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Anonyme
15/6/2018
a aimé ce texte
Pas ↑
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J'ai fait un peu la moue en vous lisant car je ne suis pas vraiment emballé, la répétition de :
" posez vos mains posez vos lèvres sur mes lisières " Rend très monotone la lecture. Dans son ensemble c'est un texte qui manque singulièrement de force, de conviction, l'idée est stagnante. Elle renvoie sans cesse à la même image, qui pour moi, n'a pas un grand intérêt. |
Anonyme
15/6/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ces " duvets " et " lisières " imagent une sensualité sensible dans la relation des souvenirs.
J'ai bien aimé cette idée transmise : " solitaires poètes au cœur d'un chaos posez vos mains posez vos livres sur mes dérives " " sous mes bas seuls lieux rassurants " (...) |
Lulu
15/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour MissNode,
Eh bien, en ce qui me concerne, j'ai bien aimé ce poème que j'ai trouvé très musical ! Il y a un jeu entre les personnages "posez vos mains posez vos livres sur mes dérives" Puis, un jeu entre la narration et le lectorat… J'ai trouvé cela vraiment intéressant, ce côté ludique dans la "douceur" et la "volupté". J'ai particulièrement aimé la troisième strophe, et le rythme d'ensemble avec ces vers très courts qui participent de l'ambiance active qui se dégage du texte. On retrouve un thème qui vous est cher : "ces eaux désertes"... ou les "eaux", tout court. Vous qui aviez peur, chère MissNode, de ne pas toujours pouvoir exprimer verbalement dans un poème, ici, je trouve que l'on entend une vraie voix… La syntaxe est respectée, et cela me semble être un atout (en tout cas, en ce qui me concerne), car lorsqu'elle est malmenée, on court le risque de se perdre un peu… Enfin, j'aime assez la sobriété de ce poème. Tous mes encouragements, et au plaisir de vous relire. |
Donaldo75
16/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour MissNode,
J'ai beaucoup aimé ce poème très évocateur; il est subtil, léger tout en restant réellement poétique, construit comme une chanson courte pour les grands. "posez vos mains posez vos livres sur mes dérives" Bravo ! Donaldo |
Eki
18/6/2018
a aimé ce texte
Bien
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Voluptueuse respiration de vos mots et battements de poésie comme des échos qui semble revenir dans ce refrain.
J'ai aimé ce ruban de douceur. Eki |
Robot
24/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Ce numéro 1 laisse supposer d'autres envois. Celui-ci me plaît par l'originalité de sa composition avec une petite réserve sur l'anaphore "il y avait". A mon goût, si elle était supprimé en conservant seulement un emballement - une douceur - une sauvagerie, ces strophes auraient une entrée plus forte. D'autant que l'anaphore "posez" me paraît suffisante comme leitmotiv.
Mais ça ne m'a pas empêché d'apprécier ce poème. |
MissNode
24/6/2018
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Je vous retrouve volontiers sur : http://www.oniris.be/forum/aux-visiteurs-de-en-memoire-aux-duvets-1-t25852s0.html#forumpost345034
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Anonyme
6/7/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour MissNode,
Le deuxième épisode vient de paraître, je laisse ici une trace de mon passage, car je voulais chercher une éventuelle continuité dans les poèmes 1 et 2. Ce poème est tout en sensuelle douceur, rien de "torride", mais délicatement "solide" et "fragile" à la fois. Je regrette un peu ce "il y avait" repris 3 fois, comme si l'auteur voulait insister -un peu trop ostensiblement- sur un passé - révolu ? Heureusement le "leitmotiv" à l'impératif vient adoucir l'impression. Et pour revenir à ce leitmotiv, ce serait sans doute intéressant, plus à mes yeux, de trouver une variante pour sa troisième apparition. Globalement, j'ai bien aimé. Merci du partage, Éclaircie |
jfmoods
14/7/2018
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Ce poème - première partie d'un cycle - explore une perception sensorielle : le toucher (titre : "En mémoire aux duvets", métonymies : "doigts", "mains" × 3, "lèvres" × 2, "bras").
Cette évocation se présente sous la forme d'une parole en écho (adjectifs possessifs : "nos", "vos"). La locutrice relate une expérience tactile à la fois individuelle et collective au fil du temps (présentatif : "Il y avait" × 3). C'est d'abord l'épisode de la naissance, de la découverte d'un monde inconnu ("un emballement / un scintillement duveteux", "seuls humains errants / dans ces eaux désertes"). C'est ensuite l'enfance et l'adolescence (jeu antithétique mettant en exergue la variété des émotions : "une douceur / une volupté survoltée", image du débordement : "solitaires poètes / au cœur d'un chaos"). C'est enfin l'âge mûr (jeu antithétique établissant des limites : "une sauvagerie / un vibrato bien maîtrisé", image de la sécurité sensorielle : "sous mes bas / seuls lieux rassurants"). À cette relation à l'intime répond, en écho, l'appel pressant du toucher à explorer (impératif : "posez" × 6). La locutrice est invitée à découvrir, au fil des expériences ("vos livres", "mes dérives"), la palette des potentialités d'un sens, puis de tous les sens réunis (gradation : "sur mes lisières", "sur nos lisières"). Merci pour ce partage ! |
solo974
8/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Mon commentaire apparaissait deux fois !
C'est vous dire si j'ai aimé votre poème, MissNode... |
solo974
8/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour MissNode,
J'aime beaucoup votre poème. Votre style est vraiment très personnel et la sensualité qui émane de votre poésie m'a plu. J'ai particulièrement apprécié le "refrain" et la façon dont il est modulé. L'impératif est selon moi un choix très judicieux car il a une valeur incantatoire et contribue à renforcer, selon moi, la thématique du désir. Je reviendrai vous lire avec plaisir ! Bien à vous. |