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Corto
18/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai bien aimé cette ode à Saint Denis. On y trouve une véritable ambiance, description fine et bien balancée.
C'est vivant même avec les morts "S’y pressent rois de France", mais c'est le quotidien d'aujourd'hui qui domine. La composition en quatrains qui chacun leur tour portent un thème imagé est bien réussie. Peu de vécu passe inaperçu: depuis "l’allégresse Des gamins trop bruyants dans leur chahut" à "Au cœur de la cité, sachet Contre billet". J'aime aussi beaucoup la structure qui s'ouvre par "St Denis c’est un port ouvert aux quatre vents" pour finir par "St Denis c’est Marseille sans la mer Villes métissées, villes populaires Stigmatisées, on ne se laissera pas faire". Une pensée riche mise dans une forme très travaillée et vivante. Bravo. |
Robot
1/4/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Construction monotone qui accentue l'impression d'être interminable quand s'y ajoute l'anaphore lassante. Pour un libre, il me semble possible d'améliorer l'édifice de la prose. Des bonnes choses sincèrement dites noyées dans une architecture un peu insipide.
EDIT: Je relève mon appréciation. |
Anonyme
1/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Nector93
Vous avez écrit un hommage à votre ville entre passé et présent. Elle est longue mais jamais lassante, toutes les facettes d'une grande cité de banlieue sont dépeintes, de la plus glorieuse à la plus sordide, de la Basilique au sachet de schnouffe. En clair, un poème assez dense, touffu, intéressant, une vraie réussite quoi. Anna |
Lariviere
1/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Nector93,
Sur le fond j'ai beaucoup aimé cette ode à Saint Denis que vous décrivez très bien dans sa diversité historique et culturelle... Sur la forme j'ai aimé aussi vos quatrains s'ouvrant sur "saint denis c'est"... j'ai juste trouvé un peu long le procédé... Peut être qu'amputer quelques strophes vers la fin ne serait pas inutile pour garder un meilleur impact au poème... Cette strophe de fin résume bien l'ensemble : "Saint-Denis c’est Marseille sans la mer Villes métissées, villes populaires Stigmatisées, on ne se laissera pas faire Rebelles, on portera toujours haut nos bannières" Ne lachez rien !... ;) Merci pour cette lecture et bonne continuation ! |
papipoete
1/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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bonjour Nector
Ce n'est plus un poème, mais une ode à votre ville chérie ! Il faut dire que Saint Denis évoque tant d'images, entre sa cathédrale aux sarcophages profanés, mais que le monde entier se presse à venir admirer ! C'est la ville où ça castagne sur fond de chitt C'est l'endroit où être muté dans un lycée, signifie galères de galères Mais Saint Denis, c'est Marseille sans la mer où n'existent aucune frontière... NB j'écrivais ainsi avant, et l'on m'apprit qu'il fallait condenser, sabrer et sabrer ! mais vous avez tant à dire sur votre citée! Je ne voudrais pas dire que je fis un effort pour vous lire, mais généralement j'avoue passer mon chemin sous un tel flot de mots. Difficile ce citer un passage particulier, mais l'ensemble est teinté de paix, de joie et grand humanité. Bravo en tous cas pour la performance ! Il ne devait plus rester d'encre dans votre imprimante ? |
Cyrill
2/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J’ai trouvé dans ce poème des mots simples et qui fonctionnent bien pour faire le tableau d’un quartier populaire.
L’ambiance est brossée par petites touches avec une palette riche en couleurs, odeurs, sons. J’ai beaucoup aimé le côté non systématique dans l’agencement des rimes, ça fait écho à ce certain désordre, du moins cette profusion de différences qui font le charme et de l’endroit et de votre poésie. J’ai regretté quelques moments que je trouve ordinaires dans l’expression, voire maladroits, mais c’est mon goût, comme ce mot « intranquille », bof bof. L’antépénultième quatrain m’a particulièrement plu par son découpage en rejets. Merci pour cette immersion ! |