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Lulu
24/9/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce poème pose la question de l'existence et du déjà vu. En bref, qui sommes-nous et d'où venons-nous en ce monde où les réminiscences peuvent nous laisser septiques face aux troubles qu'elles peuvent susciter. En somme, quelles frontières y a-t-il entre le rêve et la réalité ?
Ce que j'aime dans ce texte, c'est sa fluidité. Il a le mérite d'être clair, sans fioriture. Bravo pour cette composition. |
Anonyme
8/10/2014
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Salut Michel
J'aime beaucoup le sujet traité dans ce poème. Cette sensation de déjà vécu que l'on retrouve dans Fantaisie de Nerval et qui nourrit le mythe des vies antérieures. "Tel paysage sombre envahi de bruyères Vient me planter au cœur au détour d'un hameau Le sentiment aigu de revivre à nouveau Une scène inconnue et pourtant familière" Tu avances une hypothèse biologique "Garde-t-on dans un pli du cerveau reptilien Un fil qui nous relie à toutes existences ?" Elle ne tient pas car, comme toute chair, le cerveau reptilien se corrompt au décès de la personne. Si la forme est celle d'un poème avec rimes et alexandrins, le ton est celui d'un exposé. Tu pourrais peut-être changer de registre et passer au niveau Premium en remplaçant quelques termes ou expressions par des synonymes plus imagés. Mais tel qu'il est ton poème vaut déjà le détour Merci Michel |
Pimpette
8/10/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Beau sujet qui nous concerne tous et belle écriture déjà remarquée sans tes deux précédents textes que je vien de relire...Les Martinets...et Season...Je ne te louperai plus!
"Tel paysage sombre envahi de bruyères Vient me planter au cœur au détour d'un hameau Le sentiment aigu de revivre à nouveau Une scène inconnue et pourtant familière" On ne peut pas faire plus simple et plus exact.. Deux qualités de poète très importante Rien ici de prétentieux...la poésie est là |
leni
8/10/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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On ne rêve que de ce que l'on a vécu OU d'autres empreintes viennent ET ET le conscient guide l'inconscient mène Cette situation est clairement évoquée
Tel paysage sombre envahi de bruyères Vient me planter au cœur au détour d'un hameau Le sentiment aigu de revivre à nouveau Une scène inconnue et pourtant familière D'ou vient cette impression parfois d'avoir vécu D'autres temps, d'autres lieux, avant . Ces vers résument tout le poèmRéservé sur floutéeset cerveau reptilien Merci pour ce moment de lecture Salut cordial Leni |
Francis
8/10/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un beau poème qui ravive chez le lecteur cette impression étrange d'avoir déjà vécu des situations présentes dans un monde antérieur.
Les quatrains s'enchaînent, fluides et agréables à lire. Je me suis retrouvé dans cette question : "d'où vient cette impression ? " |
Anonyme
8/10/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Michel64... Sujet intéressant vu que soixante pour cent des humains se trouvent un jour confrontés à cette impression de "déjà vu"... J'ai un peu creusé ce thème et voici qui "dépoétise" la chose :
La sensation étrange de déjà-vu, trouverait donc son origine dans les mécanismes complexes de notre cerveau. Si les processus en jeu font encore aujourd'hui l'objet de différentes hypothèses, on peut néanmoins affirmer que l'explication est cachée dans le fonctionnement de nos systèmes neuronaux. Exit donc les phénomènes paranormaux et autres interprétations mystiques. Sarah Laîné A priori pas de liens avec une vie antérieure mais cela dit, on peut toujours rêver ! Ce poème décrit plutôt bien cet état de fait sans bien entendu y apporter de réponse et pour cause... C'est quand même un sujet hors du commun... Il fallait y penser ! |
Anonyme
8/10/2014
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Pour le fond il se pourrait que ces impressions de déjà vu soient simplement dues à un décalage temporel entre la perception d’une scène par les sens et la prise de conscience de cette perception par le cerveau (je crois me souvenir que Bergson fait cette hypothèse).
La forme est simple et maîtrisée. Néanmoins comme souvent avec ce genre poétique j’ai du mal à suivre de bout en bout. Ce doit être mon absence d'éducation classique. En fait j'ai l'impression que ce genre de poème est d'un autre âge, et non pas que je sois opposé aux anciens textes par principe, mais malheureusement je ne sais pas les apprécier à leur juste mesure, c'est pourquoi en général je m’abstiens de les commenter. Ici le sujet m'a interpellé, mais je ne vais pas évaluer car cela ne serait sans doute pas pertinent. En tout cas belle écriture même si les images ne m’emportent pas, ou est-ce le rythme. Cordialement C. |
Anonyme
8/10/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème de fil en aiguille, où tout s’enchaîne avec une agréable et fine fluidité.
