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Anonyme
27/1/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un réel manque d'images poétiques, beaucoup de lourdeurs ! comme dans "...apaisement des rayons modérés" le mot"rayon" employé deux fois dans la dernière strophe. Ghislain.
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Anonyme
29/1/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Elémentaire été!
Mais ce doit être le feu et le sang qui bouillonnent, le blé guillotiné et la terre qui crève de soif, la moiteur des désirs, la flore qui connait sa marcescence et la faune ébêtée que diable! On dirait Nico84, que tu essaie de crier mais que rien ne sort de ta bouche. Le poète est un fou qui parle aux éléments. Il faut les penser dans leur nature même. Être eux... |
Scrib
1/2/2008
a aimé ce texte
Bien
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J'apprécie beaucoup, parce que je m'y retrouve perso à travers ton style et tes rimes
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Lariviere
6/2/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je pense que tu as essayé justement de coller à ta vision du thème "Eté" en donnant une vision "béate" de celui ci...
Pour ma part je comprend, et je trouve que c'est déjà bien d'avoir esayé de modeler techniquement et "mentalement" ton poème avec l'idée que tu te faisais de ton thème... Tu aurais pu le faire mieux, mais c'est périlleux comme exercice... Pour ma part je partage plus la vision d'Emrys sur l'éte. Un été presque ambivalent : Aride. Assoiffé. Provencal. Un été à la Giono... Et un été rayonnant ses sulfates brulant, magmatique... René Char arrivait, mais c'est très difficile, à fusionner les deux aspects de l'été : ce coté carressant et moite, presque charnel et érotique tout en restant sec, plombé, crouteux et étouffant... Sinon, pour garder le coté béat, naïf, tu peux par exemple essayer un style avec de la dérision à la Boris Vian... Mais là encore, ca serait sacrilège de te dire comment toi, tu dois voir un thème !!! C'es toi et toi seul qui donne la direction et le tempo à ta poésie... C'est toi le chef d'orchestre... Nous ne sommes là que pour t'aider à diriger la baguette par toi même... |
Anonyme
6/2/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Holà nico, j'ai pas commenté çui-ci...
Je trouve ici une super-position de lieux communs, cela m'étonne de ta part... Un conseil qui vaut ce qu'il vaut ( c'est à dire, un foetus de vache), la jonglerie des mots ici jonche mon parquet... Scusi mais un manque d'originalité flagrant... Embrasse le contre-sens, n'ai pas peu de déconcerter le lecteur, joue avec ses convictions au lieu d'exposer des banalités... Un peu dur je suis? Certes... Mais qui aime bien, fouette bien (comme dirait mon ami sado), tu es rempli d'idées et de sentiments, de convictions et de sensibilité... Ne te perds pas dans le lisse, cajôle les pro-tube-errances... Bien à toi |
clementine
6/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Oui, ben, moi non plus j'avais pas commenté.
Ton été ne me brûle pas, pour moi ( peut-être parce que je suis absolument méditerranéenne ) l'été, c'est fort, violent, brûlant, intense, plus que lumineux; aveuglant! Là, c'est tiède et tendre, chantant, romantique, joli. J'aime bien car on sent ton âme et ça c'est ta grande richesse. Mais ce n'est pas ma conception de l'été. |
Cassanda
8/2/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Tu as confondu le printemps avec l'été ? Je ne ressens pas l'été dans ton poème, peut- être est-ce dû aux non-étés auxquels nous avons affaire depuis deux ans, mais les oiseaux qui chantent gentiment et le soleil discret qu'on doit remercier... non Nico, pour le coup je n'accroche pas ! L'été, c'est plein de couleurs et on en prend plein les mirettes, la peau cuit, les corps se dénudent... Bref, tout ce que je ne retrouve pas dans ton poème...
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