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Edgard
30/6/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Quelques éclairs poétiques, mais, à mon sens perdus dans un excès de verbiage.
"Et dans ces destinées furieuses on retrouve la vague léchant l’algue fragile avant de l'arracher du cœur de la roche luisante et protectrice" "Les avenirs s'insinuent entre les branches de temps irascibles" "L'Éclair nous guide inventeur de lui-même Il est nid et feuilles d'automne" beaux passages, mais: "Comme empressé d'arriver dans la peur de finir" je comprendrais mieux "empressés" "On voudrait du bonheur à chacun de nos âges Dessein d’un bungalow flottant dans les nuages" Plus terne, moins imagé, moins original... Une impression mitigée, un texte qui n'arrive pas à m'emporter vraiment . |
Provencao
10/7/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Bonjour Mintaka,
J'ai lu plusieurs fois votre "Autolyse", et je me suis vraiment posé la question, comment comprendre cet écrit sibyllin entre cette dialectique temporelle de l’instant et l’angoisse des destinées furieuses ? J'ai eu la sensation que des croyances, des souvenirs et des avenirs semblaient suspendus dans une flamboyante diaspora d'éternité. Comme si ce moment de l’instant devenait dès lors corrélé au moment " du début va la fin". Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
10/7/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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bonjour Mintaka
Dès que l'on quitte le nid douillet, le ventre de notre mère, on déclenche le compte à rebours... pour atteindre la fin du voyage, qui peut être long heureusement, mais hélas si court quand le Grand Manitou, en décide autrement. Je devine que vos vers égrènent ces moments, où ça se bouscule vers la sortie... NB j'ai particulièrement apprécié cette image du 9e vers, que je revois ( pour qui connait ) en bas de la Fontaine de Vaucluse où le lit de la rivière n'est que chevelure d'algues vertes... Ce texte n'a pas besoin de ponctuation, puisque chaque ligne est un vers plein... |
Marite
10/7/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Lecture très confortable de ce poème même avec l'absence de ponctuation, chaque vers, court ou long, se lisant d'un souffle. L'ensemble s'apparente, à mon sens, à une réflexion, une méditation sur notre perception humaine de l'écoulement du temps. Certains mots utilisés m'ont cependant intriguée à commencer par :
- le titre "Autolyse" qui d'après ce que j'ai pu trouver comme explication pourrait s'apparenter ici à "dissolution" ? - la qualification "irascibles" pour les branches du temps ? - "l'Eclair" qui nous guide ? Si je me pose ces questions c'est que ce poème diffuse un "je ne sais quoi" qui me laisse dans l'attente d'une meilleure compréhension. |