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Cassanda
13/1/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'aime beaucoup, on entend presque ce silence si particulier qu'il y a lorsque la neige tombe. Tu as réussi également à mettre cette douceur qu'il y a lors de ce type de temps. C'est celui que je préfère pour le moment :)
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NeX
14/1/2008
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De loin le poème que je préfère. Tout d'abord pour sa musicalitée et son âme. L'âme de la seule chose qui fait briller les yeux d'un enfant et qui fait encore rêver celui que je suis resté. Encore une fois je salue l'incroyable energie qui emane de tes écrits. Ce poème est plein de douceur, harmonieux. L'hiver triomphant, non pas avec un manteau pourpre mais bien le blanc.
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Lariviere
21/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bon,
Je suis désolé de venir remettre une couche de froideur sur ce beau manteau blanc, mais je n'accède pas vraiment à la lecture de ce poème. C'est à dire que je trouve encore trop de passage maladroit pour pouvoir vraiment appréhender toute la dimension apaisante que moi aussi, je ressens sur le fond de tes vers. C'est vrai le rythme est paisible. Un rythme qui colle bien au thème. Mais c'est une gageure aussi pour les lecteurs, car c'est très audacieux de réussir à les tenir en haleine, tant les vers semblent se répéter dans leurs musicalités. Le premier quatrain est plutôt bien fait. C'est important d'ailleurs, car il nous permet de faire suivre notre attention sur le reste du poème. Ici,effectivement, on glisse volontiers notre regard sur la neige. Tu as ensuite essayé avec succès de "démembrer" tes rimes, de les dissocier entre deux quatrains. Je pense que l'idée était bonne, mais là encore la finition me semble imparfaite. "Pour accueillir ce premier bonheur, Au loin, on aperçoit l’éclaireur." Ces deux derniers vers de ton deuxième quatrain me gènent. Je me permet, même si je n'aime pas trop m'immiscer à l'intérieur de l'oeuvre, (domaine sanctuaire pour et par l'auteur),de te dire les modifications que j'aurais réalisé. Sur ce dernier vers, j'aurais au contraire accentué la longueur, alors que toi tu fais l'inverse, tu donne un vers court, marquant ici un rythme rapide, saccadé par la virgule. Cela donne deux hémistiches un peu bancales, qui pourraient peut être mieux fonctionner avec une plus grande longueur pour coller au rythme génral qui est plutôt lent comme la neige qui tombe ou que l'on regarde sur les grandes étendues. Ici, du coup, je trouve que c'est un peu brutal. Je pense d'ailleurs que tu as voulu mettre un rythme original, puisque le premier vers de ton troisième quatrain rime avec celui-ci. A propos de ce troisième quatrain : "Qui s’épanouit sous cette faible chaleur, Le flacon se promène dans la main du vent" Tu as vraiment voulu mettre "flacon" ou est ce"flocon" qu'il faut lire. Le premier choix donne une image qui ne m'évoque pas grand chose. "La magie s’opère, voici le manteau blanc." Voilà un vers qui me plait beaucoup. Je pense que pour faire de ton poème un poème très bon, qui colle vraiment de façon esthétique à ton thème, tu aurais du essayer de finir tous tes quatrains de façon classique avec un alexandrin aux hémistiches régulières comme ici. La cesure est parfaite. Et là, je vois la neige apaiser ma lecture... Le dernier quatrain pour finir, me semble aussi à retravailler. "À côté d’un cœur qu’elle réchauffe, le nettoyant de sa glace." L'idée de se dernier vers me plait. Elle est excellente et conclu bien le poème. Il donne un sens une tournure en adéquation totale avec ton traitement du thème. Il me semble néenmoins que le vers serait à améliorer. Voilà, Nico, je me permets d'être long et ennuyeux et de disséquer de façon peut être intempestive mais si ça peut te rassurer, c'est par respect pour toi que je le fais... Si tu veux tout savoir, je m'autorise ce genre de découpe anatomique des oeuvres uniquement avec les oniriens de confiances comme Ninj' par exemple... Essaye de voir le côté constructif de la chose. Bonne continuation... |
clementine
21/1/2008
a aimé ce texte
Bien
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J'aime beaucoup la deuxième partie.
"Le flocon se promène dans la main du vent", je trouve ce vers magnifique. Tu as très bien décrit cette ambiance spéciale qui règne ces jours là. L'ambivalence de la dernière phrase me plait beaucoup. |
Anonyme
21/1/2008
a aimé ce texte
Un peu
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J'adhère un peu au commentaire de Larivière. On a une sensation d'inachever C'est dommage. Vers imapairs et pairs se cotoie ce qui rend le texte bancal. Quelques bons vers hélas se retrouvent discrets dans un ensemble très aléatoires.
La chute serait à retravaller. Le poème à l'avantage d'exister. |
calouet
21/1/2008
a aimé ce texte
Bien
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Euh... Larivière, président!!!
Sérieusement, ce sont des conseils avisés que tu as reçu là, qui te seront certainement utiles, vue ta (bonne) réaction aux critiques. Ils seront même utiles à plein de gens qui passeront ici, dont moi! Mon verdict, quand même, sans m'étaler : plein de bonnes choses, et quelques grains de sable; un des trucs, qui m'ont gêné : entre les quatrains 2 et 3, quand tu passes de "Au loin, on aperçoit l’éclaireur." à "Qui s’épanouit sous cette faible chaleur," J'ai un peu perdu le fil, juste le temps de me dire "oh merde c'est dommage". Le coup de l'idée qui file entre deux quatrains, pourquoi pas, mais dans ce cas, la ponctuation m'ennuie un peu. C'est pas mal du tout quand même, va! |