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papipoete
6/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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contemporain
Le maître de musique étourdi par la beauté de son élève Pervenche, en perd l'ouïe, oublie la musique tant son élève est à croquer ! ( par Fragonard ) Plus le moindre accord ne parvient à ses oreilles ; et l'allure, la cambrure et les mouvements de la donzelle le subjuguent ! L'auteur nous gratifie de jeux de mots tels " Tenez-moi donc ce dos ... " ou " chacun de vos soupirs m'offre monts et merveilles " Vos vers sont parfois tendres, surannés, croustillants pour décrire d'un homme, l'envie, le désir, la folie ... papipoète |
Zoe-Pivers
7/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Alors si j'ai bien compris, après toute cette sensualité musicale, au motif qu'elle reste indifférente à votre émotion, finalement vous jugez qu'elle joue comme un pied ? :)
C'est rondement mené et bien écrit. Merci |
Anonyme
26/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà bien un prof de piano qui se fiche de la qualité du jeu de son élève; et pour cause, d'autres... préoccupations
" Mon œil se veut discret Mais, tentant une orbite, Il s'écrase en piqué Sur vos saints satellites… " " Chacun de vos soupirs M'offre monts et merveilles " lesquels, soupirs ? (sourire) Mais une fois l'espoir envolé, " Mais vous n'êtes – ça blesse ! – Que revêche donzelle ", le jugement est sévère : " Devrais-je mes oreilles Boucher pour votre père ? |
Vincendix
26/7/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Nadou
On retrouve souvent ce genre de poème qui évoque un tableau, ce n’est pas évident de reproduire en vers ce que l’artiste a voulu exprimer. Ce texte est assez réussi, mis à part quelques expressions qui me dérangent « tout ouïe », « amatrice ». « tentant une orbite »… J’aurais préféré les seins satellites ! J’aime assez le style original. |
Vincente
26/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Nadou,
Ce tableau est très plaisamment rendu. Dans cette suite enlevée de ses vers légers où le sourire est sous tendu de ses sous entendus inspirés, la lecture est vive, l'évocation musicale et parlante à la fois. J'ai bien aimé la qualité des 2ème et 5ème strophes : "Ô ma douce amatrice, Gardez ainsi l'allure Où glisse avec délice Et courbe la cambrure" et "Chacun de vos soupirs M'offre monts et merveilles, Appelant au désir Le démon qui s'éveille Au rythme de la vièle Dont joueraient, enlacés En un acte véniel, Nos deux corps accordés" Le choix de cette forme sied tout à fait à l'intention, original à souhait, jusqu'à la chute finale en contre-temps qui rehausse par sa sortie inattendue ! |
MissNeko
26/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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C est vraiment admirablement bien écrit.
J ai beaucoup apprécié les jeux de mots. Un beau moment de lecture. |
JulieM
28/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce que j'aime particulièrement ici, c'est le très réussi "tableau" d'ensemble, dans lequel il y a 3 personnages (et non 2): le poète qui regarde la scène avec un humour piquant; la belle inaccessible et du coup, bien mauvaise élève; le professeur de musique concupiscent et vengeur le tout s'inscrivant dans un mouvement crescendo ! Très bien exprimé.
Merci Nadou. |
archibald
28/7/2016
a aimé ce texte
Bien
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Le choix de traduire en mots le sens d'un tableau est une idée qui offre beaucoup de possibilités. Ton texte est fidèle à l'oeuvre picturale et rend bien compte de la cocasserie de la situation.
Ce que je regrette, c'est que l'esthétique XVIIIème siècle aurait réclamé davantage de classicisme dans la forme : un travail plus rigoureux sur les rimes serait venu confirmer le style d'écriture adopté dans lequel on perçoit le ton amusé et l'esprit de libertinage que connote cette époque. Le dernier quatrain en est un bel exemple. |