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Anonyme
9/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Les trois premiers vers m’emportent dans une légèreté bien vite atteinte en plein vol par ses « débris de vers » « mots de bruine légère ».
J’assiste ici à l’union du sang et du feu, de la plume et du pinceau, âmes mêlées du poète et du peintre. Je reconnais cette plume, un instant libérée pour accompagner le tableau du vol de « l’oiseau-lire » « dans le reste de ciel, un instant suspendu ». C’est beau, c’est doux, c’est terriblement tendre… A te relire encore, Myndie. :)) Cat |
margueritec
10/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Poème qui m'entraîne par un rythme souvent binaire tel un bercement où les images-mots prennent de la puissance tant par leur évocation que par les "jeux de mots" et néologisme. Bel envol poétique.
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Provencao
13/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Passent les aubes claires
sur les débris de vers, mots de bruine légère. Oiseau-lire." On devine ce tableau qui se profile au fur et à mesure que le pinceau l'effleure. J'aime cette effervescence quand la douceur de la nuit nous inonde de ces mots et couleurs en véritables outils de l'artiste en sa plume. Doux envol au gré des émotions qui éclatent en métamorphose et ces mots qui s'expriment en rêveries sans fin. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Louison
15/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je ne voulais pas commenter car j'ai deviné l'auteur grâce au tableau. Mais, je retrouve à nouveau ce poème et comme je suis sous le charme de cette peinture que sont ces vers, ces lavis délavés, cette douceur de l'infinuit... eh bien je dis que j'aime ce parallèle peinture/poésie, les deux s'enchevêtrent pour mon plus grand plaisir.
Louison |
papipoete
17/10/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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libre,
Je ne lis pas un poème, je suis le geste du pinceau-plume qui trace chaque vers, sans trembler et nous offre la réverbération du tableau plus haut ! NB je voudrais relever un vers particulier, mais tous me plaisent et me rendent jaloux de leur auteur ! ( sur les pigments ardents qui boivent le soleil ) n'est " pas mal " oserais-je dire ! Ces 3 oiseaux invitent au rêve, car ni l'un ni l'autre ne niche sous nos cieux ! Papipoète |
Absolue
2/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Passent les aubes claires
sur les débris de vers, mots de bruine légère. Oiseau-lire." Ma strophe préférée, légère et harmonieuse. "Dans la douceur de l’infinuit, larmes et flammes s’invertissent" J'aime moins ce passage, peut-être à cause de l'infinuit qui me semble moins élégant dans sa forme que l'infini... Dans l'ensemble, beaucoup de douceur et un dessin en prime, plus l'écriture de l'auteure... Un poème qui vous vaudra sûrement quelques plumes... |
Anonyme
2/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Des vers aussi légers que le vol des oiseaux.
La plume devient pinceau, et les mots s'assemblent en images pour nous offrir un joli tableau. Juste quelques passages pour le plaisir : << Passent les aubes claires sur les débris de vers >> << Passent les ombres graves sur les pigments ardents qui boivent le soleil >> << les lavis délavés >> |
Luz
2/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé, le poème et le tableau.
Cependant le mot oiseau répété 5 fois m'a un peu surpris, ainsi que les mots "infinuit" et "s’invertissent" qui tranchent avec la belle poésie générale de l'ensemble. Merci en tout cas pour ce tableau-poème. Luz |
solo974
2/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Myndie,
J'aime beaucoup votre poème, dont le rythme fluide et aérien m'a séduite. Les inversions du sujet ("Passent les aubes"/"Passent les ombres"/"chante le sang") mettent en valeur ces trois verbes et contribuent beaucoup (selon moi) à accentuer le caractère liturgique de votre poésie. J'ai par ailleurs beaucoup aimé les néologismes "oiseau-lire" et "infinuit". Bonne continuation à vous et au plaisir, Solo974 |
silver
3/11/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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Toujours le meme enchantement a lire et relire ce poeme-oiseau, libre et qui va liberant ce qui sublime et emporte par-dela les ombres...la poesie en son envol, en sa clarte, en son essence
Au plaisir de vous lire encore |
Brume
3/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Coucou Myndie
"Passent les aubes claires sur les débris de vers, mots de bruine légère. Oiseau-lire." Ces vers glissent comme de la soie. Comme certains passages qui sont d'une telle douceur. Sauf..."s'invertissent" qui déraille. En général j'ai du mal avec les répétitions sur un poème court, mais la manière dont le mot "oiseau" est exprimé c'est à dire en totale légèreté qu'il ne m'a pas sauté aux yeux au premier abord. 2× oiseau n'a pas une sonorité lourde, en plus des dérivés : Oiseau-lire, Oiseau de Paradis, Oiseau-phénix. Tout est si léger. Et puis ton poème est un beau tableau avec de jolis contrastes, une histoire qui se raconte en une mélodie. Merci pour la douceur des sonorités, la lecture est agréable. |
Anonyme
3/11/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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Au risque de plagier un autre commentaire, un si beau texte dédié à un oiseau mérite sans doute de nombreuses plumes ... Puisse son vol porter très loin les mots soyeux qui l'accompagnent !