Ainsi se mêlent l’inconscience, la conscience, en images floutées de poésie. J’ai aimé la balade proposée dans les réminescences de ton âme. Tu les dessines avec brio, au point d’avoir reconnu des impressions qui me sont familières. Etranges et troublantes sensations… éternelle question… J’aime ton écriture claire et limpide. Merci, Michel. Cat |
Anonyme
9/10/2014
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour, cher Michel,
Quel plaisir de lire de bon matin ce poème si proche de mes propres thèmes de prédilection, tous ces ailleurs si loin et si près de nous, cet invisible de notre réalité ! Et quelle fluidité, quelle efficacité, des images d'une beauté simple, authentique. J'adhère totalement à ce texte que veut dire quelque chose d'essentiel pour parfaire notre apprentissage d'être humain, qui vient nous guider vers ces chemins d'une plus grande sagesse, qui cherche à nous faire entrevoir ce bord de l'ombre, cette frontière illusoire où notre âme s'éblouit de lumière quand elle peut la franchir. Merci pour cette leçon. Bravo pour ce poème si délicieux. A te relire. J'écris actuellement une nouvelle qui, sans l'aborder directement, pourrait expliquer (sans aucune prétention scientifique d'ailleurs, juste un simple délire d'imagination) ce phénomène des réminiscences,cette impression de déjà vu. J'espère vous la présenter bientôt. |
Arielle
9/10/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Voilà un phénomène assez courant, qui nous surprend toujours et sur lequel vous vous interrogez plus en poète qu'en scientifique en dépit d'un vocabulaire un peu chargé dans le dernier quatrain : conscience et inconscient et surtout la présence de ce cerveau reptilien auquel je ne trouve pas beaucoup de charme. Jusque là les questions évoquées flottaient agréablement dans une brume qu'en définitive personne n'a encore réussi à dissiper. J'aurais bien vu le poème s'achever sur une des questions du quatrième quatrain.
Peut-être auriez-vous pu éviter la répétition du mot "images" dans le premier quatrain mais ce n'est qu'un détail. L'ensemble se lit avec plaisir grâce à sa fluidité. |
Robot
10/10/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai attaché plus d'importance à la rédaction qu'au thème.
J'ai apprécié un bel ensemble de vers, notamment celui qui clôt le poème: "Notre inconscient parfois effleure la conscience Nous laissant voir le bord de l'ombre de ce lien." auquel l'allitération en L donne un rythme ondoyant. |
kano
12/10/2014
a aimé ce texte
Un peu
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Un petit poème qui se laisse lire, rien d'exceptionnel pour moi, mais plutôt fluide, pas d'accroc sur les sonorités.
Cependant la poésie doit dépasser la description, et saisir l'évocation, ici vous ne faites que décrire un phénomène en utilisant le langage poétique: ça ne suffit pas. C'est, comme mon appréciation l'indique, "moyen". Plus d'images, plus d'évocation, plus de suggestions ! |
patro
12/12/2014
a aimé ce texte
Bien
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Sentiment partagé d'avoir attrapé des "flash-back" évanescents ; j'aime cette mise en mots d'impressions troublantes .
Je passe vite les vers 13 à 18 (trop questionneurs ) pour m'approcher de l'ombre où bouillonnent nos rêves . Encore un bon moment de "songerie" que nous offre Michel! |
papipoete
13/12/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Michel64
Me voici au bord du lit, content d'être réveillé, me demandant : " mon âme, où vas-tu chercher tout ça ? Ne crois-tu pas que le vécu soit déjà suffisant, pour que tu m'emportes dans des films, où moi le héros jamais cette histoire je connus ! " Mais la vie qui va, nous réserve parfois des surprises, quand coïncidence ou fait du hasard nous installe " pour de vrai " tout-en-haut de l'affiche . NB il est des sujets de rêve, que l'on voudrait avoir connus, et d'autres qui heureusement jamais ne verront le jour... la 3e strophe a cette couleur du " ouf, ce n'était qu'un songe ! " et la dernière ce voile vaporeux " si seulement ça pouvait arriver ! " je suis moi-même intrigué, quand un paralytique aujourd'hui remarche, ou bien celui qu'on disait " perdu " renait d'un tas de cendres. Des dodécasyllabes qui vont bien à se prêter à ce questionnement ! |