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nico84
28/2/2008
a aimé ce texte
Bien
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Je ne suis pas d'accord avec le fond, tu le sais bien (enfin, tout le monde n'idolatre pas la mort n'est ce pas ?)
Maintenant si je dois juger le poéme à part entiére, j'aime le style, j'aime ces vers : "Caresse-moi avec ta grande faux." "Câline mon sang avec ta bouche, Brise mes os avec ton souffle." J'aime vraiment la tournure et le paradoxe entre la forme tendresse et le fond tortures. Malgré un début poussif et assez cliché, je trouve la deuxième partie trés originale ! Bravo pour cette création. |
Anonyme
29/2/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Désolé mais encore une fois, je n'accroche pas...
La deuxième partie originale? "Je suis un esclave De la vie, de la mort. Je suis un enfant, De l'amour, de la haine" Pas pour moi en tout cas... La denière strophe est particulièrement cliché à mon sens... Je ne sais pas, tout cela ne me parle vraiment pas. |
Janel
28/2/2008
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D'accord avec Notrac, ca ne fait pas assez travaille. Un peu trop classique, comme si tu etais presse d'aller quelque part. Alors arrete toi un instant et revoit un peu le tout -fond et forme-
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strega
29/2/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Au début je me suis dit : "il parle de la mort". Mais le dernier vers... "Que la mort soit notre paradis.", tu (le narrateur?) dis à la mort (qui est personifiée quand même) qu'elle sera votre paradis. A qui alors? Au narrateur et à qui, à la mort ou quelqu'un d'autre...?
Sans porter de jugement, je ne comprendrai jamais comment on peut écrire une ode à la mort... Personellement, les rites funéraires m'intéressent beaucoup, tout ce qui tourne autour également, les pleureuses greques, portugaises (je crois) ou africaines (du Nord) mais la mort elle-même...? Et il est vrai aussi que les images sont un peu cliché. Dommage... |
Anonyme
4/8/2017
a aimé ce texte
Pas ↑
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Ce n'est pas vraiment ma tasse de thé.
J'aurais écrit plutôt : Sous ton voile noir et non De ton voile noir Dans ton rire et non De ton rire J'ai du mal à imaginer, même un seul instant, le côté réaliste de ces propos : " Tu es la femme que j'ai tant rêvée, Celle de mes futurs enfants, Celle que j'ai tant aimée. " Le titre "Oh ! Grande Sainte Dame ! , interpelle déjà et la suite n'a fait que amplifier mes craintes. Mais, pour une fois, je trouve que vous êtes cohérent dans votre discours, même si pour moins il n'a pas de véritable intérêt. J'aime bien trop la vie, pour "idolâtrer" la mort. |