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Anonyme
4/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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L'idée est assez originale, de cet amant qui se projette déjà dans la poésie de sa maîtresse. Mais qui doit faire de serment? Celle qui écrit, non? L'avant-dernier vers me parait incohérent.
De jolis alexandrins, comme "je serpente vers toi, roule ma voix plaintive" et puis un rythme qui berce comme le flux et le reflux des vagues. Mais dans le détail, certains vers me semblent plus maladroits: "déjà, émets un oui et m'en impose encor" ou "en tsunami dans l'âme" ou "sur cette île céleste oeuvrée de plans divers" (pour moi, un peu hermétique). Pourquoi aussi "par peur de censurer"? Sinon, j'apprécie peu l'image chirurgicale de l'injection et de l'anesthésie. Très abrupte dans ce texte "romantique". |
Ephemere
4/2/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour, la majorité des vers sont agréables, l'anesthésie me gêne moins que le dresseur, quoique dans l'amour l'insensibilité est néfaste. J'ajoute un demi vers que je trouve lourd : "fébrile rien qu’à moi".
Je retiens les trois premiers vers, le reste est plus abscons. FMR |
Anonyme
7/2/2009
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Bonjour Nada,
Un poème qui se veut aussi fort que le moment qu'il décrit. La force est dans l'audace du lexique et des images "injecter" et "anesthésie" côtoient dans une même strophe "calice" et "écume". Il faut l'oser! Au fait, ce poème n'évolue pas en métaphore filée mais en gerbe d'images indépendantes les unes des autres, aux"plans divers" comme le dit le dernier vers. Poésie originale |
David
9/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Nada,
Moi aussi je me censure un peu en lisant ces vers, je les trouve fougueux, assez bien agencés, une belle énergie qui passe au travers. J'aime bien cette façon de rester au bord de quelque chose tout le long, enfin je crois. |