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Anonyme
21/4/2012
a aimé ce texte
Un peu
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Je suis profondément dérouté par ce texte.
Je ne le trouve ni bon ni mauvais ! Simplement comme il y a tout un vocabulaire que je ne comprends pas je suis perdu. Et même ce que je comprends ne me donne aucune piste ! C'est certes beau à l'oreille, ça chante bien, ça sonne bien, mais je suis perdu. Que l'auteur ne m'en veuille pas, il n'y a aucune moquerie dans mon propos, mais je ne sais trop que dire. C'est joli mais pas très clair. Juste: "ratons" a quel sens ? Petit rat ou le sens totalement vulgaire et xénophobe ? |
brabant
14/5/2012
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Mr-Barnabooth,
A la lecture et au ressenti ce texte m'apparaît comme beau par son rythme, sa structure et les images qu'il suggère. En tant que calligramme s'agit-il du pène d'une clef ? Sa signification m'en reste néanmoins obscure. Il me semble y retrouver le vocabulaire, les couleurs et les formes du blason. Sans doute doit-il s'interpréter par le biais de l'héraldique... Les origamis pouvant renvoyer à un bestiaire façonné par l'enfant, celui de l'adulte étant figé, élaboré, définitif. J'espère que l'auteur éclairera ma lanterne et n'arguera pas qu'il s'agit d'une divagation scribouillarde (auquel cas je me verrai dans l'obligation de passer à une évaluation sous le "Moyen"). Y a-t-il par exemple un jeu dans le fait d'employer le mot "métaphore" dans un texte qui en est empli, de métaphores, et a par ailleurs une forte valeur métaphorique ? Le jeu sur "mort fond"/'morfond' est-il intentionnel ? J'ai appris "flavescent" et "cuprifère". Salut à l'auteur |
David
16/5/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Mr-Barnabooth,
J'ai l'impression que ce sont des sortes de ténèbres qui marquent le privilège de l'enfance, à la fin, elle sonne pas mal d'ailleurs. Le "levain parfumé d'or" et les crinières comme les lions auront plutôt le rôle funeste, comme un inversion des symboles. Les "origamis" m'ont fait rire, le poème a quelque chose de triste et gai, ils ne valent pas le "clabaudeurs aux yeux... " de la même teinte mais quand même, ça ressortait bien joliment. Il y a quand même pas mal d'images morbides, ça roule un peu sur "l'enfance c'est la vie, et après c'est la mort" qui vaut bien un poème mais n'est pas transcendant non plus, ça manque un peu de liant... et l'éléphant, il fait quoi dans l'histoire par exemple. |
Anonyme
16/5/2012
a aimé ce texte
Vraiment pas ↓
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Une écriture plus qu'hermétique pour moi qui ne provoque ni émotion ni sourire ni rien de définissable.
j'ai juste l'impression qu'on a ici utilisé des mots piochés au hasard sans rechercher ni couleur ni rythme, je n'adhère pas vraiment à cela. |
LeopoldPartisan
16/5/2012
a aimé ce texte
Passionnément
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texte qui ne laisse pas indifférent, on aime, on déteste... On adhère, on rejette...On essaye et on demande à comprendre ...
A la lecture des mots de Mr-Barnabooth et aussi des commentaires, je me suis finalement retrouvé comme en questionnement. Le texte débute par une affirmation, une position, une thèse; à savoir que la cave de l'adulte est plus petite que l'enfant. Est-ce une perception de taille ? Est-ce un positionnement existentiel ? Est-ce l'antagonisme de deux mondes différents avec pour fin ultime leur confrontation et l'annihilation de l'un par rapport à l'autre ? L’on peut alors ne plus arrêter de se confronter soi-même aux mots, aux images, aux métaphores. Tout notre vécu, toutes nos perceptions s’en retrouve cristalliser. C’est ce jeu de miroirs qui pour moi devient primordial, c’est aussi l’universalité du thème traité avec une belle originalité tant dans le style que dans le procédé de cette écriture qui semble dans sa limpidité quasi automatique, qui font que ce texte est ce que j’attends désormais de la poésie avec un P majuscule. C’est ce que Montaigne exprimait par son célébrissime « Parce que c’était lui, parce que c’était moi… » |
Anonyme
16/5/2012
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Hermétisme quand tu nous tiens :o) Je ne peux pas dire que je n'aime pas, il me semble entrapercevoir un sens ici ou là.
Un gamin, des rêves, de la poésie, l'imaginaire qui se libère de sa prison-cave... Bon, à dire vrai, je pense être loin d'avoir épuisé toute la richesse de ce poème. |
Anonyme
17/5/2012
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Commentaire modéré
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Anonyme
21/5/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un poème sur cet adulte qui a perdu son cœur d'enfant. Sur la mémoire, sur ce temps qui passe inexorablement.
J'ai vraiment beaucoup aimé, le fond comme la forme, avec ce riche vocabulaire. On trouve des rimes dans les vers réguliers, ce qui donne un souffle et une musique que j'ai appréciés. |
Anonyme
3/7/2016
a aimé ce texte
Pas
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C'est très curieux, l'écriture d'un auteur, je dois dire que c'est déroutant au possible, je vous reprochais votre manque d'originalité, là on ne peut dire que ce texte en manque.
Le problème pour moi de ce texte est le côté hermétique, j'ai comme l'impression, que j'ai à lire un assemblage de mots, qui forment des phrases qui me restent vraiment inaccessibles. Déjà dès la première strophe lue je décroche, j'insiste cependant, je vous ai plusieurs fois relu, mais rien n'y fait, pas moyen d'accéder à la compréhension de ce texte, d'une manière ou d'une autre. Comme dans cette phrase-ci : " Comme un aveuglement par l’oubli du temps, de l’espace, ne fait plus ressentir l’odeur des ratons qui s’entassent, " Je dois être stupide, mais franchement que faut-il comprendre !! Et tout votre texte est formulé de la manière, cela m'a laissé perplexe. |