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Lariviere
7/2/2008
a aimé ce texte
Bien
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Merdre !
Mon anémie légendaire en parlé anglosaxon m'empèche de comprendre le titre... Ah ! Myshadows et son bestiaire... Après l'amour des araignées, l'admiration des panthères, ou des lions, ou des... bon ... Des fauves, en général... C'est un hommage vibrant (j'ai retrouvé dans cette poésie,le souffle, le rythme dénonciateur de certaines poésies "engagé" des années 60-70, style Pablo Neruda sur d'autres sujets...) à la liberté au sens brut et sauvage... Pour l'animal, mais aussi pour l'homme, ce fauve, qui ne devrais jamais être dompté... Sur le style, malgré quelques maladresses créees à mon avis, par des images parfois de qualité inconstante, c'est un beau texte qui est livré ici... J'aime particulièrement la dernière partie... Merci ! |
Anonyme
7/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Désolé myshadows et maître Larivière, mais
je ne vois pas trop de relation entre ce texte et les vers de Pablo (que j'affectionne particulièrement). Le poème commence par une rime "sombre/sombre" qui, en ce qui me concerne ne donne pas trop envie de poursuivre sa lecture... J'ai continué évidemment. Alors, il y a de bons vers, le dernier est très beau par exemple, mais certains comme "La peur des gens qui sont tellement cons", "qui est le roi, et qui est le bouffon" ne me transcendent pas. Sur le fond ce féroce animal de compagnie me parle, sur la forme, il ne fait que murmurer à mon oreille... |
myshadows
7/2/2008
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Pour tous ceux, comme Larivière, qui ne comprennent pas le titre de ce poème; voici la traduction " L'âme de la bête".
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Anonyme
7/8/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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Tiens, maintenant le titre d'un film.
Privilégiez le français, vous serez peut-être plus inventif !! J'ai eu droit là, au déroulement d'un véritable film d'horreur, ceci explique cela, d'où votre titre "Les entrailles de l'enfer". Je ne vais pas m'attarder sur votre écrit, plus que cela, la lecture en a été franchement désagréable, au bout d'un moment, cela m'exaspère "du sang, toujours du sang", et puis c'est sempiternelle horreur, je vous cite : "Mais avant il faut croquer la chair humaine." Et puis pourquoi cette affirmation : "La peur des gens qui sont tellement cons. " Tout votre "charabia" me dépasse, c'est un méli-mélo de tout et de rien. Votre formulation ne permet de mieux accéder au sujet développer ici. Il y a trop de confusions qui s'installent. Apprenez à rédiger, à avoir un fil conducteur bien plus précis, et puis essayez un peu de changer de registre. Vous êtes asphyxiant. " L'homme n'a pu su voir Le désespoir Dans lequel Il est tombé. " Ce n'est peut-être pas l'homme mais peut-être vous, qui avec votre regard, ne savez que voir le côté sombre de la vie. |