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nico84
29/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Je n'ai pas saisi la nature de la pulsion. Les interdits sont faits pour être braver. La loi évolue.
Et je te reprends "quel plaisir ?". Je prends ton poéme comme une ôde à la liberté. J'ai apprecié ton écriture. Pas hermétique, pleins de réflexions ! |
Anonyme
29/4/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Ben, c'est un peu mince tout de même.
Pas franchement persuadé, surtout par la fin. Le coup des lois et de les enfreindre, oui bon. (le "souci" n'est pas forcément dans l'idée, assez banale mais pas dérangeante en soi, mais dans la façon de le dire, sans images, sans ambiguités... Sans poésie). Sinon pourquoi une majuscule à "Rage" et pas à "temps" par exemple?... Des emplois comme "Dame Nature", "ô Seigneur", ne me parlent guère. Répétition de "Rage", volontaire? Pas accroché, scusi. Avis fort subjectif, d'autres ont apprécié et apprécieront. |
Menvussa
29/4/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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États d'âmes, je veux bien mais n'y vois guère de poésie. J'ai du mal à rentrer dans ce texte, ça m'est assez hermétique.
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Azurelle
29/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai trouvé que le début était un peu brutal, en revanche après cela file tout seul. J'ai apprécié, j'ai même relu avec plaisir. J'ai cru reconnaître Cyrano à des moments, un fait de mon imaginaire. Le texte est bien bâti, on sent une fièvre qui monte. L'idée de poser des questions est bien pensée. La structure même du poème fait penser à un texte argumentaire, bien trouvé.
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FIACRE
30/4/2009
a aimé ce texte
Bien
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Il paraîtrait que l'écriture aurait évité la Haine à Cioran. Bonne nouvelle pour ceux et celles qui ont décidé de s'en faire adopter.
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Anonyme
2/5/2009
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J'ai lu hier et n'ai pas commenté. J'ai relu aujourd'hui. C'est assez particulier et on est surpris par cette lecture un brin mysthique. Pourquoi pas ? Est-ce plus de la prose que de la poésie ? Je ne sais pas, chacun dose dans sa marmite et Nathalie à l'évidence sait écrire. C'est en tout cas un texte attirant puisqu'on y revient. Le titre est bien choisi. C'est peut-être un peu hermétique quand on manque de la culture ad hoc pour apprécier le texte comme il conviendrait. J'avoue manquer de cette culture. Je reviendrai lire Nathalie, ça m'intéresse.
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David
3/5/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Nathalie,
Un brin de folie, même un peu plus, un p'tit gazon. Qui est ce "Scandinave Ancien", qui sont ces frères d'antan, cet air de cyrano : "Mais ce n'est guère un roman ! - Que dis-je ? - Un simple essai...". Le théatre et l'emphase culmine pour moi avec "Je me suis réchauffée à la flamme du front du poétastre" ça en jette "poétastre", pas à dire. Ce passage là ne doit pas être véritablement anarchiste : "Pourquoi établir des lois si ce n'est pour les enfreindre ?" quand on aime les enfreindre, on les préserve et les cultive, encore qu'elles soient là à foison. Mais cette chute, ce drôle de contraste, entre la "Rage", la "haine" (le tout premier "elle" était pour cela ?) et le ton, toujours scènique, relativement serein ; entre "Le temps est à l'écriture, Poètes !" et "Quel plaisir, n'est-il pas ? Mon corps se tarde d'y goûter." Ça promet, dans le sens du soupçon et de l'admiration. |
Marquisard
3/5/2009
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un peu gnagnan sur les bords non ? je ne sais pas, on dirait que tu t'es astiquée l'encéphale en pensant à autre chose.ça gondole du rythme, envoie des mots qui se veulent poétique dans tous les sens comme pour donner du profond à l'ouvrage. peu convaincu...
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hevoeh
9/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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je le trouve bien freudien se texte. Le confessionnal ne serait-il plutôt le divan du psychanalyste.
La loi est-elle celle du législateur élu au suffrage universel, ou la Loi Divine et son cortège d'interdits en tout genre. Pourquoi tant de tourments dans ce cerveau et cette âme? Si la loi est absurde alors il faut la changer! telle serait la réaction saine d'un citoyen libre et éclairé. Seulement si cette révolte est en bute avec la conscience alors je comprends les accents hystériques qui se dégagent de ce texte. Pourtant malgré tout je sens pas la victoire au bout de ce texte mais un soldat épuisé par d' harassants et incessants combats qui se sent fléchir et qui pour s'encourager se met à entonner un chant salvateur de liberté. J'attends impatiemment la suite. Bon courage |
cris
11/6/2009
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Plusieurs lectures et toujours curieuse de ce qui m'échappe. "l'art m'a receuillie" "...et la rage devient ma muse.... Le temps est à l'écriture, Poétes!" Toujours pas compris si ce texte pose l'écriture comme une force ou un porteur de haine "je suis hantée par une forêt où croit la Haine". Le mystère reste entier.
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