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Anonyme
8/3/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je ne suis convaincue ni par le fond, ni par la forme, ni par le rythme. Je relève deux fautes d'orthographe qui ont échappé aux yeux félins des correcteurs (oh la vilaine maniaque !) :
- qui ont BRISE ma vie - si vous réchauffeZ mon âme |
strega
8/3/2008
a aimé ce texte
Bien
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Avec tout le respect que je te dois myshadows, ce poème est celui que j'ai préféré de tous ceux que tu as publiés sur Oniris.
Ma phrase favorite du moment : Complexe d'infériorité doublé d'un complexe de supériorité. (les vrais fans reconnaitront cette phrase, lol). En fait le narrateur (tu?) nous dit qu'il ne faut pas surtout pas sonder son âme car nous y trouverions tous les maux de la Terre, les siens... (au narrateur) Mais d'un autre côté, il nous explique aussi cette souffrance de cette âme... Le bonheur dans cette souffrance...? Qui sait... Bon, il y a quelques passages pompeux comme la sixième strophe. Mais je suppose un très grand jeu ici. Une forme de discours grandiloquant qui ne serait en fait que du second degré (voire même du quatrième ou cinquième...) Et pourtant, j'ai senti beaucoup de sincérité, de souffrance crachée ici comme pour hurler à la face du monde sa culpabilité. Je te dis bravo myshadows, en toute modestie je t'encourage sincèrement à continuer d'écrire. |
Anonyme
10/3/2008
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Bonjour, c'est un poème très douloureux. La mort est partout.
Je ne sais que dire, un bravo serait indécent alors je me contente de t'offrir mon soutien et mon respect. |
Anonyme
5/8/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Votre écrit, je dois dire me pose un problème.
Là, encore, je n'approuve pas ce titre en anglais et surtout je n'en vois pas l'utilité. Surtout pour donner à votre poème, le titre du chanson My shadow de Keane, soyez au moins plus original. Il y a de la sincérité dans vos propos, mais la formulation sème le doute, car elle n'est pas toujours claire, de plus pourquoi un vocabulaire excessif par instant. Vous vous perdez un peu de vue, par votre argumentation surjouée, de ce fait, le lecture que je suis, se trouve désorienté. Je perçois de la souffrance, mais elle n'arrive pas tout à fait à me toucher, du fait de la manière dont vous l'exprimez. |