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Vincente
22/3/2019
a aimé ce texte
Un peu
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L'intention est louable, mais le traitement est dans le style et la forme peu convaincant.
Le texte est rédigé comme un mémoire, l'ensemble m'a paru prosaïque. La catégorie Chansons et slams appellerait une forme plus ramassée, qui invite à une mise en musique. Les vers sont de longueurs inégales, les strophes selon ont irrégulièrement deux ou trois ou quatre vers. Pas facile d'y inscrire une cadence, sauf dans un slam assez linéaire, mais même alors il faudrait systématiser un peu la construction. Enfin, il ne suffit pas à mes yeux de traiter un sujet fort dans le fond pour que sur les autres plans on ne tienne pas plus le propos. Désolé mais pour moi, il y aurait nécessité à retravailler l'ensemble dans son expression. |
hersen
25/3/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Si l'histoire est touchante, je n'y vois cependant pas un travail poétique.
je sens bien que les choses sont dites avec coeur, ce qui est tout à l'honneur de l'auteur, mais il manque une démarche poétique. Il faudrait plus de métaphores, de travail sur les sons, l'agencement des mots. telle qu'elle est ici, cette histoire est simplement racontée. ( et naturellement, je ne dis pas que cette histoire n'a pas de valeur en elle-même) je salue par contre un travail effectué sur les rimes, mais la rime à elle seule ne rend pas poétique un texte. |
papipoete
26/3/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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chanson et slam
Cette fille qui souriait à la vie, rencontra un autre sourire, un sourire masculin sur le visage d'un envoyé de l'au-delà... Ce put être un ange aux douces pensées, aux mains caressantes mais dans ses yeux brillait le mal, et ses doigts étaient crochus comme ceux du Diable ! Dans les brasiers de l'enfer il t'entraîna, te souilla, te martyrisa et ton ventre servit de terreau à sa descendance. Un " innocent " naquit pour le " trou des abandons ", mais une vie s'éteignit à jamais à cause de son père, Lucifer... NB un récit hélas trop courant par delà les époques d'avant et d'aujourd'hui ; il glace toujours autant le sang, bien que le fruit de ces entrailles fut recueilli par de braves religieuses, et l'on pense que tant qu'il y aura des filles sur la Terre, il se trouvera toujours un monstre pour l'attirer dans son piège ! Dans le dernier vers, me chagrine un peu " sa mère est morte en enfer " ? j'aurais imaginé une fin qui lui rende au contraire le Paradis, qu'elle méritait tant ! papipoète |
Gabrielle
29/3/2019
a aimé ce texte
Bien
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Une véritable histoire nous est contée.
"L'enfant de Satan" n'est rien d'autre qu'un enfant issu d'un viol. Ainsi, l'amour peut déboucher sur une histoire malheureuse où l'enfer est présent sous la forme d''une épreuve à vivre emplie de souffrance. Merci à l'auteur(e) pour cette singulière histoire qui laisse un goût doux-amer dans la bouche. |
Anonyme
12/4/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Certes l'histoire est très sombre. Ces actes immondes se multiplient et deviennent un véritable fléau social que l'on a beaucoup de mal à maîtriser. C'est inquiétant...
Quant à la narration je l'ai trouvée assez prosaïque. Le slam se doit, autant qu'une chanson, d'offrir lui aussi de la poésie dans son déroulement. Ici je l'ai trouvée assez absente. Dans sa forme, ce texte m'a peu séduit. |
senglar
12/4/2019
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Mome,
Ben oui... et votre pseudo est "Mome", c'est du joli (d'autant plus que j'ai cru comprendre qu'il est féminin) ! C'était un genre littéraire ce type de textes (je parle de l'esprit) ou de chansons ou de petites pièces de théâtre voire de saynètes fin XIXè et à la Belle Epoque : le Grand Guignol. On faisait volontiers dans l'horrifique, frissons garantis pour la midinette et la petite main. Satan en effet!... Comme vous y allez. Un horrible fait divers. La mère morte en enfer ?... Bon ça reste en famille. En fait et a contrario, tout dépend peut-être de la façon dont on slammerait ce texte. Il faudrait le marteler à contrepied avec une intention parodique, avec des trémolos dans la voix, afin d'en mettre l'horreur au second degré. Parce qu'au premier degré cela fait trop sérieux, ça ne passe pas, au premier degré c'est de la bêtise au premier degré parce que tout y est caricatural : il est trop beau, trop méchant, elle est trop idéaliste, trop stupide, trop éméchée... Alors, caricaturer pour caricaturer, il faut hyper caricaturer. ça n'est plus triste, ça devient rigolo. En fin de compte les deux derniers vers posent néanmoins une question intéressante. Quid des racines ? Il y aurait un sacré développement philosophique à faire là-dessus. et qu'on ne dise surtout pas "pauvre môme", il n'y est pour rien lui ! senglar |
lucilius
12/4/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Je ne suis pas certain que classer ce texte dans la catégorie chansons et slams soit judicieuse ou bien le rythme musical doit être très décousu. Un thème fort mais qui ne se démarque pas des multiples versions tant et tant médiatisées. Le titre est certes accrocheur mais le texte en dessous et pour le fortifier, un peu de concision lui aurait été bénéfique.
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Provencao
12/4/2019
a aimé ce texte
Pas ↓
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Je suis assez dérangée par votre écrit car le respect de la dignité a besoin d’un ancrage dans le concret.
Le concret de chacun, c’est son corps. Ce corps abusé, violé, saccagé, n’en possède pas moins de dignité . Au plaisir de vous lire Cordialement |
INGOA
14/4/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Un sordide fait divers qui se répète inlassablement au point d'être banalisé et qu'on pourrait tout aussi bien lire dans les colonnes de n'importe quel quotidien. C'est justement le ton de ce texte que je trouve un peu trop journalistique, avec un regard sommaire sur cet enfant (de Satan) né sous X.
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