|
|
Anonyme
17/7/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Je crois qu'ici les majuscules sytématiques en début de vers nuisent sérieusement à l'ambiance que cherche à installer le poème, qu'elles cassent quelque chose.
Sinon, j'aime assez. Le refrain est peut-être un poil trop présent, vu la brièveté des strophes. Un bémol aussi sur la répétition de "Comme" aux troisième et sixième vers. Le mot se voit beaucoup en début de vers courts, surtout avec cette fichue majuscule... |
LeopoldPartisan
20/7/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Thelonious en version minimaliste voilà qui vaut le détour. Ici c'est un convaincu qui commente. C'est apre et austère, c'est jazz. c'est superbe...
Le sculpteur de silence Burine les notes Dissonance rêvée J'adore Par ces quelques images on en prend plein les oreilles. |
bulle
22/7/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Il y a du visuel et de l'auditif, dans ce texte.
Le titre, repris en leitmotiv pour ouvrir le refrain, attire le lecteur sur ces doigts qui jouent. Les deux premiers passages, dont le dernier vers débute par "comme" impriment le rythme : retour au mouvement, au geste, "saccadé/décalé/asynchro", jazzy, et laisse entendre la musique. Je trouve ce texte intelligent dans sa forme et dans ses images. |
Leo
22/7/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Il est assez rare de trouver un poème dont la forme et le fond sont en parfaite adéquation. Le choix de chaque mot, de chaque mise en espace, est pertinent, juste, tombe dans un rythme qu'on ressent instinctivement.
Joli hommage à "Melodious Thonk". |
Anonyme
30/7/2011
a aimé ce texte
Bien
|
une belle ambiance émane de ce lieux que vous nous décrivez avec des images très visuelles et sonores. On entre dans ce décor, les images défilent. Une ambiance jazzy que vous avez su nous transmettre. Vraiment ce poème donne envie d'aller dans un bar-concert pour écouter du jazz. Je trouve le rythme nonchalant, il accentue cette ambiance cool. Je déplore juste la répétition ici et là en 3 fois de " Et les doigts jaunis par la nicotine de Thelonious Monk..." car le poème est court, Thelonious Monk a dejà de la présence, et nous envois ses bonnes vibes.
|
Charivari
31/7/2011
a aimé ce texte
Bien
|
Un texte un peu trop succint à mon goût. C'est un peu comme si un groupe de jazz nous joue le thème avec brio, et puis s'arrête sans taper de chorus. Ceci dit, ce reproche, cela veut dire que j'ai apprécié, et que j'en voulais plus...
Je trouve que la principale qualité sur ce texte, c'est le dosage parfait entre des évocations très explicites de la scène du club de jazz (la fumée, la contrebasse, les doigts jaunis...) et d'autres images plus originales, plus libres : le jeyser, par exemple. En général, j'ai adhéré à toutes ces images et tournures, sauf une, que je trouve trop terre à terre : Conversations qui traînent Obscures Comme un chuchotement Les conversations comme un chuchotement, ça m'a fait l'effet d'une redondance. |