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izabouille
2/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est plein de nostalgie, c'est très beau. Je n'ai pas compris ce que représente le poisson, mais ça n'a pas d'importance, ça n'enlève rien au fait que j'ai bien aimé votre poésie.
Merci pour le partage |
lucilius
7/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour, j'éprouve souvent de la nostalgie face aux réminiscences enfantines. Peut-être parce que mon reflet s'y accroche ! Deux points d'interrogation : "Sans ton soutien en leurs grisailles", n'aurait-il pas été plus juste d'écrire "sans ton soutien pour leurs grisailles" ? "Ce pourrait-il signifier", la forme pronominale (se) n'est-elle pas de rigueur et ne manque-t'il pas un pied dans ce vers à moins d'une extrapolation dans la prononciation du verbe signifier ?
Hormis ces légers détails, j'apprécie la fluence de votre plume et la simplicité des mots qu'elle trace. |
papipoete
7/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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contemporain
Enfant, j'avais un poisson à la robe d'argent ; voilà bien longtemps qu'en ton bocal tu ne tournes plus ! Tes écailles brillantes me consolaient d'un chagrin, d'un revers de fortune ; lors, me voici devenir vieux et replonger dans les images de mon enfance, m'aidera à affronter demain ; << viens petit poisson d'argent ! >> NB la vie a tourné les pages de l'âge, jusqu'au dernier tome que le héros entreprend ; le vent des cheveux blancs souffle sur le livre des ans, et retrouver un compagnon aidera à faire passer le temps ; petit poisson d'argent s'y emploiera ! Le premier quatrain dresse le décor, avec ce miroir sans tain, mais miroir d'argent ... comme le petit poisson ! Nous avions le vairon, l'ablette, et la sublime perche-soleil mais l'eau courante leur manquait, et immanquablement le petit poisson périssait ! Vous avez opté pour " contemporain ", mais à part quelques rimes discutables ( chemin/chagrin ) ( père/familière ), la métrique est sans faute, et un " néo-classique " fut plus indiqué ? au 15e vers, " ce pourrait-il " il faut lire " Se ... " papipoète |
Castelmore
8/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bien ciselés ces cinq quatrains d'octosyllabes aux rimes masculines et féminines alternées ( je ne me prononce pas sur les rimes oublié / signifier, sage/âge , singulier/ pluriel ...) dégagent un charme léger au soutien de la mélancolie et la nostalgie du narrateur.
Pour accéder à ce charme , j'ai dû dépasser l'effet bizarre provoqué par les deux premier vers ... une arête qui a eu du mal à passer... Petit poisson, robe d'argent , miroir heureux de mon enfance Heureusement il restait dix-huit autres vers |
Anje
25/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bougé, marché, combattu et souffert seul. J'avais oublié jusqu'à ton existence. Je te retrouve et ta présence, comme en mes jeunes années, me rassure. Je me souviens, tu m'apaises.
Peut-être quelques retouches fluidieraient-elles un "miroir heureux" dont la répétition du r ne rend pas suffisamment le doux bonheur de l'enfance, un "t'avoir tant oublié" à l'effet mitraillette (tatatou) ? Ce n'est que l'humble avis d'un lecteur qui a pris plaisir à découvrir ce joli vague à l'âme dans un bocal. |
Anonyme
25/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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Les octosyllabes donnent un rythme mélodieux à ce texte.
Ce " petit poisson, robe d'argent " était-il dans un aquarium, ou bien symbolise-t-il les promenades à la pêche avec le papa ? Peu importe ; c'est l'enfance qu'il rappelle, quand l'automne commence à montrer son nez... " Je te retrouve en mon vieil âge ". " Je te retrouve et je profite Des images de cet antan " << On a souvent besoin d'un bain d'adolescence C'est doux de revenir aux sources du passé >> Un texte agréable, juste une pointe de nostalgie. |
cherbiacuespe
27/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est toujours sur nos vieilles années que l'on a tendance à revoir les moments de bonheurs simples pour lesquels, à l'époque, on ne prêtait aucune attention particulière. Peut-être est-ce la sagesse?
Je suis toujours convaincu par le style sobre, la simplicité des mots et les rimes justes. Une poésie plaisante et qui porte naturellement vers une réflexion sur la vie. |