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Cyrill
21/5/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
Un style télégraphique, ou comme une to-do-list, pour se remémorer des petites ou grandes blessures. Dans une atmosphère qui rappelle une audience au tribunal, ou alors un parloir ? Il me semble que vous avez hésité entre plusieurs cadres mais en les choisissant tous. C'est dommage, on ne sait à quoi se raccrocher. Les évocations sont nombreuses et certaines m'ont plu "Pépient les œufs de l’âme" "Sangloter doucement Aussi, sur l’amoureux Honte rougit de loin." "Ménage de printemps" "Celui de nos grands yeux De nos premières fois Notre premier debout Sur le fil du rasoir Sur les vagues du lac Sur les cimes d’amour" Très joli, ce dernier passage. Mais il me manque ce cadre plus restreint pour faire une unité. Merci pour le partage |
Gabrielle
25/5/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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La liberté de créer un nouveau système de codification permettant une renaissance de la poésie rattachée à un courant pouvant être défini comme une expression du romantisme.
Une très jolie forme lettrée qui met en exergue la sensibilité et la finesse de son auteur. Amitiés. Gabrielle |
Corto
4/6/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Diable, lorsqu'on ouvre la boite de pandore les souvenirs se déchaînent.
C'est en tout cas mon impression et dès les "chagrins d'enfant" c'est la bousculade avec des formules inattendues dont j'aime parfois l'incongruité. "Règlement de contes" / "Siffler les ancêtres" / "Aérer le moisi Et faire bouffer l’air" etc. La dernière strophe sonne comme une apothéose où il est temps de mettre encore du désordre dans cette vie pour "la gourmande envie". J'ai bien aimé ce chamboule-tout qui malgré son apparence ne demande qu'à être partagé par ceux qui écoutent leur vie intime. |
Anonyme
6/6/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour MissNode
Un poème intimiste (comme votre poésie, le plus souvent). J'ai aimé le titre, assez solennel et un brin "officiel". L'exergue précise cette "injonction". Le poème (plus contemporain que libre à mes yeux) bâti sur des hexasyllabes non rimés (hormis le vers "Et la soif arrose") prend toute sa dimension dans la force des images, des enchainements, de l'alternance des impératifs et de l'absence de pronom personnel. Je lis une progression dans les souvenirs qui iraient de l'enfance à l'âge adulte dans les trois premiers paragraphes pour faire une synthèse bien poétique au dernier paragraphe. Une poésie que j'aime, merci du partage, Éclaircie |
Ombhre
7/6/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour MissNode,
quel beau poème intime et intimiste vous nous écrivez là ! J'ai aimé cette façon délicate et discrète d'éveiller en nous ces souvenirs, parfois attendus, et parfois moins... Ce thème universel de la mémoire trouve ici une expression que chacun peut s'approprier, les rattacher à ses propres souvenirs, car rien n'est dit, mais tout est suggéré. Ce texte est empli de belles images : "et dire les sésames, ouvrir les portes rouillées", "Règlement de contes", "Vidanger mauvais fiel", pour n'en citer que trois. Un seul reproche qui m' empêché de mettre "passionnément" en appréciation: je vous ai trouvée prisonnière d'une forme en hexamètres presque omniprésente (sauf dans la dernière strophe où vous semblez ne plus vous en préoccuper) qui a parfois, à mon sens, perturbé votre écriture, en l'alourdissant par endroit, ou en en rendant le propos peu clair à d'autres. Mais ce n'est qu'un ressenti très personnel. Merci pour ce beau partage. Ombhre |
MissNode
16/6/2021
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Discussion et remerciements ici : http://www.oniris.be/forum/merci-pour-audience-t29300s0.html#forumpost406587
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