Merci pour ce moment tendre et mélodieux |
Anonyme
3/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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L'infinuit' est un beau néologisme, une belle envolée (que je verrais bien comme titre d'un recueil) mais que viennent contrebalancer, ou mettre à terre, des expressions comme 'les débris de vers' ou encore 's'invertissent'.
Il y a cependant de l'élégance dans votre poème, une dimension d'écriture révélatrice. Merci. |
Mokhtar
4/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Fin et élégant, vocabulaire en liberté, comme l'oiseau.
On aurait pu prolonger en évoquant "l'oiseau de feu"... Resservez-moi. Je suis un gourmand. |
MissNeko
4/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème virevoltant à la plume sûre et délicate.
Vous avez réussi à créer un rythme intéressant À la première lecture je n avais pas lu " infinuit" mais infini. Mélanger la notion de nuit et d infini est certes peut être pas le plus original mais d en avoir fait un néologisme oui ! Ce qui pour moi ressors le plus c est la délicatesse des vers : il caressé le lecteur telle une plume d oiseau. J ai aimé " débris de vers" et "oiseau-lire" ( oiseau-lyre) : quel joli parallèle d fêter l'animal et la lecture. L oiseau en fond qui suit l artiste ( le poète ou le peintre)à chaque moment, un oiseau comme symbole. Une belle lecture |
jfmoods
4/11/2017
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Bien que de forme libre (longueur des vers oscillant entre 3, 4, 6, 8 et 12 pieds, rimes suffisantes aux vers 1 à 3, pauvres aux vers 8 et 11), ce poème s'apparente étrangement, par la logique de sa structuration, à un sonnet.
Composé de 14 vers, il développe la thématique de l'écriture poétique sur ses 4 premiers vers (double sens : "débris de vers", "Oiseau-lire", métaphore : "mots de bruine légère"), celle de la composition picturale sur les quatre suivants (synesthésie : "les pigments ardents qui boivent le soleil", jeu antithétique : "les lavis délavés" / "les chromos de nuit noire") avant de fondre les deux thématiques en une seule sur ses 6 derniers vers (parallélisme : "chante le sang du peintre et le feu du poète", effet miroir : "larmes et flammes s’invertissent"). Les trois oiseaux scandent les étapes de ce parcours, de cette grille de lecture (vers 4, 8 et 14). Reposant sur d'apparents contrastes ("les aubes claires" / "les ombres graves"), mais étanchant toutes deux leur soif à une même source, inépuisable, galvanisante (métaphore assortie d'un néologisme : "la douceur de l'infinuit", image du phénix), qui ouvre l'imaginaire (gradation : "un oiseau suspendu", "l’oiseau prend son envol"), poésie et peinture se répondent (citation de l'entête : "La peinture est une poésie silencieuse et la poésie une peinture qui parle."). Le tableau-poème qui accompagne le texte signe sa mise en abyme. Merci pour ce partage ! |
Gabrielle
16/6/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Ce poème renvoie à deux formes d'art que sont la poésie et la peinture à travers le portrait d'un oiseau qui prend deux formes différentes pour en arriver à une troisième correspondant à la synthèse des deux et à l'envol.
De très belles métaphores qui renvoient à la passion de l'auteur(e) pour les deux formes d'art citées ci-dessus. Le tableau qui apparaît et qui "conclue" l'association ainsi réalisée renvoie à quelque chose de féérique. Merci pour ce merveilleux partage. Bonne continuation. G. Michel |
Vincente
11/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Les trois premiers vers m'ont conquis comme un haïku à mon adresse.
"Passent les aubes claires sur les débris de vers, mots de bruine légère." Alors bien sûr ensuite, je suis un terrain conquis pour ce poème d'autant que j'y fonds définitivement avec : "Dans un reste de ciel un oiseau suspendu chante le sang du peintre et le feu du poète. Dans la douceur de l’infinuit, larmes et flammes s’invertissent" L'infinuit : savoureux. Le dessin est un plus, très beau, mais, au regard de l'écriture, même pas indispensable. |
chVlu
23/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le dessein est poétique et les mots y prennent une tournure spectaculaire. L'image y prend tout ses sens ! L'ensemble est limpidement métaphorique et mon vice inversa. En peu de mots ton texte est riche et les sens font fractales comme une nuage nucléaire.
Bravo! Ps : c'est ton post dans les coulisses qui m'a conduit ici, de fil en aiguille ! ;) |
troupi
17/6/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour myndie.
Voilà un texte, assez court dont l'accompagnement par l'image est une réussite. Il y a un réel talent à imaginer un texte évocateur avec le support d'un dessin ou d'un tableau et ce talent consiste à envoyer le lecteur dans un voyage beaucoup plus lointain que l'image seule ne le ferait. Un vrai plus pour " l'infinuit". J'apprécie beaucoup les néologismes en poésie libre pourvu qu'ils restent rares. |
Eki
9/1/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Quel envol poétique...aérien, léger !
Je laisse passer la grâce. Reprends ton envol, joli poème ! |