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Alcyon
28/9/2016
a aimé ce texte
Pas
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bonjour
j'ai aimé les deux premières strophes et puis j'ai décroché par la suite je ne trouve pas d'images fortes et j'ai un sentiment de "déjà lu" avec la dernière strophe le poème me semble brutalement interrompu j'aurais aimé une suite désolé |
Proseuse
1/10/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un poème qui part d' une vision réelle et coule petit à petit dans l' imaginaire de l' auteur(e), cela peut-être intéressant comme idée, mais, en l' état, je trouve votre poème pas assez travaillé pour être bien compris !
Merci et à vous relire |
Johannes
3/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une belle image de la rivière, de sa richesse, des surprises qu'elle nous offre à chaque instant.
Le style est fluide et se lit comme l'eau qui coule. Je peux me tromper sur les intentions de l'auteur, mais j'y vois personnellement une allégorie de notre vie, si variée, si surprenante, parfois angoissante, mais jamais ennuyeuse. |
papipoete
5/10/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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libre
Regarder couler l'eau et observer son domaine d'en dessous sa surface ; remarquer chaque détail, remous, cailloux, algues et comme pour les nuages au ciel, leur attribuer une figure, un rôle . La contemplation et l'imagination font de ce poème une peinture subtile et magique, magnifiée par des vers tels " par ici le soleil danse avec la lune un tango torride présidé d'honneur par le roi et la reine des flots ." NB il n'est pas nécessaire de débuter chaque ligne par une majuscule en poésie libre . Votre texte est fort bien ponctué ! papipoète |
Annick
17/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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J'aime beaucoup le sujet et la musicalité de ce poème par exemple les assonances en "a" qui reprennent le thème du"paysage", en écho, presque tout au long du poème.
L'imaginaire est au rendez-vous. J'aime ce regard sur l'eau et à travers l'eau. Mais il y a des redondances, qui alourdissent un peu le poème : en contemplation/observe/guette dans la première strophe. Dans la deuxième strophe, il y a : trou, gouffre, creux abyssal, vide et puis encore trou, brèche. Des mots trop nombreux dont le sens est trop proche. Il aurait été plus intéressant, à mon avis, de travailler sur le thème d'un relief plus varié : creux, escarpement, monticules etc... Mais vous m'avez emportée dans un petit moment de rêve. |
Anonyme
17/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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Prendre le temps de " contempler " " l'eau de la rivière " et la beauté de ce que le fond offre à nos yeux.
L'écriture est limpide, les images sont intéressantes. " Où le ciel troue la surface plane, À l'endroit des vasques, En un gouffre abyssal de vide Vers le creux de la Terre. " J'ai moins été séduit par les deux dernières strophes que je trouve moins poétiques. |
Ora
17/10/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonsoir, passées les deux premières strophes qui m'ont bien accrochée, j'ai été un peu perdue dans cette eau. Peut-être parce que vous évoquez des objets qui nous en sortent et nous ramènent à une autre consistance, solide (rochers, sable…), peut-être aussi parce que vous y mettez beaucoup de choses tant réelles qu'oniriques. J'ai bien saisi la rêverie que vous évoquez mais les images changeant trop vite, je n'ai pas réussi à vous y suivre. Merci quand même pour ce partage :) Ora
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jfmoods
18/10/2016
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Les inversions du sujet (titre du poème : "File l'eau", "Coule coule l'eau", "hurle une sorcière"), le recours au tutoiement ("je t'observe") ainsi que les mouvements latéraux et verticaux ("méandres et soubresauts") contribuent à bercer le flux de l'évocation. Le jeu du présentatif ("Il y a") délimite les différentes strates du rapport institué avec l'eau vive.
Le premier stade de l'appréhension se caractérise par un faux-semblant, un obstacle. C'est le ciel dont il va s'agir de contourner, tant bien que mal, la trompeuse, la vertigineuse perspective réfléchissante (lexique : "le ciel troue", "gouffre abyssal de vide", "creux de la Terre", "trou d'eau", "brèche ouverte"). Un second niveau d'observation va bien donner accès à la transparence de l'eau, mais à travers un premier jeu transfiguratif, par l'imagination mise en branle de la poétesse (personnification : "rochers... veineux / ... coiffés", verbe pronominal mimant l'action autonome d'un créateur tout-puissant : " le sable s'amoncelle par endroits / Faisant îlots qui affleurent / Ou plage engloutie."). Au troisième niveau, qui est celui de la contemplation profonde de l'eau (gérondif : "en scrutant"), l'univers du dessous est saisi d'une frénésie de mouvement enclenchée, dictée par l'inconscient de la spectatrice (complément circonstanciel de manière : "à mon insu", indications de mise en scène : "Par ici", "Par là", personnifications : "le soleil danse avec la lune / Un tango torride présidé d'honneur / Par le roi et la reine des flots.", "hurle une sorcière bleuie", "Elle semble se débattre / Avec le bouillon du courant."). Ce poème très suggestif pourra donner l'occasion de se plonger dans "L'eau et les rêves", essai virtuose de Gaston Bachelard. Merci pour ce partage ! |
Anonyme
18/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un poème un peu trop inégal je trouve.
Autant je n'aime pas le début, très (trop ?) narratif, assez rapidement ennuyeux (pour moi) parce qu'il décrit trop ("Il y a tout un paysage au fond de l'eau" par exemple, ça manque de force évocatrice cette phrase, je trouve); autant je trouve très belle la dernière strophe (et un peu aussi l'avant dernière) parce que j'ai comme une sensation de liberté dans l'écriture, on s'éloigne du "naïf", pour aller vers des contrées plus oniriques et ça me plaît bien. "En un gouffre abyssal de vide" à vérifier mais abyssal de vide ce n'est pas un pléonasme ? Bref, une plume que je découvre, un peu inégale, mais avec de vraies possibilités. |
Pouet
18/10/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Bjr,
Je n'ai pas été vraiment convaincu par cette lecture. J'ai trouvé quelques tournures un peu redondantes ou tenant du pléonasme à l'instar de "coule l'eau", "En contemplation, je t'observe", mais surtout"un trou d'eau, une brèche..." "un gouffre abyssal de vide/ Vers le creux de la Terre". Je crois qu'on peut parler d'un vrai trou ici nom di diou... :) Il me semble que pour un poème si court, employer "eau" quatre fois sans compter le titre fait un peu beaucoup. Il y a aussi deux fois "ciel" et une fois "cieux", "Par" qui débute trois vers de suite. Je crois que la fin du poème a ma préférence, plus originale à mon goût. Cordialement |
Marite
18/10/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Plutôt que "poésie libre" je verrais mieux ce texte en prose poétique. En fait c'est sans doute parce qu'il contient de nombreuses descriptions sans que j'y perçoive un lien avec la sensibilité de l'auteur. La répétition de "Il y a" pour commencer les trois strophes centrales nuit à l'aspect se voulant poétique.
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MissNode
18/10/2016
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Discussion et remerciements ici : http://www.oniris.be/forum/grands-mercis-pour-file-l-eau-t22780s0.html#forumpost302993
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Robot
25/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le libre convient bien à ce poème que je trouve moderne dans son écriture et différent dans sa manière de décrire et de "voir" la nature de cette eau sur laquelle tant de texte ont déjà été écrit.
J'aime beaucoup la manière originale dont les images du fond de l'eau sont présentées. |