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Poésie néo-classique
nico84 : Poème à dormir debout !
 Publié le 20/11/07  -  9 commentaires  -  604 caractères  -  72 lectures    Autres textes du même auteur

L'être cher me manque... Comment ont-ils osé me séparer encore une fois de lui ?


Poème à dormir debout !



Chaque jour c'est une déchirure pour moi,
De te laisser sans compagnie,
Mais ô combien est ma joie,
Quand toute la journée, je me suis langui.

Mais quand enfin on est ensemble tous les deux,
Grâce à toi, je vis mille aventures,
Je suis invincible, je résiste au feu,
Je prie pour que ces histoires durent.

Mais chaque matin, c'est la même torture,
Arrêtez de nous séparer, c'est trop dur,
Encore une fois, je vais prier

Pour qu'on puisse recommencer,
À vivre, à rêver,
Mon cher petit oreiller.


 
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Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   clementine   
20/11/2007
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Joli et original.
J'ai beaucoup aimé.

   Bidis   
20/11/2007
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↓
C'est rare que, dans les poèmes de Nico, la chute ne provoque pas un petit "mais c'est bien sûr !" jubilatoire.

   Couette   
20/11/2007
je ne m'attendais pas DU TOUT à cette chute! j'ai souri.. Dommage : pas mal de répétitions MAIS si original..

   macalys   
20/11/2007
 a aimé ce texte 
Bien ↓
C'est frais, dynamique et inattendu.
J'adore le dernier vers "mon cher petit oreiller", c'est très tendre.

Par contre, je trouve les deux premières strophes un peu maladroites. Par exemple :
"Mais ô combien est ma joie,
Quand toute la journée, je me suis langui."
La construction est un peu bizarre, et j'ai dû relire ce passage plusieurs fois pour comprendre. Or comme le rythme est très enlevé, je pense que tu devrais éviter que lecteur bute sur certaines tournures de phrases comme celle-ci.

   TITEFEE   
22/11/2007
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↓
tiens, on a le même ami !!!! et pourtant je le tape, je le bourre de coups de poings, je le retourne, le roule, le lance en l'air, j'y enfouis mon visage lorsque je pleure dans la nuit...et pourtant il est toujours là, paré de housses plus fleuries et parlumées les unes que les autres...et sans rancune

pour te prouver que j'ai aimé aussi ta chute....voici :

http://www.archive-host2.com/membres/up/1086141494/ONIRIS/dormirdeboutnico84.mp3

   Fattorius   
29/11/2007
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Gag! En effet, c'est implacable, ça marche, et c'est rigolo. En plus, c'est concis. Merci pour ce moment d'onirique tendresse.

Confer une certaine histoire que j'ai aussi commise, intitulée "Lettre à un être cher". A vous de voir qui est cet être...

(fin de la minute égotiste).

   Anonyme   
3/2/2008
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↓
Beau petit poème plein d’imagination et avec encore une fois, une finale totalement inattendue qui me porte à sourire.

Mais, je trouve aussi qu’il y a beaucoup de « mais » ainsi que deux « quand », sur deux vers successifs, ce qui enlève un peu de force à l’ensemble.

Bravo !

   Anonyme   
5/5/2009
 a aimé ce texte 
Un peu
Je me dis exactement la même chose chaque matin.
Oreiller : ma plus belle histoire d'amour, c'est toi !
Belle chute.

   Anonyme   
14/6/2016
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Tout à fait inattendue cette fin, et c'est elle qui donne ce petit grain de folie, ainsi l'écrit devient plus intéressant. Le cheminement avec ce petit aspect mystérieux, apporte un côté amusant.

Forme et fond simples, petit moment distrayant.


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