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clementine
17/3/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un peu obscur, quelques vers mal tournés? ou au sens mal compris par moi?
"Battre comme l'heure blafarde, Dont ton âme essaye de cacher." N'est-ce pas plutôt "que ton âme essaye de cacher" Enfin, ce n'est que mon avis. Mais touchant comme tous tes poèmes d'ailleurs. |
Anonyme
17/3/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Le sang qui bat ! une belle image pour celui qui croit que le tambour n'existe pas. Un enfant qui n'a pas le choix, il lui faut aller, qu'il aille !...
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Anonyme
17/3/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Oui..sombre et malsain
mais tout peut être prétexte à poésie bien sûr. (Faudra qu'elle consulte la maman tout de même lol) |
Anonyme
17/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Oui toujours aussi "dark". Je trouve celui-ci plutôt réussi.
J'aime bien la troisième stophe poignante dans sa simplicité. A la place du petit, ma maman me ferait un peu peur... |
Sanderka
17/3/2008
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Je ne connaissais pas la berceuse version gothique. Maintenant, je connais (mais où ai-je donc mis ces @$#& de gousses d'ails ?...)
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Anonyme
17/3/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le délire d’une mère, accentué par la perte de son enfant, le moins qu’on puisse dire, est que l’effet est saisissant.
La troisième strophe est agréable lire. Sinon, je dirais que sur la forme, l’ensemble aurait mérité un peu plus de travail. Donc sur le fond (8), et sur la forme (3). |
Scrib
18/3/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Aïe ! Aïe ! Aïe ! Vampiros !!!
C'est touchant et...effrayant. |
Anonyme
5/8/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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Un titre en anglais "Little boy", je n'aime pas du tout.
De plus un titre emprunter à un film et même un peu plus ... C'est encore plus décevant. L'incipit "mort d'un enfant", je me suis longuement posé des questions après avoir lu " En goûtant à ton sang délicieux" !!! Avons-nous à faire à une mère vampire : " Enfuis-toi, mon enfant. Mes crocs te dévoreront. Ta chair bambine câline Ma somptueuse lèvre. " Et le final, ou la cerise sur le gâteau : " Approche, mon enfant. Maintenant, tu me vois enfin. Tu as peur, et Tu veux du bonheur. Je ne puis t'offrir mon malheur, En goûtant à ton délicieux sang. " Je pensais avec déjà lu beaucoup d'inepties mais là je crois que c'est l'apothéose. On touche le fond ... |