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poldutor
30/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Poésie pessimiste sur le temps qui passe, qui fuit. L'auteur(e) décrit la joie de vivre de l'aimé[(e)( ?)], qui vit sans se préoccuper du lendemain, c'est le contre pied du : "vivez si m'en croyez, n'attendez à demain Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie" de Ronsard. Thème original par son pessimisme, les auteurs préfèrent en général, conseiller de profiter de la vie et de la jeunesse qui somme toute, sont très courtes. Au 4ème quatrain le mot "poumon" ne fait pas vraiment poétique. La dernière strophe malgré son ton "désespéré" est de toute beauté. Cordialement. poldutor en E.L |
Provencao
1/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Dans cette expansion de douceurs infinies,
Tu arpentes les minutes, escalades les heures. Sur les parois vertigineuses de ta vie Tu jettes de la tendresse dans ton bonheur." Magnifiques vers où la douceur infinie, devient aussi une lucidité, et une subtile appréhension du milieu qui nous entoure. Cette délicatesse survient presque comme un éveil, une prise de conscience. Rien ne la dirige. Il nous faut simplement la recevoir, l'accueillir et la souhaiter. Et surtout, et c'est ce que j'ai trouvé très beau dans votre écrit, c'est espérer la rencontrer et la reconnaitre. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Gabrielle
1/8/2019
a aimé ce texte
Bien
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L'histoire d'une vie retracée dans ce texte.
Une vie à la coisée des chemins, le temps qui passe sans pouvoir revenir en arrière, l'immense splendeur du monde qui entoure, des beautés du monde à l'expansion des douceurs infinies, tout oeuvre à la construction d'une vie, à son cheminement pour en arriver à la fin certaine de l'aventure de vie. Un texte qui parle de l'intime, de la capacité à vivre des instants de bonheur, du temps qui passe... Merci à l'auteur(e) pour cette lecture qui évoque si bien les instants de vie... |
Anonyme
2/8/2019
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Désolée, j'ai trouvé ce "chemin" plutôt convenu et légèrement ennuyeux, certes assez bien écrit. L'irrégularité du nombre de syllabes est un peu gênante. Un détail : "Tu suis la voie sans une ombre et un doute." le "et " me semble inapproprié, je verrai plutôt "ni" qui ajouterait une syllabe, voir "ou", pas tout à fait le même sens, cependant. J'ai bien aimé : "Tu jettes de la tendresse dans ton bonheur.". La ponctuation serait peut-être à vérifier, ainsi : "Les ans sous ton pas les traits sur ta figure," la virgule n'irait-elle pas mieux après "ton pas" ? Bonne continuation Éclaircie |
natile
8/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai lu 2 fois ce poème et c'est à la seconde lecture à haute voix que j'ai pu l'apprécier. En effet la musicalité en ressort mieux, on peut même imaginer un petit film où on verrait le personnage changer au gré du temps qui passe. Belle écriture.
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Anje
26/8/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Il faut lire plusieurs fois et oublier la ponctuation trop aléatoire pour se faire une idée du texte. Pas de tournure alambiquée mais, au contraire, quelque évidence (respirant l'éther vital dans tes poumons) donnant au vers une dose de puérilité qui jure un peu avec cette "expansion" sortie d'un manuel de biologie. Enfantins et peu gracieux aussi "les traits sur ta figure".
Un poème simple sur un chemin qui ne m'a pas ébloui malgré, de ci de là, une étincelle comme arpenter les minutes et escalader les heures. Merci. |
papipoete
26/8/2019
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bonjour MichelPierron
Je crois comprendre que ces deux êtres ne sont pas au diapason, et que chaque rayon de lumière finit au fond d'un sillon creux. C'est écrit de belle manière, trop peut-être pour évoquer un sujet si ordinaire ? Techniquement, les vers à la métrique irrégulière semblent volontairement de cette longueur. Je ne note pas en raison du " compliqué " du traitement, mais à l'écriture de qualité ! |
wancyrs
26/8/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Salut Michelpierron,
On sent à la lecture du texte se dégager deux sentiments antagonistes : l'un qui dit le bonheur au quotidien, et qui demande d'en profiter, mais l'autre, celui du coeur qui se serre à savoir que toute chose a une fin. Une belle écriture dans laquelle j'ai beaucoup aimé la poésie de la troisième strophe : À l'aube éblouissante, tu ramasses la joie Dans le sillon naissant du nouveau jour Ton esprit baigne et ton cœur se noie Dans l'immense splendeur, qui t'entoure. La dernière strophe arrive comme un espèce de couperet qui annonce la fatalité pour tout humains. Même si l'expression n'est ni amère ni vindicative, mais parfois parsème de beau une existence condamnée à avoir une fin, elle apporte un brin de tristesse, comme un cheveux sur la soupe, dans ces moments de bonheur qui s'écoulent. Merci pour le partage |
Robot
27/8/2019
a aimé ce texte
Bien
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Ce poème est d'une bonne écriture, les sentiments qu'il exprime sont ressentis. Cependant j'ai eu de la difficulté à donner un rythme car l'irrégularité métrique fait qu'on accroche un peu à la lecture et à l'oral surtout. (tantôt il faut appuyer sur les e, tantôt il faut les élider) Je pense que vous auriez du faire un choix, soit tous les dire, soit tous les élider.
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senglar
27/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour MichelPierron,
Poème sur la course inexorable du temps et l'impossible retour en arrière avec cette inévitable croisée des chemins qui ne laisse cependant pas ici place au doute. Le narrateur choisit sa voie sans aucune hésitation - là où il convient généralement de douter - et son sentier est semé d'optimisme. Tout est concrètement et spirituellement pour le mieux dans le meilleur des mondes ; on croirait lire Leibniz. Deux certitudes ici : le bonheur (reçu et dispensé) et la vieillesse dont je ne crois pas cependant qu'il faille lire dans les lignes de la main pour la prédire, prise d'abord dans le sens du constat, la fin inéluctable du cheminement heureux du narrateur, lue avec nostalgie dans sa progression temporelle sur les traits de la figure. Pourquoi le mot "Mektoube" me vient-il à l'esprit ? Il est vrai qu'il aide beaucoup à l'apaisement... Alors, si l'on a bien agi en plus :) Voilà un poème qui nous change de la morosité ambiante. Il est vrai que marier Leibniz et "Mektoube"... Peut-être un peu tautologique. Senglar |
Miguel
28/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Chaque vers de ce poème apporte sa petite ou sa grande trouvaille, en tout cas on trouve à chaque fois du nouveau, même si le thème, lui, est bien classique ; mais la poésie est moins dans ce qu'on dit que dans la façon dont on le dit. Et ici, pas de doute, on est bien dans la poésie.
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