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Anonyme
24/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai bien aimé cette façon de traiter le cheminement du désir depuis la rencontre " Deux tendres inconnus se dévorent à la nue "
jusqu'après l'assouvissement " Deux pauvres ingénus se dérobent à la nue. " " L’impatient appétit, ce sournois ennemi, Abrite en son sein un vulgaire feu de paille, Une soif effrénée de chérir à tout prix." |
StayinOliv
24/2/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Vous maitrisez la technique des métaphores et du langage poétique mais à la lecture de votre poème j'ai trouvé beaucoup de sonorités dures à l'oreille. Il n'est pas assez fluide pour ma part. L'exemple le plus marquant : - D’exquises fragrances sur leur souffle s’attouchent ( que c'est dur à lire et à prononcer ) Mais cette rencontre m'a plu et allumé en moi un certaine flamme qui ne manquera pas de briller plus fort j'en suis sur à la lecture de vos prochains écrits. Olivier |
Vincendix
25/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un désir charnel insensé et réciproque qui disparait dès qu’il est apaisé, c’est « humain », et plus il est soudain, plus vite il retombe, laissant parfois un goût amer.
L’évocation de cette idylle éphémère est reproduite assez justement dans ce texte malgré quelques vers que je trouve un peu sibyllins, d’autres inharmonieux et des paradoxes comme un « doux baiser langoureux qui mord », « une douce envie » alors qu’elle est plutôt brutale En conclusion j’ai tout de même bien aimé, le sujet est original, dans son ensemble, l’écriture est bonne. |
mina
25/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour , le style m'a touché , il y a une certaine musicalité, j'aime le clin d'œil de la dernière strophe . Désir de chair, plus que d'amour . Bravo .
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Pussicat
4/3/2016
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j'ai bien aimé l'incipit, comment vous m'avez embarquée dans ce rêve, ce désir inassouvi, cette envie d'aimer qui vous prend à l'improviste... et la suite est à la hauteur de l'introduction.
j'ai particulièrement aimé le double discours des vers seuls qui se répondent entre les quatrains qui déroulent cette rencontre entre "deux inconnus"... le poème tient la route de bout en bout avec ce charme de casser le rythme par le jeu des virgules : "Rêvant, muets, de mots qui ne se disent plus," "S’uniront un court instant, scellés, seuls, sans bruit : Psyché à son Amour, Calliope à son Parnasse." les images sont bien choisies, évocatrices, elles dessinent en noir et rouge, le tableau de cette "rencontre éphémère, frêle et ténue" le noir pour la nuit, le rouge pour la passion le dernier quatrain est sublime de déception, quand tout part en fumée, quand ce rêve est grillé par cet irrépressible soif "de chérir à tout prix". Bravo ! j'ai pris un grand plaisir à vous lire, |
Lefablio
6/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Miss Neko,
J'ai aimé le rythme soutenu de votre poésie conjugué à l'éphémère d'une étreinte amoureuse j'entends le pizzicato d'un violon pourtant posé dans un écrin de velours rouge!!! |
Lotier
21/1/2023
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Un poème forgé de l'extérieur, du regard d'un observateur détaché, un peu à la Doisneau, sur cette idylle. Le plus curieux est cette absence totale de distinction entre l'un et l'autre : pudeur, recherche d'universalité, de fusion ? Comme si les sentiments étaient à ce point réciproques qu'il était impossible d'en attribuer la primeur à aucun…
La métaphore pourrait être aussi soupçonnée que cette rencontre éphémère ne soit que le reflet d'une amour beaucoup plus longue (et nonobstant l'exergue…). « Amoureux d’une nuit se boivent à l’envi. » le poème aussi est fruité en bouche… avec une petite amertume sur la fin de la dégustation. |