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Anonyme
11/3/2008
a aimé ce texte
Bien
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"Merci à mes parents qui m'ont broyé la vie", on peut dire que cela commence plutôt fort. Beaucoup de douleur dans ses lignes.
L'esnsemble est un peu inégal mais le ressenti bien présent. A la limite de la détresse, très poignant. |
clementine
11/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Oulala, ça balance un sacré coup de poing dans l'estomac ton texte.
On n'en sort pas indemne. La forme est souvent maladroite, c'est surtout un cri de souffrance, non dissimulé d'ailleurs. Pourtant, je suis atteinte, alors tu m'as touchée avec tes mots crus, non déguisés. |
Anonyme
11/3/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Monologue noir, message désespéré, mais si je l'ai compris je n'ai pas vraiment éprouvé de sentiments. Pourquoi ne suis-je pas touchée ?
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nico84
11/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Je ne veux ici pas dissocier le texte de l'auteur car je sais que ca peut être un peu autobiographique. Je trouve donc ce texte, intense, terrible, noir, bien écrit mais je trouve aussi que dans beaucoup de tes poémes, tu te laisses envahir par le fatalisme et la douleur.
Bats toi ! Laisse entrouvert, infimement, la lueur de l'espoir dans l'entrebaillement d'une porte lointaine. |
strega
12/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ghislainha, je te renvois toi et ton commentaire à Giuseppe Ungaretti, poème Tutto ho perduto (J'ai tout perdu), partie Il Dolore (La Douleur) de son oeuvre complète Vita d'un uomo (Vie d'un homme), si tu ne trouve pas en français, je peux éventuellement essayer de te traduire ce poème.
myshadows quant à ton poème, bien sûr c'est terrible, ça hurle à l'intérieur et rien au dehors. Bien sûr c'est cru, ça fait mal. Mais franchement, "Le songe d'être libre me ronge". Voilà, et là on touche du doigt le rattachement à la vie. QUEL QUE SOIT ce rattachement. Je n'aime pas les odes à la mort ou au suicide, mais j'aime lorsque quelqu'un cri avant d'aller plus loin, ou après s'y être frotté... J'aime parce que ça traduit nécessairement l'être-là de la personne. Ah bien sûr, ce n'est pas du Baudelaire, du Mallarmé (et pardonne moi myshadows cet affront mais ça va dans ton sens) mais nom de dieu, n'oubliez pas qu'il y a quelqu'un qui a écrit cette poésie... Un peu d'humanité non ! Que vous n'aimiez pas je veux bien (je ne suis pas fan non plus) mais respectez l'intention... L'INTENTION. D'autant plus qu'il y a une recherche de forme et de métaphores assez évidente, même mélangée à la simplicité de certains vers. |
james
12/3/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Poème choc, qui secoue, qui interpelle. L'impression que j'en ai est que l'on est plus devant une énumération, une collection d'images de métaphores sans grande originalité comme si l'auteur avait picoré à droite à gauche et qu'il avait assemblé les morceaux. Il manque cette vigueur pour traiter un tel sujet
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widjet
12/3/2008
a aimé ce texte
Pas
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Non, non, non ce texte ne mérite pas 0. Pour autant, je ne l'apprécie pas. Non à cause du fond (la détresse, le désespoir ne se critique pas...enfin je pense) mais la forme guère travaillée....Mais d'un autre côté, la douleur insoutenable (comme dans ce poème) ne se susurre pas toujours avec de belles envolées, du lyrisme, de la grandeur, de la grace. Elle peut-être extérieure, maladroite, sans pudeur....Elle se hurle, elle se déchaîne....Encore faut il que ça vous prenne aux tripes....Pas le cas ici....
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Anonyme
12/3/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Cela devrait être de la prose ? Il y a une forme, des métaphores...
des rimes pauvres... Le contenu est triste et douloureux mais pas aussi dur que cela car maladroit dans la structure et la technique. |
Anonyme
5/8/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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Tous vos poèmes ont le même leitmotiv.
Je comprends fort l'étendue d'une souffrance, mais de là, à en faire un étalage dans chaque, à la longue lasse. Si vous êtes en grande difficulté, il est des personnes qui pourront vous venir en aide, je ne crois pas que nous puissions vous être d'un grand secours. Surtout lorsque vous écrivez ceci- : " Je voulais rester dans mon tombeau, Pour entendre la plaie des mots. " Vous enfoncez le clou en écrivant : "Le songe d'être libre me ronge" Vous cherchez pleinement à demeurer dans cet état, vous vous complaisez dans cette douleur, elle est sans doute devenue votre raison d'être. Là, à mon avis, il y a danger ... |
EvaDam
5/8/2017
a aimé ce texte
Bien
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Poème désarmant par son message aux accents aussi pieux que sanglants (paradoxe digne de la martyrologie d'antan), qui atteint à des sommets de la sensibilité avec "la plaie des mots" et "Le Soleil ne se couche pas sur les mots."
Pathos explosif, surtout au seuil de la chute. On peut y voir un essai touchant d'art-thérapie. |