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Vincent
13/6/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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tes lèvres au goût sucré, gardant en un souris,
je ne comprends pas un souris ce qui fait que je ne goûte pas la strophe Belle, tu es là, joueuse, offrant sans retenue tes lèvres au goût sucré, gardant en un souris, mais sans zèle gênant, la clé du paradis ; clé des champs de violettes et de son âme nue. j'aime la construction de votre texte Belle, tu es là et la déclinaison en images agréables j'ai bien aimé |
Anonyme
7/7/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Poème qui serait sans grand intérêt s'il n'y avait les deux vers du second quatrain : chaque mèche est vivante comme les branches d'un saule où se perchent les enfants dans un coin de verdure. Ces deux vers à eux seuls valent un commentaire, ils sont sublimes. |
Robot
7/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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Ce texte contient quelques belles images. Le 1er quatrain m'a paru difficile à l'élocution je pense à cause de la ponctuation qui bloque la fluidité (la virgule après fièrement notamment me paraît superflue.
J'aime bien le 3ème quatrain. avec ce souris désuet clé du paradis clé des champs de violette. Belle conclusion: "j'en oublie vers et prose." |
Anonyme
7/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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Gentil portrait de cette "Belle " à la campagne qui garde " la clé du paradis " pour l'après pique nique...
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papipoete
7/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Nimajneb;Belle, je l'imagine alanguie sur un carré de luzerne tendre; amoureuse à n'en point douter, prête à ouvrir son " paradis " dont elle agite la clé aux joues empourprées du ( de la ) soupirant;
Tableau champêtre apaisant, faisant oublier qu'ailleurs, la femme ( vierge ) sera un cadeau du ciel, pour qui égorgera, pour qui massacrera sur terre! Je ne trouve nulle part le sens du mot " un souris "? |
Anonyme
8/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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J'ai apprécié ce portrait gracieux et un brin suranné. Je me suis plu à imaginer un tableau impressionniste.
En revanche, j'ai été un peu gênée dans ma lecture par la répétition de Belle au début de chaque paragraphe. |
Lulu
7/7/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai beaucoup aimé ce portrait du début à la fin, et fus très surprise par le dernier vers qui révèle un poète timide... avec "sur ma joue qui s'empourpre". Je trouve cela mignon et fort intéressant.
Je me représente bien le cadre bien qu'il ne soit pas vraiment précisé, peut-être est-ce de circonstance puisque nous sommes en été... Tout est dans le portrait de la femme admirée. L'anaphore, "Belle, tu es là" renforce le dernier vers, le côté admiratif du personnage qui s'empourpre. Tous mes encouragements. |
lala
7/7/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
J'ai l'impression que le pique-nique n'a guère d'importance pour le prétendant ... On oublie la métrique mais le rythme du coup n'est pas toujours au rendez-vous. Le vocabulaire est délicat, tendre, respectueux, un peu suranné : "gracieuse", souris", "s'empourpre". Le "coin de verdure" sent le déjà lu ... J'aime la longue évocation de la gorge, et beaucoup moins "mais sans zèle gênant". Il "en oublie vers et prose", et même le lecteur qu'il abandonne au milieu du quatrain ! Bien joué ! |