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rosebud
16/1/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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On dirait que la belle inspiration du début s'éteint petit à petit et toute la dernière partie depuis "c'est une femme et c'est un ange..." me semble trop convenu et le poème aurait dû s'arrêter juste avant.
Parce que le début est très réussi: "elle est toute blanche elle est toute bleue" est si simple et si amoureux... ou: "elle a des yeux comme des joyaux, parfois j’ai peur qu’elle ne les perde" est parfait. |
brabant
31/1/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour MickaelFerriz,
Bon, faudra travailler vos incipits hein :) Poème qui bat l'amble mais qui se trompe parfois dans ses allures tant il a envie de se mettre au galop. C'est mon impression (lol). - pourquoi "un" pain ? 'le' ? - "laissé coulé" : j'aurais essayé 'touché coulé' - blanche, bleue... ou "rose" ? lol - "dentelle ou bien peau" : ça n'est pas "identique". 'égale' ? - pourquoi votre "déchéance" alors que tout indique le contraire ? 'rédemption/sublimation/etc... etc...' ? Bon ben, j'espère pour vous que vous ne l'embrassez pas sur la bouche votre belle cavalière aux yeux et au sourire chevalins :) Poème évanescent qui a peut-être besoin d'être étrillé pour mieux en faire ressortir la beauté de sa robe. A mon humble avis hein ! :))) A vous relire avec plaisir pour la légèreté et l'enthousiasme du ton. |
David
4/2/2013
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Mickaelferriz,
Ça m'a un peu évoqué un titre de film, mais je ne l'ai pas vu et je ne sais pas s'il y a une métaphore derrière le fait qu'un personnage parle à un cheval. Ça restera mystérieux dans le déroulé des vers, une jolie description où à travers les descriptions de la muse se devine la passion de celui qui parle d'elle. La fantaisie de certaines descriptions, dans les strophes en "Elle est... /C'est... ", "Quelquefois... ", "C'est une... ", celle des couleurs estompée aussi, qui font un peu refrains parmi les autres, ça permet de ne pas tomber pas dans une surenchère de vocabulaire transi (du genre elle est belle, magnifique, somptueuse, etc.) et donne de la légèreté à l'ensemble. |
tchouang
6/3/2013
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Commentaire modéré
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Anonyme
26/7/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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"Elle parle aux chevaux", ce n'est pas ce qui est le plus
marquant d'Elle dans cet écrit. J'ai plutôt été séduit, mais pas complètement, par ces petits bouts d'Elle que vous nous laissez entrevoir. Car il est palpitant de ne pas trop la détailler. Il me faut un peu de mystère, "elle a un sourire qui s'étale", vous couper l'effet en ajoutant "comme du beurre sur un pain", qui n'est d'ailleurs pas vraiment une belle association d'image. Je n'ai pas trop compris, "lorsqu'elle respire", pourquoi "tout lui revient inexorablement" ?? Par contre très beau : " elle est toute blanche elle est toute bleue, c’est une rose sans épine qui de ses lèvres sait adoucir le monde " La suite de votre écrit, est beaucoup moins, plaisante, vous m'avez perdu, j'ai eu un peu le sentiment qu'il en était bien trop fait. Vous me la rendez moins émouvante, plus ennuyeuse. |