser sur le trottoir ou ne pas louper le caillou scélérat qui m'enverra les fers en l'air ! je trouve votre texte tout simple, mais si drôle ! |
Anonyme
14/7/2019
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Mey,
Les "fables" ne sont pas trop ma tasse de thé. Cependant je salue l'inventivité de celle-ci, son écriture simple, efficace. On doit, bien sûr pouvoir lire entre les lignes, mais j'avoue ne pas adorer l'exercice. D'autant que les "Inuits" victime de leur frime, dans cet écrit, ne me semblent pas être représentatifs d'un peuple frimeur, plutôt victime. Merci du partage, Éclaircie |
jfmoods
14/7/2019
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Hormis le pentassyllabe du vers 19, ce poème se compose d'hexasyllabes. Les rimes sont pauvres et suffisantes, suivies, embrassées et croisées, parfois agrémentées de glissements assonantiques (vers 5/8, 10/12). Les vers 25 et 27 dérogent toutefois à la rime.
L'entame de la fable, d'un niveau de langue familier ("À force de frimer / on finit par tomber…), présente d'emblée une moralité que le dernier quatrain ne fera que contextualiser. La tonalité comique du texte tient d'abord à un effet de décalage... Les personnages ("deux jeunes Inuits") se trouvent plongés dans un monde dont ils ignorent les codes ("touristes anonymes"). C'est cette situation de départ qui va entraîner le rire. Nos héros manquent d'humilité : ils prétendent maîtriser un univers qui leur est étranger ("paradaient", "fiers"). Forts de leur expérience ("Habitués à glisser / sur patins et traîneaux"), ils sous-estiment ("négligeaient") l'obstacle qui se dresse devant eux ("un trottoir mouillé / par la pluie du matin"). Ils devront en payer le prix ("nos deux amants chutèrent"). La position adoptée par les deux partenaires ("marchaient enlacés") va évidemment précipiter l'accident et en appuyer le ridicule. D'autres éléments accentuent l'aspect drôlatique de cette fable... - le titre du poème, qui semble préparer des circonstances tragiques ("Un signe du destin") - le témoignage direct ("Ainsi donc je croisais") - la physionomie des personnages ("la mine déconfite") - le regard ironique porté sur nos Esquimaux ("Innocentes victimes / d'un climat trop ingrat") - la supériorité supposée du métropolitain ("Car seul un citadin / sait qu’il faut se méfier") - le recours à la litote ("Ce qui dut arriver [...] / ne tarda guère") Mais la fable n'est pas qu'un simple exercice de style destiné à nous plaire (par le dépaysement) et à nous faire rire (par circonstances comiques du récit). Elle a aussi pour but de nous instruire. Ici, l'ethnocentrisme (ce travers qui consiste à considérer le monde par le prisme du préjugé) est mis à mal, le relativisme (capacité à regarder le monde extérieur sans a priori) se trouvant implicitement défendu. Merci pour ce partage ! |
Marite
16/7/2019
a aimé ce texte
Bien
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Très amusant ce poème que, peut-être l'on pourrait assimiler à un "fabliau" à condition de supprimer la moralité qui le termine. Inattendu le sujet et ces petits vers bien "tournés" sont très plaisants.
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cherbiacuespe
22/7/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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Mais que voici un petit chef-d’œuvre d'humour et débordant de joie, un régal! Et je pardonne la faute de frappe (que celui qui n'en a jamais été victime jette la première pierre) "par de temps de pluie".
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natile
5/8/2019
a aimé ce texte
Bien
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petite histoire pleine d'humour qui pourrait arriver à n'importe quel touriste peu observateur et informé de là où il se rend. je ne suis pas très "fan" des fables mais je me suis laissé prendre à cette version légère et ironique
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