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Anonyme
13/5/2018
a aimé ce texte
Pas
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j'ai goûté à votre eau (cette goutte à la mer jetée comme une bouteille, que précise le titre), sans y déceler une saveur particulière.
Au reste, à chaque entame de strophe, les mêmes choses convenues: 'L'eau perle' 'L'eau goutte' 'L'eau chante' 'L'eau mouille',(eh oui!) Bref pour moi de l'eau plate, sans vague poétique ni même clapotis. Ce qui vous tient à coeur de dire, effort louable, ne passe pas à mon sens par ce biais d'écriture là. Bonne continuation. Fowltus |
Anonyme
28/5/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Le titre "Goutte à la mer", semblait engageant.
Après ma lecture, je suis très déçu, une première et une dernière strophe identique, cette répétition n'apporte rien de marquant, car ces strophes sont sans originalité, sans efficacité. Le texte dans son ensemble reste bien trop commun, c'est du déjà lu et relu. Vos mots ne révèlent rien de spectaculaire, et n'ont pas assez de relief pour provoquer un ressenti, ce sont des propos trop anodins, ils manquent d'amplitude. Cette "Goutte à la mer" aurait mérité mieux. |
Lulu
28/5/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour MissNode,
J'ai bien aimé, pour ma part, ce poème qui me parle davantage que le dernier, même si je ne saisi pas tout. Il y a toujours une part de mystère, mais, ici, cela ne m'empêche pas de savourer cette voix qui porte une bien belle poésie. Ainsi, je ne devine pas qui sont ces "ils" dans "ils sont tous là", mais la strophe les porte merveilleusement dans un rythme que j'aime beaucoup. L'image est nette, la sensation à fleur de peau. Dans la seconde strophe, j'ai beaucoup aimé "tenant sa peur / tous les torrents"... notamment, et tout l'ensemble, bien que je n'aie pas saisi le terme "révélations". La troisième strophe est superbe, toujours offerte au lecteur dans une dynamique qui va bien avec le chant, soit le propos "L'eau chante / le son délivrant / des femmes qui savent..." Pour la strophe qui suit, j'y vois un lien avec votre dernier poème, mais peut-être que je me trompe... En tout cas, ici, je trouve les mots superbes, clairs et expressifs. Et toujours cette manière, propre à l'ensemble du poème, de déplier les mots comme on pourrait le faire d'une feuille entière. La reprise de la première strophe m'a beaucoup plu. Elle est comme ce calme qui revient à la surface de l'eau après qu'on l'ait bouleversée en ondes par un galet... Plus je relis ce poème, et plus je lui trouve de mystère et de beauté. C'est une forme de poésie qui me parle, et je pense que la forme en vers libres est parfaitement adaptée ici. Bonne continuation. |
Anonyme
28/5/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
L'eau céans est un peu eau pâle, eau creuse, eau pacifiée, sans eau rage. Il y a un message sans nul doute, l'homme et la femme, une fois de plus, qui ne semblent pas sur la même longueur de cette o...nde. Mais voilà, difficile de le comprendre, et le support de ce message est bien peu enjolivé pour accrocher davantage. Une goutte à la mer, oui, mais un peu compliquée à retrouver au milieu de cette immensité bien calme. Désolé |
Anonyme
29/5/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour MissNode,
J'ai apprécié ce voyage de l'eau au travers des tourments. Cette goutte (à la mère ?) donc je peux lire tant de messages. La reprise des mêmes mots dans le premier paragraphe signifie pour moi le recommencement de "la souffrance" de cette goutte, après la "peur", la "frayeur", le "chant (de délivrance ?), la cible que toujours cette goutte devient. Un texte très sombre et suffisamment sibyllin pour délivrer le message que le lecteur veut y voir, à mon avis. C'est pour moi un texte réussi et "efficace". |
Gabrielle
30/5/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce poème traite du sujet délicat du besoin d'émancipation des femmes et de la peur qu'il génère chez les hommes.
L'auteure associe les larmes à des révélations qu'elles font apparaître (2ième strophe) : "elle a passé tenant sa peur tous les torrents qui tant de fois l'ont frappée plaquée tout au fond au lieu où siègent les révélations". La 3ième strophe associe les larmes à la délivrance : "L'eau chante le son délivrant des femmes qui savent leur propre démesure et dosent la frayeur l'intolérance à l'homme". N.B. : On note une opposition entre "la frayeur" des femmes ("la frayeur l'intolérance à l'homme") et la "peur de l'eau" des hommes. La 4ième strophe associe les larmes à l'espérance : "L'eau mouille les sécheresses de cœur et de peau gorgeant de caresses espérées les jardins sans écho terres désertées des hommes qui les tiennent pour champs de mines". La chute du poème renvoie à la première strophe, comme un appel face à une situation qui n'évolue pas. Merci à vous pour cet enrichissant partage. Bien à vous. G. Michel |
Goelette
3/6/2018
a aimé ce texte
Bien
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Un texte dont le charme ne se révèle pas facilement mais son rythme et la reprise de la première strophe peuvent envoûter le lecteur qui se laisse aller au fil de "l'eau".
J'aime beaucoup l’idée de ce passage : "L'eau chante le son délivrant des femmes qui savent leur propre démesure et dosent la frayeur l'intolérance à l'homme" |
MissNode
4/6/2018
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Remerciements, rendez-vous ici :http://www.oniris.be/forum/a-propos-de-goutte-a-la-mer-t25788s0.html#forumpost343944
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