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Provencao
15/4/2018
a aimé ce texte
Pas
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Je n'ai pas accroché avec cet écrit. .j'ai trouvé l'ecriture simple, sans attaches, sans couleur.
Malgré ce quatrain:"Sur cette barque Dans la douceur du matin J’écris ces lignes Au fil de l’eau" Qui a mon sens pouvait nous convier à une histoire intetessante.. J'en suis désolée Au plaisir de vous lire Cordialement |
Ombhre
16/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le poème se lit facilement, agréablement, et on y revient pour le savourer à nouveau. J'ai beaucoup aimé cette balade en barque, et la chute qui donne son sens au poème.
Deux images m'ont toutefois surpris: "Seul au bois du temps" ne me parle pas, je ne vois pas et ne comprends le sens de ce vers. "Un liquide apaisé", le mot liquide m'a dérangé (même si je vois bien l'image et le ressenti), trop factuel et pas assez onirique par rapport au reste du texte. Enfin, le mot "aller" dans le dernier vers, est, à mon humble avis, de trop. La chute y gagnerait en musicalité sans rien modifier au sens de la phrase. Merci pour cette belle lecture. |
Anonyme
25/4/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Seules les deux dernières strophes, en relation avec l'exergue, ont retenu mon attention.
Les autres n'ont pas suscité, chez moi, un intérêt sensible ; avec des images qui ne m'ont pas étonné. A vous lire une prochaine fois. |
Robot
25/4/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un titre ambitieux dont je cherche l'inspiration dans les quatrains et qui dénote avec la simplicité d'un texte qui ne m'a pas transcendé. Tout est correct et attendu. J'espérais mieux d'un texte libre. Un écrit qui a oublié de se lâcher sur le rythme et les images.
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papipoete
25/4/2018
a aimé ce texte
Bien
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bonjour MioModus
Sur cette barque qui dérive au fil de l'eau, je ne songe à rien, les poissons peuvent " gober " tranquilles ; j'écris sur cette feuille que j'avais sur moi, au cas où ? NB un poème qui put être charmant, avec cette ambiance bucolique, en laissant planer les contours de celles auxquelles pense l'auteur . A la 4e strophe, j'aurais préféré voir " elle/son visage " et " je reprends la rame " dans le quatrain final, rompt la rêverie dans laquelle l'auteur était plongé les yeux ouverts . |
Marite
26/4/2018
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Peu de "fantaisie" dans cette poésie publiée en catégorie libre. J'aurais été sensible à des strophes et des vers plus irréguliers, à des expressions surgissant en désordre, au fil de la rêverie. Le titre est aussi très compliqué, à la fois par les mots et par les sonorités qui s'y trouvent. Ce poème m'apparaît comme un "premier pas" dans l'univers de l'écriture poétique.
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Anonyme
26/4/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je regrette, une fois encore, le manque de ponctuation. Il faut chercher à poser son souffle, c'est ennuyeux. Le plaisir de lire ce texte est un peu mouvementé.
Lorsque j'arrive enfin à me poser avec plus d'aisance, sur vos propos, je découvre un texte simple, très touchant. J'ai dans cette nouvelle approche de belles images qui glissent sans effort et m'entraînent dans un délicat ressenti. Vous n'en dites pas trop et cela me convient, je vois ici l'ébauche d'un moment furtif, qui implique ce besoin de l'écrire, pour mieux retenir son "essence". Le titre semble un peu étrange "Accostant à la graine des êtres", mais cela fait parti du petit mystère ... J'aime bien ce partage de l'instant : " Sur cette barque Dans la douceur du matin J’écris ces lignes Au fil de l’eau " |
Gabrielle
26/5/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il semblerait que ce poème soit un hommage rendu à "elles".
Il existe tout un cheminement pour arriver à la "graine des êtres" : "Sur cette barque Dans la douceur du matin J’écris ces lignes Au fil de l’eau" (1ère strophe ). Le souvenir est présent (2ème strophe et 3ème strophe) de façon implicite puis de façon explicite dans la 4ème strophe : "Sur cette barque Dans la douceur du matin Je pense à elles Vois leur visage", confirmant ainsi l'idée du souvenir. La dernière strophe est consacrée aux préliminaires d'une prochaine rencontre : "Rires et sourires Sur le rivage Je reprends la rame" puis la rencontre elle-même (chute). Merci à vous pour ce partage. Bien à vous. G. Michel |