|
|
izabouille
23/8/2018
a aimé ce texte
Un peu
|
Le travail est remarquable mais je n'ai pas trop aimé peut-être parce que ce genre de poésie ne me passionne pas vraiment, c'est un peu trop classique pour moi. Je me suis crue dans une peinture de Fragonard ou Rubens, avec les naïades, les petits oiseaux, les fleurs, etc... trop romantique
Cela dit, je ne connaissais pas Pierre Louys et Bilitis, maintenant je sais, merci Wikipédia et merci à toi, cher auteur dont je ne connais pas encore le nom. |
Anonyme
25/8/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour,
Je connais très peu Pierre Louÿs et son œuvre, aussi je ne saurai peut-être pas saisir toutes les évocation de cet écrivain. Votre poème est solide et de bonne facture, dans un style (le classique) qui n'est pas mon préféré. Un bémol pour le second quatrain qui présente un vers de onze syllabes seulement.(où faut-il prononcer na-i-ade, mais alors la césure semble mal placée). Le vocabulaire soutenu et l'évocation de la mythologie sont savamment distillés, les deux seules rimes jamais pesantes et l'ensemble très agréable à découvrir. Merci du partage, Éclaircie |
Gemini
27/8/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Vous n'avez pas fait un choix de rimes faciles. Particulièrement les "oue". Du reste, vous vous voyez obligé d’introduire une rime masculine, avec « amadou » sans doute pour ces raisons de rareté, alors que vous vouliez sans doute proposer des vers féminins en référence à Sapho, auteure prétendue de Bilitis.
Comme je n’ai pas lu ce livre, je manque cruellement de compétence pour traiter du sujet. En écriture, il y a quelques fautes de mesure, certaines pour des erreurs de décompte : v5 « fui » n’est pas en diérèse (« naïades » non plus), d’autres pour des problèmes de règle : v10 on ne peut pas mettre « glace » à la césure sans l’élider avec une autre voyelle, du coup, on lit très mal ce vers qui devient boiteux. En sus des Chansons de Bilitis, vous m’aurez fait découvrir, ménade et toue. Mais je garde l’impression que le texte est beaucoup plus mesuré que sa source d’inspiration. |
Miguel
28/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Une belle évocation du monde antique, de sa poésie, de ses mythes, et un bel hommage à Pierre Louÿs car ce poème, sans être une imitation, est plein de ce frémissement sensuel, à deux doigts si je puis dire, d'un érotisme fantasmé, si fréquent chez lui (pas toujours fantasmé d'ailleurs). Il y a de beaux vers bien balancés et de belles images ; quelques faiblesses prosodiques peut-être, même pour du néo, mais enfin on sent un souffle, une force, une inspiration d'un beau classicisme.
|
Donaldo75
10/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour MFAYARD,
Voici un poème bien tourné, avec de belles images et un champ lexical riche. Le choix des rimes, pas forcément les plus faciles à assembler et à colorier dans un tel tableau, est judicieux finalement car il ajoute à la tonalité impressionniste de l'ensemble. Je dis: "chapeau bas, maître !" parce qu'il fallait oser un tel pari, en plus de la référence à la poésie de Pierre Louÿs. Merci pour l'agréable moment de lecture. Donaldo |
papipoete
10/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
bonjour MFAYARD
j'ai toujours la pochette du disque Bilitis, dont la couverture m'était si douce ; mais depuis que je sais que David Hamilton, fut " plus " qu'un photographe, je n'ose plus regarder cette si troublante silhouette ! Je ne cherche pas le sens de tous ces sons en " ou/oue ", comprenant à demi-mot ce qu'ils évoquent ! Cette prière à la Belle enfuie, est fort délicatement écrite, en particulier dans l'ultime quatrain . techniquement, je puis me prononcer, ne sachant la forme originale proposée par l'auteur ! |
Carmiquel
10/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Vous n'avez pas choisi le plus facile quant aux rimes ! Mais chaque vers, avec une grâce ionienne s'avance vers son bout et on entend quelque chose des Cyclades .
|
MFAYARD
11/9/2018
|
Modéré : commentaire de l'auteur sous son texte (si besoin, ouvrir un sujet dans "Discussions sur les récits").
|