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Raoul
17/8/2018
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je reste sur ma faim."Faisons simple voyez-vous", le problème, c'est que ce texte n'emprunte pas cette voie. Des circonvolutions alourdies par des nos/notre et vouvoiement pour ne pas dire grand chose. On est vraiment dans une carte du tendre (cuisson). Pourquoi parler de "silences/soupirs/regards, dont il ne reste que l'"indéchiffrable"aussi platement dit ? À mon goût - qui n'est que le mien - , cette recette - sentimentalité sur son lit de cresson - n'est pas du meilleur cru ou cuit. Pas convaincu. |
Anonyme
19/8/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Un poème qui me laisse un peu sur ma faim. Certes le menu semble alléchant, les "amuses-gueules" goûteux, cependant, le chemin depuis se "laisser deviner", jusqu'aux "mains et la peau" me paraissent bien un complet menu. Et tant mieux si "peu chaut au diable". "Faisons simple" ? La manière de l'exprimer ne l'est pas vraiment Un texte étrange, original, intéressant à découvrir mais qui n'a pas soulevé mon enthousiasme. Merci du partage, Éclaircie |
izabouille
23/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je n'ai pas compris pourquoi le titre 'Recette', je n'ai pas trouvé que c'en était une... Cela dit, la poésie est belle, elle raconte un instant, celui où il ne faut pas précipiter les choses, jusqu'à ce que le diable s'en mêle. Merci pour ce bon moment de lecture
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Anonyme
8/9/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce cinquième volet et sa " recette " me plaisent bien.
" Restons dans l'appétit voulez-vous petit à petit ... " comme chante Gréco : << pas tout de suite, pas trop vite >> " soupirs et regards indéchiffrables parfois émouvants " j'ai aimé ce passage. Par contre je n'ai pas saisi le sens : " de nos caves où mûrit notre vin " |
Anonyme
9/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Je n aime pas le dernier vers. C est trop abrupt ce dit il. Pas poetique.
Mais comme j ai beaucoup aimé le reste, la vivacité des mots et leur élégance, ça compense. Cependant, je pense que ces 5 mémoires sont assez inégaux et mériteraient un léger retravail pour forger un peu plus leur unité. |
Ombhre
10/9/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour MissNode,
un 5ème opus qui hélas ne me convainc pas. Je n'y ai pas retrouvé la douce sensualité des autres, cette légèreté qui est et n'a pas besoin de s'expliquer, mais plus une certaine lourdeur ("Voyez vous le grand avantage" par exemple). Là où, sur l'opus 3 en particulier, tout était sens et légèreté, j'ai trouvé ici une sorte de réflexion plus "laborieuse" que dans les opus 2 et 3 qui m'avaient séduit. La chute enfin m'a semblé trop brutale. Merci pour le partage. |
jfmoods
14/9/2018
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La poétesse met ici en scène une conversation fictive avec un homme ("Restons", "voulez-vous", "Faisons simple", "voyez-vous" × 2).
Il s'agit d'un argumentaire qui défend une certaine idée de la sensualité envisagée comme un dépassement des codes généralement admis (anaphore : "quand bien même" × 2), comme une épreuve de patience (images diverses figurant la montée du désir : "l'appétit", "petit à petit", "jouir un peu plus tard", "trop en quête d'air pur / pour nous rafraîchir", "nos caves où mûrit notre vin") préservant la densité du mystère que constitue la relation à l'Autre ("se laisser deviner - planera un doute", "indéchiffrables parfois / émouvants / et le Diable pourquoi !") et sur laquelle règnerait, sans partage, le langage des corps (personnification : "nos conversations se figeraient en l'air", gradations : "nous libérant / des pensées des mots des questions", "ne se dire que silences / soupirs et regards", locution restrictive : "n'avoir plus que nos mains / et toute notre peau"). Réponse cinglante au discours direct (expression ancienne : "Peu me chaut"), le dernier vers vient marquer la distance prodigieuse qui sépare l'imaginaire féminin d'un imaginaire masculin nettement plus terre à terre. Merci pour ce partage ! |